Toutes les ressources Chemin, Pierre-Jean-Baptiste 10 résultats (11ms)

« Note sur monsieur Ambroise Le Veneur, évêque d'Évreux. ».

G40 , XVIIIe siècle  

Cette notice manuscrite est anonyme et non datée ; mais elle est de la même écriture que le pouillé du diocèse d'Évreux, coté G. 20, attribué à l'abbé Chemin, curé de Tourneville, et a été rédigée, ainsi que ce dernier pouillé, à l'aide des registres des collations de l'évêché et des archives du chapitre.

Contexte :
Évêché d'Évreux

« Note sur monsieur Ambroise Le Veneur, évêque d'Évreux. ».

G40 , XVIIIe siècle  

Cette notice manuscrite est anonyme et non datée ; mais elle est de la même écriture que le pouillé du diocèse d'Évreux, coté G. 20, attribué à l'abbé Chemin, curé de Tourneville, et a été rédigée, ainsi que ce dernier pouillé, à l'aide des registres des collations de l'évêché et des archives du chapitre.

Contexte :
Évêché d'Évreux

(vers 1761) « Registre pour la fabrique de Notre-Dame de Tourneville, dans lequel l'on trouvera tout ce qui intéresse les biens de la fabrique, ceux de la cure, et quelques bonnes receptes pour les playes et autres maladies, la plupart éprouvées par moy, prestre, curé de Tourneville, soussigné. Chemin, prêtre curé de Tourneville. » – Ce registre, écrit en entier de la main de Pierre-Jean-Baptiste Chemin, curé de Tourneville de 1756 à 1781 (à l'exception d'une note marginale du curé Thiboust, datée de 1787), renferme des notes historiques sur l'église de Tourneville (copie de « l'inscription gothique fort belle » mentionnant la dédicace de l'église le 15 mars 1547), la liste des curés depuis 1455, des notes sur les seigneurs de Tourneville au XVIIe et au XVIIIe siècles, l'inventaire des titres concernant les biens-fonds et les rentes de la fabrique, des copies de déclarations et d'aveux des anciens curés de Tourneville et des notes sur les droits, privilèges et charges du bénéfice cure, enfin des recettes de médecine empirique (baume sympathique ou baume de Christ, – composition d'un très bon onguent pour les vieilles plaies, – remèdes pour la brûlure et pour les vers : « il ne faut faire de remède pour les vers que dans le décours de lune, parce que dans ce temps ils sont plus traitables et moins sujets à se mettre en fureur »), – remèdes pour la fièvre quarte et pour l'hydropisie, –« vinaigre thériacal très bon pour ceux qui sont obligés d'aller aux malades, dans les pourpres, vérolles et autres », – remèdes contre la peste et le mauvais air dans les maladies dangeureuses, – remède pour guérir de la peste, éprouvé, – baume du commandeur, – baume catholique, – baume d'aristoloche, –« onguent vert contre la gangrène, et qui est fort bon », –remède contre la pierre, –remède pour les fièvres ou quartes ou tierces, –« baume fait de plusieurs herbes aromatiques, bon pour les plaies et bon à boire pour quelque chute », –« onguent très parfait pour les plaies ». – Les notes sur les seigneurs de Tourneville, extraites pour la plupart des annotations inscrites par les anciens curés sur les registres de baptêmes, mariages et sépultures, contiennent le passage suivant : « L'on voit dans les registres d'un de mes prédécesseurs que lorsqu'il entra dans sa cure en 1649, il trouva son presbitère ruiné, ainsi que le village, parce que François de Harcourt, époux de Catherine Le Tellier, a fait venir dans cette même année à Tourneville un régiment de dragons pour empescher Évreux, qui n'en est qu'à lieue et demie loing, de se déclarer en faveur du parlement de Rouen. Ce régiment, mal discipliné, fit tort dans le village de plus de 4,000 livres. Ils ravagèrent le presbitère où il n'i avoit point encore de curé. C'étoit pour lors M. Jourdain Guiblet qui nous a laissé ce dernier trait. Il dit que ceci lui coûta 100 écus ». – Le registre se termine par la note suivante : « Il ne me reste plus qu'à prier mes successeurs de vouloir bien tous les ans chanter à mon intention un libéra au jour de Toussaints après vêpres, comme je l'ai toujours fait pour mes prédécesseurs. Je certifie de nouveau que je n'ai rien mis que de vray dans ce présent registre, autant que je l'ai pu. Je souhaite qu'il soit conservé pour le bien de l'église et de mes successeurs. Chemin, prestre, curé de Tourneville, prieur de Saint-Laurent de Chambray, ancien curé de Creton et chapelain des Saints-Innocents dans la cathédrale d'Évreux ».

G1360 , fin XVIIIe siècle , Chambray ; Creton ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saints Innocents) ; Rouen (Parlement de) ; Tourneville  
Contexte :
Églises paroissiales > Tourneville

(vers 1761) « Registre pour la fabrique de Notre-Dame de Tourneville, dans lequel l'on trouvera tout ce qui intéresse les biens de la fabrique, ceux de la cure, et quelques bonnes receptes pour les playes et autres maladies, la plupart éprouvées par moy, prestre, curé de Tourneville, soussigné. Chemin, prêtre curé de Tourneville. » – Ce registre, écrit en entier de la main de Pierre-Jean-Baptiste Chemin, curé de Tourneville de 1756 à 1781 (à l'exception d'une note marginale du curé Thiboust, datée de 1787), renferme des notes historiques sur l'église de Tourneville (copie de « l'inscription gothique fort belle » mentionnant la dédicace de l'église le 15 mars 1547), la liste des curés depuis 1455, des notes sur les seigneurs de Tourneville au XVIIe et au XVIIIe siècles, l'inventaire des titres concernant les biens-fonds et les rentes de la fabrique, des copies de déclarations et d'aveux des anciens curés de Tourneville et des notes sur les droits, privilèges et charges du bénéfice cure, enfin des recettes de médecine empirique (baume sympathique ou baume de Christ, – composition d'un très bon onguent pour les vieilles plaies, – remèdes pour la brûlure et pour les vers : « il ne faut faire de remède pour les vers que dans le décours de lune, parce que dans ce temps ils sont plus traitables et moins sujets à se mettre en fureur »), – remèdes pour la fièvre quarte et pour l'hydropisie, –« vinaigre thériacal très bon pour ceux qui sont obligés d'aller aux malades, dans les pourpres, vérolles et autres », – remèdes contre la peste et le mauvais air dans les maladies dangeureuses, – remède pour guérir de la peste, éprouvé, – baume du commandeur, – baume catholique, – baume d'aristoloche, –« onguent vert contre la gangrène, et qui est fort bon », –remède contre la pierre, –remède pour les fièvres ou quartes ou tierces, –« baume fait de plusieurs herbes aromatiques, bon pour les plaies et bon à boire pour quelque chute », –« onguent très parfait pour les plaies ». – Les notes sur les seigneurs de Tourneville, extraites pour la plupart des annotations inscrites par les anciens curés sur les registres de baptêmes, mariages et sépultures, contiennent le passage suivant : « L'on voit dans les registres d'un de mes prédécesseurs que lorsqu'il entra dans sa cure en 1649, il trouva son presbitère ruiné, ainsi que le village, parce que François de Harcourt, époux de Catherine Le Tellier, a fait venir dans cette même année à Tourneville un régiment de dragons pour empescher Évreux, qui n'en est qu'à lieue et demie loing, de se déclarer en faveur du parlement de Rouen. Ce régiment, mal discipliné, fit tort dans le village de plus de 4,000 livres. Ils ravagèrent le presbitère où il n'i avoit point encore de curé. C'étoit pour lors M. Jourdain Guiblet qui nous a laissé ce dernier trait. Il dit que ceci lui coûta 100 écus ». – Le registre se termine par la note suivante : « Il ne me reste plus qu'à prier mes successeurs de vouloir bien tous les ans chanter à mon intention un libéra au jour de Toussaints après vêpres, comme je l'ai toujours fait pour mes prédécesseurs. Je certifie de nouveau que je n'ai rien mis que de vray dans ce présent registre, autant que je l'ai pu. Je souhaite qu'il soit conservé pour le bien de l'église et de mes successeurs. Chemin, prestre, curé de Tourneville, prieur de Saint-Laurent de Chambray, ancien curé de Creton et chapelain des Saints-Innocents dans la cathédrale d'Évreux ».

G1360 , fin XVIIIe siècle , Chambray ; Creton ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saints Innocents) ; Rouen (Parlement de) ; Tourneville  
Contexte :
Églises paroissiales > Tourneville

Pouillé du diocèse d'Évreux, contenant une nomenclature des bénéfices « à charge d'âmes, » avec des annotations historiques et biographiques, des listes des seigneurs patrons et l'indication des présentations faites pour chaque bénéfice au XVIe et au XVIIe siècle. La seconde partie, qui, d'après une note du feuillet 117 v°, devait être consacrée aux bénéfices simples, n'existe pas aux archives. Ce pouillé paraît avoir été rédigé peu après 1775, comme le prouve une note du 4e feuillet relative à l'ouverture récente de la grande rue Saint-Léger (route de Rouen). L'auteur, qui, d'après les caractères de l'écriture, paraît être l'abbé Chemin, curé de Tourneville, a utilisé principalement, pour la rédaction de son travail, les archives de l'évêché : les registres des collations, de un à vingt-six, sont cités à chaque page avec renvoi au feuillet. Il a emprunté également, en ce qui concerne les églises d'Évreux, à un compte original « rendu, les 7 et 8 juin de l'an 1443, à la communauté des chapelains de la cathédrale, par Berthault Blonde!, prêtre et l'un d'eux. » Chaque article contient l'indication du saint sous le vocable duquel l'église est placée, celle du doyenné auquel elle appartient, la désignation du patron ecclésiastique, de la généralité, de l'élection et de la sergenterie. En tête du volume l'auteur a transcrit une intéressante notice sur Évreux, intitulée : « Abrégé historique de la ville et cité d'Évreux par feu M. Lescalier, prêtre, haut vicaire de la cathédrale d'Évreux et promoteur du diocèse. » Parmi les notes historiques ou biographiques insérées dans le corps de l'ouvrage, on remarque les suivantes : « en 1517, la peste enleva beaucoup de monde dans Évreux et spécialement dans cette paroisse (Notre-Dame-de-la-Ronde), f. 2, v° ; – note sur le château de Garembouville et sur l'imprimerie du cardinal de Bourbon, f. 13 ; – notes biographiques sur Elisabeth Hersent et sur Michel Échard de Commanville, curé de Moisville (prédicateur et auteur d'un catéchisme en vers français, f. 104) ; – notes sur les ouvrages de MM. Delangle et Laugeois, curés du Mesnil-Jourdain, f. 109, 110 ; – présentation à la cure de Montaure par saint Vincent de Paul, en 1650, f. 111 ; – note sur Boudon, grand archidiacre de l'église d'Évreux, f. 172, v° : « Boudon (Henri-Marie) s'est fait un nom par plusieurs « ouvrages de piété. Collet a composé sa vie en 1754, « en 2 vol. In-12 ; il lui fait faire beaucoup de miracles « qui prouvent moins la piété de Boudon que la crédulité de M. Collet, dit un journaliste. Boudon a eu « une piété qui ne se démentit jamais et c'est tout ce « qu'il y a de mieux dans sa vie. ».

G20 , XVIIIe siècle , Evreux ("Saint-Léger", rue) ; Evreux (Pouillé du diocèse) ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Evreux (ville d') ; Garembouville ; Mesnil-Jourdain (Le) ; Montaure  
Contexte :
Évêché d'Évreux

Pouillé du diocèse d'Évreux, contenant une nomenclature des bénéfices « à charge d'âmes, » avec des annotations historiques et biographiques, des listes des seigneurs patrons et l'indication des présentations faites pour chaque bénéfice au XVIe et au XVIIe siècle. La seconde partie, qui, d'après une note du feuillet 117 v°, devait être consacrée aux bénéfices simples, n'existe pas aux archives. Ce pouillé paraît avoir été rédigé peu après 1775, comme le prouve une note du 4e feuillet relative à l'ouverture récente de la grande rue Saint-Léger (route de Rouen). L'auteur, qui, d'après les caractères de l'écriture, paraît être l'abbé Chemin, curé de Tourneville, a utilisé principalement, pour la rédaction de son travail, les archives de l'évêché : les registres des collations, de un à vingt-six, sont cités à chaque page avec renvoi au feuillet. Il a emprunté également, en ce qui concerne les églises d'Évreux, à un compte original « rendu, les 7 et 8 juin de l'an 1443, à la communauté des chapelains de la cathédrale, par Berthault Blonde!, prêtre et l'un d'eux. » Chaque article contient l'indication du saint sous le vocable duquel l'église est placée, celle du doyenné auquel elle appartient, la désignation du patron ecclésiastique, de la généralité, de l'élection et de la sergenterie. En tête du volume l'auteur a transcrit une intéressante notice sur Évreux, intitulée : « Abrégé historique de la ville et cité d'Évreux par feu M. Lescalier, prêtre, haut vicaire de la cathédrale d'Évreux et promoteur du diocèse. » Parmi les notes historiques ou biographiques insérées dans le corps de l'ouvrage, on remarque les suivantes : « en 1517, la peste enleva beaucoup de monde dans Évreux et spécialement dans cette paroisse (Notre-Dame-de-la-Ronde), f. 2, v° ; – note sur le château de Garembouville et sur l'imprimerie du cardinal de Bourbon, f. 13 ; – notes biographiques sur Elisabeth Hersent et sur Michel Échard de Commanville, curé de Moisville (prédicateur et auteur d'un catéchisme en vers français, f. 104) ; – notes sur les ouvrages de MM. Delangle et Laugeois, curés du Mesnil-Jourdain, f. 109, 110 ; – présentation à la cure de Montaure par saint Vincent de Paul, en 1650, f. 111 ; – note sur Boudon, grand archidiacre de l'église d'Évreux, f. 172, v° : « Boudon (Henri-Marie) s'est fait un nom par plusieurs « ouvrages de piété. Collet a composé sa vie en 1754, « en 2 vol. In-12 ; il lui fait faire beaucoup de miracles « qui prouvent moins la piété de Boudon que la crédulité de M. Collet, dit un journaliste. Boudon a eu « une piété qui ne se démentit jamais et c'est tout ce « qu'il y a de mieux dans sa vie. ».

G20 , XVIIIe siècle , Evreux ("Saint-Léger", rue) ; Evreux (Pouillé du diocèse) ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Evreux (ville d') ; Garembouville ; Mesnil-Jourdain (Le) ; Montaure  
Contexte :
Évêché d'Évreux
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