Toutes les ressources Saint Etienne 42 résultats (10ms)
« Papier journal de la recepte des cens, rentes et debvoirs sieuriaulx deubz par les tenantz et vassaulx de la seigneurie Saint-Pierre-de-Longueville, alias d'Austis, appartenante à messieurs les religieux et couvent de l'abbaye Saint-Pierre de Jumièges, patrons, seigneurs spirituels et temporels de ladite seigneurie, commençant en l'année 1648. ».
Transaction passée entre Jazon Adam, héritier de Gilles Guittotin, et les trésoriers de la fabrique, relativement à l'exécution d'un legs testamentaire fait par ce dernier au trésor de l'église Saint-Étienne ; – donation à la fabrique par Noël Miret, bourgeois de Conches, d'une rente annuelle de 9 sous tournois.
Transaction passée entre Jazon Adam, héritier de Gilles Guittotin, et les trésoriers de la fabrique, relativement à l'exécution d'un legs testamentaire fait par ce dernier au trésor de l'église Saint-Étienne ; – donation à la fabrique par Noël Miret, bourgeois de Conches, d'une rente annuelle de 9 sous tournois.
Confrérie de Saint-Etienne.
Titres de propriété d'une rente de 20 sous tournois due à la confrérie en 1731 par Jean du Theil, journalier, demeurant au hameau de Maubreuil, paroisse du Fresne.
Confrérie de Saint-Etienne.
Titres de propriété d'une rente de 20 sous tournois due à la confrérie en 1731 par Jean du Theil, journalier, demeurant au hameau de Maubreuil, paroisse du Fresne.
Requête adressée aux religieux de Grestain par François de Caradas de Bonval, prêtre, pour obtenir l'échange de terres voisines situées sur la ferme de Bonval et sur celle de Grestain dans la paroisse de Fontaine-Bellenger (1678) ; – bail à ferme passé par le représentant de l'abbaye à Jacques Doutte, laboureur, de la ferme de l'abbaye en toutes ses circonstances et dépendances, située à Fontaine-Bellenger, avec un petit trait de dîme sis à Saint-Étienne-du-Vauvray, pour le prix de 900 livres par an, outre les charges (1767).
Résignation de la cure de Jumelles par Henri Masson, « prêtre du diocèse d'Évreux, curé et paisible possesseur depuis plus de seize ans de la cure ou église paroissiale de Saint-Étienne de Jumelles », en faveur de Me Louis-Mathurin-Étienne Fortier, prêtre dudit diocèse d'Évreux, chanoine de l'église collégiale de Saint-Pierre-d'Appoigny, diocèse d'Auxerre, et titulaire d'une chapelle en l'église paroissiale de Saint-Gervais en la ville de Paris, « comme étant ledit Me Fortier très digne et capable de bien remplir toutes les fonctions pour le desservice de ladite cure ».
Requête adressée aux religieux de Grestain par François de Caradas de Bonval, prêtre, pour obtenir l'échange de terres voisines situées sur la ferme de Bonval et sur celle de Grestain dans la paroisse de Fontaine-Bellenger (1678) ; – bail à ferme passé par le représentant de l'abbaye à Jacques Doutte, laboureur, de la ferme de l'abbaye en toutes ses circonstances et dépendances, située à Fontaine-Bellenger, avec un petit trait de dîme sis à Saint-Étienne-du-Vauvray, pour le prix de 900 livres par an, outre les charges (1767).
Résignation de la cure de Jumelles par Henri Masson, « prêtre du diocèse d'Évreux, curé et paisible possesseur depuis plus de seize ans de la cure ou église paroissiale de Saint-Étienne de Jumelles », en faveur de Me Louis-Mathurin-Étienne Fortier, prêtre dudit diocèse d'Évreux, chanoine de l'église collégiale de Saint-Pierre-d'Appoigny, diocèse d'Auxerre, et titulaire d'une chapelle en l'église paroissiale de Saint-Gervais en la ville de Paris, « comme étant ledit Me Fortier très digne et capable de bien remplir toutes les fonctions pour le desservice de ladite cure ».
Paroisses de Saint-Étienne et de Saint-Jean d'Elbeuf.
Reconnaissance par Robert Lefèvre, dit Vicomte, de la paroisse Saint-Étienne d'Elbeuf, envers le chapitre de La Saussaye, d'une rente annuelle de 5 sous tournois assignée sur une masure et maison situées dans la rue Meleuze à Elbeuf (1er juillet 1599) ; – arrêt du parlement de Rouen ordonnant l'exécution des arrêts du 13 mars 1660 et du 16 septembre 1661 qui autorisaient le chapitre de La Saussaye à recouvrer sur Simon « Pastallier », fermier des moulins d'Elbeuf, les arrérages d'une rente de 336 livres 5 sols léguée au chapitre par Guillaume d'Harcourt, duc d'Elbeuf, en 1317 (5 mars 1662) ; – ordre de Charles de Lorraine, duc d'Elbeuf, à « Patellier », fermier de ses moulins d'Elbeuf et à ses successeurs, de payer aux chanoines de La Saussaye la somme de 1,089 livres 10 sols pour arrérages échus des 336 livres 5 sols de rente à eux léguées par ses prédécesseurs et de servir régulièrement cette rente chaque année (3 janvier 1664).
Saint-Marcel.
Donation au prieuré par Maheut Lamengin, veuve de Guillaume de Glo, d'une masure, de plusieurs pièces de terre et de vigne ainsi que de diverses rentes foncières situées ou assignées dans les paroisses de Saint-Marcel, de Vernonnet et de Saint-Étienne-sous-Bailleul (1339) ; baux à fieffe de plusieurs pièces de vigne appartenant au prieuré dans la paroisse de Saint-Marcel.
Procès-verbaux de visite du prieuré par les vicaires généraux de l'archevêque de Rouen (1622-1646) ; – inventaires des reliques, des ornements et du mobilier de l'église du prieuré (1622-1682) : « premièrement un soleil d'argent porté sur un pied de cuivre, dans lequel il se rencontre du sépulchre de Nostre-Seigneur, des reliques de saint André, apostre, du vestemént de saint Jean Évangéliste, de saint Remy évesque, du vestement de saint Urbain, de saint Gra confesseur, des unze milles vierges et plusieurs autres enchâssées dans une vitre, avec une dent de saint Fiacre... De l'argenterie : un grand soleil d'argent avec un saint ciboire d'argent ; quatre beaux calices d'argent ; une grande croix d'argent pour porter en procession ; une petite croix d'argent avec deux chandeliers d'argent ; deux chopinettes et un plat à laver d'argent le tout ; le texte des évangiles, tout couvert d'argent et enrichi de pierreries... Tableaux : un tableau de Nostre-Dame-de-Pitié ; sept autres tableaux peints sur du marbre blanc ; un tableau de saint Estienne sur du cuivre ; deux tableaux de cuivre sur du velours ; un autre tableau de sainte Anne ; une autre image ouvragée d'or et d'argent et plusieurs autres ornements de saint Fiacre... ».
Confirmation par Guillaume le Poitevin, de la paroisse Saint-Pierre-du-Vauvray, de la vente faite à l'abbaye par Vivien de Ruella d'une rente de 13 sous et un chapon assignée sur une pièce de terre au port du Vauvray (1249) ; – donation à l'abbaye par Jean Du Val, de la paroisse Saint-Étienne-du-Vauvray, d'une rente annuelle de 2 sous, assignée sur une oseraie sise au Vauvray, devant les Loges (1277) ; – contrats de vente et baux à fieffe de terres et de vignes situées à Saint-Étienne-du-Vauvray, chargées de rentes seigneuriales envers l'abbaye de Bonport (XVIe siècle). – (Cinquante-sixième liasse de l'inventaire de 1784.).
Paroisses de Saint-Étienne et de Saint-Jean d'Elbeuf.
Reconnaissance par Robert Lefèvre, dit Vicomte, de la paroisse Saint-Étienne d'Elbeuf, envers le chapitre de La Saussaye, d'une rente annuelle de 5 sous tournois assignée sur une masure et maison situées dans la rue Meleuze à Elbeuf (1er juillet 1599) ; – arrêt du parlement de Rouen ordonnant l'exécution des arrêts du 13 mars 1660 et du 16 septembre 1661 qui autorisaient le chapitre de La Saussaye à recouvrer sur Simon « Pastallier », fermier des moulins d'Elbeuf, les arrérages d'une rente de 336 livres 5 sols léguée au chapitre par Guillaume d'Harcourt, duc d'Elbeuf, en 1317 (5 mars 1662) ; – ordre de Charles de Lorraine, duc d'Elbeuf, à « Patellier », fermier de ses moulins d'Elbeuf et à ses successeurs, de payer aux chanoines de La Saussaye la somme de 1,089 livres 10 sols pour arrérages échus des 336 livres 5 sols de rente à eux léguées par ses prédécesseurs et de servir régulièrement cette rente chaque année (3 janvier 1664).