Toutes les ressources Duval (le Sieur) 6 résultats (5ms)

Comptes de la fabrique et délibérations des trésoriers et des habitants. « Payé 349 livres 14 sols au sieur Poisson, fondeur à Rouen, pour les cloches (1770), –à monsieur Duval, menuisier à Elbeuf, la somme de 100 livres et 20 livres que monsieur le curé a bien voulu payer pour aider au parfait payement de deux stalles et sièges placés dans le chœur » (1773) ; – délibération relative à la construction d'un sacristie, « n'ayant eu jusqu'à présent de sacristie, excepté un lieu retiré derrière l'autel, tellement étroit que l'on ne peut y être qu'une personne, lieu qui d'ailleurs est trop frais parce qu'il n'est pas aéré, les linges et ornements de l'église s'i trouvent consommés par l'humidité des murailles, comme il nous a apparu par les chappes qui sont réduites en lambeaux par le bas » (1790).

G1324 , 1769-1792 , Rouen (ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Thuit-Anger (Le)

Comptes de la fabrique et délibérations des trésoriers et des habitants. « Payé 349 livres 14 sols au sieur Poisson, fondeur à Rouen, pour les cloches (1770), –à monsieur Duval, menuisier à Elbeuf, la somme de 100 livres et 20 livres que monsieur le curé a bien voulu payer pour aider au parfait payement de deux stalles et sièges placés dans le chœur » (1773) ; – délibération relative à la construction d'un sacristie, « n'ayant eu jusqu'à présent de sacristie, excepté un lieu retiré derrière l'autel, tellement étroit que l'on ne peut y être qu'une personne, lieu qui d'ailleurs est trop frais parce qu'il n'est pas aéré, les linges et ornements de l'église s'i trouvent consommés par l'humidité des murailles, comme il nous a apparu par les chappes qui sont réduites en lambeaux par le bas » (1790).

G1324 , 1769-1792 , Rouen (ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Thuit-Anger (Le)

Quittance du receveur de la baronnie de Trouville, d'une somme de 100 livres « à valoir sur ce qui est deub et qui doit revenir à la dite baronnie pour les droits seigneuriaux des héritages acquis par le trésor en la paroisse de Saint-Aubin, provenant de la succession de feu M. Duval, commissaire aux saisies réelles » (1739) ; – comptes des trésoriers et délibérations des habitants, de 1781 à 1792. L'assemblée des habitants décide de s'opposer aux prétentions du procureur du Roi au bailliage de Pont-Audemer, qui voulait l'obliger à louer par adjudication les bancs de l'église, contrairement à l'usage de la paroisse : « des 34 délibérants qui composoient l'assemblée, 30 ont arrêté que les bancs ne seroient point loués et qu'il en seroit usé comme par le passé ; ils ont fondé leur opposition à la location des bancs : 1° parce qu'il ne peut être placé dans cette église que trentre trois bancs, au lieu de quoy il y a cent cinquante cinq familles, et qu'il en resteroit cent vingt trois qui ne pouroient avoir de place, etc., » (1782) ; – nomination d'un collecteur « pour faire sur la paroisse le recouvrement de la somme de 470 livres pour la corvée des chemins de l'année 1782 ; – délibération au sujet de la refonte de la grosse cloche « qui est cassée » (1784) ; – projet de formation d'un syndicat avec les paroisses de Quillebeuf, de Sainte Opportune, de Saint-Aubin et de Vieux-Port, pour soutenir les droits des habitants de Trouville sur les pâturages communs « appartenant à l'abbaye de Jumièges, à la charge par elle d'en laisser l'usage auxdits habitants, tels qu'ils ont toujours eu » (1787).

G1392 , 1739-1793 , Jumièges (Abbaye de) ; Quillebeuf ; Saint-Aubin-sur-Quillebeuf ; Sainte-Opportune-la-Mare ; Trouville ; Vieux-Port  
Contexte :
Églises paroissiales > Trouville-la-Haulle

Quittance du receveur de la baronnie de Trouville, d'une somme de 100 livres « à valoir sur ce qui est deub et qui doit revenir à la dite baronnie pour les droits seigneuriaux des héritages acquis par le trésor en la paroisse de Saint-Aubin, provenant de la succession de feu M. Duval, commissaire aux saisies réelles » (1739) ; – comptes des trésoriers et délibérations des habitants, de 1781 à 1792. L'assemblée des habitants décide de s'opposer aux prétentions du procureur du Roi au bailliage de Pont-Audemer, qui voulait l'obliger à louer par adjudication les bancs de l'église, contrairement à l'usage de la paroisse : « des 34 délibérants qui composoient l'assemblée, 30 ont arrêté que les bancs ne seroient point loués et qu'il en seroit usé comme par le passé ; ils ont fondé leur opposition à la location des bancs : 1° parce qu'il ne peut être placé dans cette église que trentre trois bancs, au lieu de quoy il y a cent cinquante cinq familles, et qu'il en resteroit cent vingt trois qui ne pouroient avoir de place, etc., » (1782) ; – nomination d'un collecteur « pour faire sur la paroisse le recouvrement de la somme de 470 livres pour la corvée des chemins de l'année 1782 ; – délibération au sujet de la refonte de la grosse cloche « qui est cassée » (1784) ; – projet de formation d'un syndicat avec les paroisses de Quillebeuf, de Sainte Opportune, de Saint-Aubin et de Vieux-Port, pour soutenir les droits des habitants de Trouville sur les pâturages communs « appartenant à l'abbaye de Jumièges, à la charge par elle d'en laisser l'usage auxdits habitants, tels qu'ils ont toujours eu » (1787).

G1392 , 1739-1793 , Jumièges (Abbaye de) ; Quillebeuf ; Saint-Aubin-sur-Quillebeuf ; Sainte-Opportune-la-Mare ; Trouville ; Vieux-Port  
Contexte :
Églises paroissiales > Trouville-la-Haulle

« Pouillé général du diocèse d'Évreux. A Évreux, 1763. » Ce pouillé ce compose de deux parties distinctes reliées en un seul volume. La première comprend la nomenclature par ordre alphabétique des églises paroissiales ; la seconde, celle des bénéfices « qui ne sont point à charge d'âmes, » abbayes, prébendes, chapelles, distribués suivant les archidiaconés et les doyennés. Pour chaque paroisse on a indiqué le nom du saint patron, le doyenné dans le ressort duquel la paroisse était située et le nom du personnage auquel appartenait la présentation. Une main différente a ajouté la mention du nombre des feux, de la valeur du revenu de chaque bénéfice et des indications sur les redevances dues à l'archidiacre par les curés et les fabriques. Quelques notes étrangères au pouillé ont été transcrites sur les feuillets restés blancs, notamment le « testament de M. Duval de Gravigny, chanoine d'Évreux et archidiacre d'Ouche, en faveur des enfants de son archidiaconé » (15 avril 1751, f. 2.) Le pouillé proprement dit renferme les divisions suivantes : dans la première partie (paroisses) : évêché d'Évreux, cures de la ville (f. 10), cures de la campagne (f. 11) ; – dans la seconde partie (bénéfices simples) : archidiaconé d'Évreux (f. 76), doyenné de La Croix-Saint-Leufroy (f. 85. V°), de Vernon (f. 88), de Pacy (f. 91, v°), d'Ivry (f. 93), archidiaconé d'Ouche (f. 95), doyenné d'Ouche (f. 95), de Conches (f. 96), de Laigle (f. 98), de Lyre (f. 99), de Verneuil (f. 100), de Breteuil (f. 101), de Nonancourt (f. 102), archidiaconé du Neubourg, doyenné du Neubourg (f. 103, v°), de Louviers (f. 107, v°) ; –« nombre des bénéfices auxquels chaque ecclésiastique a droit de présenter dans le diocèse » (f. 109, v°) ; –« nombre des bénéfices qui sont à la présentation de plusieurs chapitres » (f. 112) ; –« nombre des bénéfices qui sont à la présentation des prieurs » (f. 112, v°) ; –« nombre des moines qui présentent à quelques cures ou autres bénéfices du diocèse » (f. 113).

G18 , 1763 , Commune d'Ivry ; Croix-Saint-Leufroy (commune de) ; Evreux (Pouillé du diocèse) ; Evreux (ville d') ; Laigle (ville de) ; Louviers ; Lyre (commune de) ; Neubourg (Le), Ville ; Vernon (Ville)  
Contexte :
Évêché d'Évreux

« Pouillé général du diocèse d'Évreux. A Évreux, 1763. » Ce pouillé ce compose de deux parties distinctes reliées en un seul volume. La première comprend la nomenclature par ordre alphabétique des églises paroissiales ; la seconde, celle des bénéfices « qui ne sont point à charge d'âmes, » abbayes, prébendes, chapelles, distribués suivant les archidiaconés et les doyennés. Pour chaque paroisse on a indiqué le nom du saint patron, le doyenné dans le ressort duquel la paroisse était située et le nom du personnage auquel appartenait la présentation. Une main différente a ajouté la mention du nombre des feux, de la valeur du revenu de chaque bénéfice et des indications sur les redevances dues à l'archidiacre par les curés et les fabriques. Quelques notes étrangères au pouillé ont été transcrites sur les feuillets restés blancs, notamment le « testament de M. Duval de Gravigny, chanoine d'Évreux et archidiacre d'Ouche, en faveur des enfants de son archidiaconé » (15 avril 1751, f. 2.) Le pouillé proprement dit renferme les divisions suivantes : dans la première partie (paroisses) : évêché d'Évreux, cures de la ville (f. 10), cures de la campagne (f. 11) ; – dans la seconde partie (bénéfices simples) : archidiaconé d'Évreux (f. 76), doyenné de La Croix-Saint-Leufroy (f. 85. V°), de Vernon (f. 88), de Pacy (f. 91, v°), d'Ivry (f. 93), archidiaconé d'Ouche (f. 95), doyenné d'Ouche (f. 95), de Conches (f. 96), de Laigle (f. 98), de Lyre (f. 99), de Verneuil (f. 100), de Breteuil (f. 101), de Nonancourt (f. 102), archidiaconé du Neubourg, doyenné du Neubourg (f. 103, v°), de Louviers (f. 107, v°) ; –« nombre des bénéfices auxquels chaque ecclésiastique a droit de présenter dans le diocèse » (f. 109, v°) ; –« nombre des bénéfices qui sont à la présentation de plusieurs chapitres » (f. 112) ; –« nombre des bénéfices qui sont à la présentation des prieurs » (f. 112, v°) ; –« nombre des moines qui présentent à quelques cures ou autres bénéfices du diocèse » (f. 113).

G18 , 1763 , Commune d'Ivry ; Croix-Saint-Leufroy (commune de) ; Evreux (Pouillé du diocèse) ; Evreux (ville d') ; Laigle (ville de) ; Louviers ; Lyre (commune de) ; Neubourg (Le), Ville ; Vernon (Ville)  
Contexte :
Évêché d'Évreux
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