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Confrérie de Sainte-Barbe.

G1662 , 1603-1620  

Statuts (incomplets) de la confrérie, approuvés par Jean Deschamps, officiai et vicaire général d'Évreux (1603), et par François de Péricard, évêque d'Évreux (1620) ; – constitution au profit de la confrérie, par Thomas Daniel, d'une rente de 4 livres 4 sous tournois, au capital de 60 livres (1609).

Contexte :
Confréries > Harcourt

Confrérie de Sainte-Barbe.

G1662 , 1603-1620  

Statuts (incomplets) de la confrérie, approuvés par Jean Deschamps, officiai et vicaire général d'Évreux (1603), et par François de Péricard, évêque d'Évreux (1620) ; – constitution au profit de la confrérie, par Thomas Daniel, d'une rente de 4 livres 4 sous tournois, au capital de 60 livres (1609).

Contexte :
Confréries > Harcourt

Le Tremblay (Osmonville).

H566 , 1222 , Ernes (paroisse d') ; Evreux (Ville) ; Sainte-Barbe-en-Auge (Prieuré de) ; Tremblay-Omonville (Le)  

Transaction passée entre l'abbaye de Lyre et le prieuré de Sainte-Barbe-en-Auge. L'abbaye de Lyre abandonne les dîmes de la paroisse d'Ernes {Ethnes), moyennant une rente annuelle de 100 sous tournois payable aux deux synodes diocésains d'Évreux et assignée sur les revenus du prieuré de Sainte-Barbe à Osmonville. — (Quatre-vingt-troisième chapitre de l'inventaire de 1738.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Lyre (Ordre de Saint-Benoît)

Le Tremblay (Osmonville).

H566 , 1222 , Ernes (paroisse d') ; Evreux (Ville) ; Sainte-Barbe-en-Auge (Prieuré de) ; Tremblay-Omonville (Le)  

Transaction passée entre l'abbaye de Lyre et le prieuré de Sainte-Barbe-en-Auge. L'abbaye de Lyre abandonne les dîmes de la paroisse d'Ernes {Ethnes), moyennant une rente annuelle de 100 sous tournois payable aux deux synodes diocésains d'Évreux et assignée sur les revenus du prieuré de Sainte-Barbe à Osmonville. — (Quatre-vingt-troisième chapitre de l'inventaire de 1738.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Lyre (Ordre de Saint-Benoît)

Donation par Jean Lefebvre, laboureur, à la chapelle que ledit Lefèvre a fait construire en l'esglize Sainte-Marie-des-Champs », d'une rente annuelle de vingt livres tournois : « lequel Lefebvre ou ses héritiers ou ayant cause présenteront à ladite chapelle tel chapelain qu'il verra bonestre » (1542) ; – ordonnance du lieutenant général civil du bailliage de Gisors, déclarant que le sieur Hélie Lefèvre, curé de Douxmesnil, nommé par les héritiers de Jean Lefèvre titulaire de la chapelle et autel de Sainte-Barbe dans l'église de Sainte-Marie-des-Champs, demeurera maintenu en la possession de ladite chapelle (1677).

G1208 , 1542-1677 , Douxmesnil ; Gisors ; Sainte-Marie-des-Champs  
Contexte :
Églises paroissiales > Sainte-Marie-des-Champs

Donation par Jean Lefebvre, laboureur, à la chapelle que ledit Lefèvre a fait construire en l'esglize Sainte-Marie-des-Champs », d'une rente annuelle de vingt livres tournois : « lequel Lefebvre ou ses héritiers ou ayant cause présenteront à ladite chapelle tel chapelain qu'il verra bonestre » (1542) ; – ordonnance du lieutenant général civil du bailliage de Gisors, déclarant que le sieur Hélie Lefèvre, curé de Douxmesnil, nommé par les héritiers de Jean Lefèvre titulaire de la chapelle et autel de Sainte-Barbe dans l'église de Sainte-Marie-des-Champs, demeurera maintenu en la possession de ladite chapelle (1677).

G1208 , 1542-1677 , Douxmesnil ; Gisors ; Sainte-Marie-des-Champs  
Contexte :
Églises paroissiales > Sainte-Marie-des-Champs

Copie des lettres de sauvegarde accordées au château de Gaillon et aux paroisses environnantes par « le sieur de Villartz, admiral de France et lieutenant général au gouvernement de Normandie », datées du château de Pont-de-l'Arche le 8 novembre 1592 : « Désirans tesmoigner en toutes occurences l'honneur et respect qui est deub et que nous portons à la mémoire du feu Roy Charles dixième, que Dieu absolve, sachantz aussy que le vouloir et intention de Monseigneur a toujours esté que son corps, qui repose au chasteau de Gaillon, y apporte toute immunité et franchise et seureté, nous avons prins et mis, prenons et mettons de nouveau en sa saulvegarde et la nôtre particulière ledit château, bourg de Gaillon, parroisses d'Aulbevoye, Saint-Aulbin et Sainte-Barbe et leurs despendances... » etc. ; – autres lettres de sauvegarde accordées par le même aux Chartreux de Gaillon, « spéciallement en leur maison, chapelle et ferme de Saint Germain de Paubourge près Morny » (datées de Rouen, le 16 décembre 1592) ; – autres lettres de sauvegarde accordées « au monastère et couvent de Nostre Dame de Bonne Espérance lez Gaillon » par le duc de Mayenne, lieutenant général de l'État royal et couronne de France (datées de Paris le 21 décembre 1592 et signées « Charles de Lorraine »).

H1084 , 1592 , Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Morny ; Pont-de-l'Arche, ville ; Sainte-Barbe-sur-Gaillon ; Saint-Germain-de-Paulbourg (hameau sis à Morville, près Morgny)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Pièces de procédure entre François-Lubin Godinier, curé du Gros-Theil, d'une part, et François-Louis Duchemin, représentant Guillaume Duchemin, fondateur et bienfaiteur de l'église, d'autre part, opposant à la demande de suppression des autels Sainte-Barbe et Saint-Lubin de l'église du Gros-Theil, introduite par ledit curé devant l'official de Rouen ; – id., entre les trésoriers et les habitants du Gros-Theil, d'une part, et noble dame Marie-Françoise Pain, veuve de Mrg Joseph de Saint-Ouen, d'autre part, au sujet du droit honorifique de recevoir l'offrande du pain bénit à l'église, prétendu par cette dernière : « dans le droit général et summo jure, après tout ce qui forme le clergé, le pain béni doit être offert au patron, sa femme et enfants, au haut justicier et aux siens et après à tous les fidèles indistinctement, le porteur du pain béni n'étant point obligé de chercher de place en place les personnes qui prétendroient cette préférence ».

G715 , 1754-1787 , Gros-Theil (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Gros-Theil

Copie des lettres de sauvegarde accordées au château de Gaillon et aux paroisses environnantes par « le sieur de Villartz, admiral de France et lieutenant général au gouvernement de Normandie », datées du château de Pont-de-l'Arche le 8 novembre 1592 : « Désirans tesmoigner en toutes occurences l'honneur et respect qui est deub et que nous portons à la mémoire du feu Roy Charles dixième, que Dieu absolve, sachantz aussy que le vouloir et intention de Monseigneur a toujours esté que son corps, qui repose au chasteau de Gaillon, y apporte toute immunité et franchise et seureté, nous avons prins et mis, prenons et mettons de nouveau en sa saulvegarde et la nôtre particulière ledit château, bourg de Gaillon, parroisses d'Aulbevoye, Saint-Aulbin et Sainte-Barbe et leurs despendances... » etc. ; – autres lettres de sauvegarde accordées par le même aux Chartreux de Gaillon, « spéciallement en leur maison, chapelle et ferme de Saint Germain de Paubourge près Morny » (datées de Rouen, le 16 décembre 1592) ; – autres lettres de sauvegarde accordées « au monastère et couvent de Nostre Dame de Bonne Espérance lez Gaillon » par le duc de Mayenne, lieutenant général de l'État royal et couronne de France (datées de Paris le 21 décembre 1592 et signées « Charles de Lorraine »).

H1084 , 1592 , Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Morny ; Pont-de-l'Arche, ville ; Sainte-Barbe-sur-Gaillon ; Saint-Germain-de-Paulbourg (hameau sis à Morville, près Morgny)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Pièces de procédure entre François-Lubin Godinier, curé du Gros-Theil, d'une part, et François-Louis Duchemin, représentant Guillaume Duchemin, fondateur et bienfaiteur de l'église, d'autre part, opposant à la demande de suppression des autels Sainte-Barbe et Saint-Lubin de l'église du Gros-Theil, introduite par ledit curé devant l'official de Rouen ; – id., entre les trésoriers et les habitants du Gros-Theil, d'une part, et noble dame Marie-Françoise Pain, veuve de Mrg Joseph de Saint-Ouen, d'autre part, au sujet du droit honorifique de recevoir l'offrande du pain bénit à l'église, prétendu par cette dernière : « dans le droit général et summo jure, après tout ce qui forme le clergé, le pain béni doit être offert au patron, sa femme et enfants, au haut justicier et aux siens et après à tous les fidèles indistinctement, le porteur du pain béni n'étant point obligé de chercher de place en place les personnes qui prétendroient cette préférence ».

G715 , 1754-1787 , Gros-Theil (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Gros-Theil

Bail à fieffe passé par Robinet et Henri Devin à Guillaume Le Fèvre, de Bernouville, d'une demi-acre déterre située à Bézu-le-Long, à la charge de payer annuellement 3 boisseaux d'avoine dus au bemage du Roi et moyennant une rente de 12 sous parisis (1511) ; – bail passé pour une durée de 90 ans par Guillaume « Le Flameng », prieur du prieuré de Bézu, à Jean Cheron, d'une pièce de terre située à Bézu, à la charge de payer audit prieur et à ses représentants une rente annuelle de 5 sous tournois (1556) ; – testament de Louis Bénard, laboureur, demeurant au Mesnil-Guilbert, paroisse de Bézu, contenant plusieurs legs pieux, notamment aux confréries du Saint-Sacrement et de Sainte-Barbe de l'église de Bézu (1591) ; – copie du testament de Jean Mordant, procureur aux sièges de Gisors, contenant donation d'une rente annuelle de 100 sous tournois à l'église de Bézu-le-Long, à la charge d'un obit (1603) ; – testament de Marie-Anne Prevel, femme de Nicolas ieupart, contenant donation à l'église de Bézu, où la testatrice voulait être inhumée, d'une rente de 60 sous, à la charge d'un obit (1720).

G414 , 1511-XVIIIe siècle , Bernouville ; Bézu (prieuré de) ; Gisors ; Mesnil-Guilbert (Le), à Bézu  
Contexte :
Églises paroissiales > Bézu-le-Long

Journal des recettes et des dépenses du prieuré de Grammont-lès-Beaumont et de Grammont-la-Bellière, son annexe (1776-1783) ; — notes de comptabilité de M. Hézon, avocat à Évreux et régisseur des économats, relatives à l'administration des biens du prieuré de Grammont-lès-Beaumont après le décès de M. Silvain du Ligondès, prieur (1783-1784), du prieuré de Croth, de la dîme de Serez dépendant de l'abbaye de Grandchamp, du prieuré du Tremblay, près la commanderie de Saint-Étienne, dépendant de l'abbaye de Sainte-Barbe-en-Auge et du prieuré de Lierru (1783-1790).

H876 , 1776-1790 , Croth (prieuré de) ; Grammont-la-Bellière (Prieuré de) ; Grammont-les-Beaumont-le-Roger (Prieuré de) ; Grandchamp (abbaye de) ; Lierru (Prieuré royal de Saint-Pierre-Saint-Paul de) ; Sainte-Barbe-en-Auge (Prieuré de) ; Saint-Etienne-de-Remeville (Commanderie de) ; Serez ; Thevray ; Tremblay (Prieuré du), près la Commanderie  

Journal des recettes et des dépenses du prieuré de Grammont-lès-Beaumont et de Grammont-la-Bellière, son annexe (1776-1783) ; — notes de comptabilité de M. Hézon, avocat à Évreux et régisseur des économats, relatives à l'administration des biens du prieuré de Grammont-lès-Beaumont après le décès de M. Silvain du Ligondès, prieur (1783-1784), du prieuré de Croth, de la dîme de Serez dépendant de l'abbaye de Grandchamp, du prieuré du Tremblay, près la commanderie de Saint-Étienne, dépendant de l'abbaye de Sainte-Barbe-en-Auge et du prieuré de Lierru (1783-1790).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieurés de Grammont-lès-Beaumont et de Grammont-la-Bellière, son annexe

Baux à ferme des terres de la fabrique depuis 1659 ; – inventaire des « contrats et escritures concernans le revenu de l'église » (1683) ; – inventaire « des contrats des rentes foncières et hypothèques, fait en l'année 1718 » (les fondations ont été longuement analysées et accompagnées de nombreuses annotations ; la plupart de ces dernières sont de M. de Folleville, curé de Beauficel) ; – comptes des trésoriers de la fabrique et des confréries de Saint-Leu et Saint-Gilles et de Sainte-Barbe, de 1657 à 1741 ; – délibérations des trésoriers et des habitants ; procès-verbaux des visites de l'église et de l'élection des trésoriers. –« Payé aux cinq peintres qui avoient travaillé le mois d'aoust et septembre 1657 tout entier, tant au chœur qu'à la nef et portail de l'église... 50 livres. Pour quatre images à faire par Me Michel Abraham, dont il reste encore 50 livres à payer du prix principal... 100 livres (1658). Payé aux sonneurs, la nuit des morts... 1 livre. A la sœur maîtresse de l'échoie des filles... 10 livres (1720). A Paschal Peny, peintre, demeurant à Gisors, pour une Passion sur toile pour le crucifix en carême,... 36 livres (1723). A propos de la maison achetée au moyen de dons faits à la paroisse en 1659 pour servir à une école de filles, on lit dans le registre (fol. 382, v°) : « L'instruction des jeunes filles est une des choses qui conduit le plus à leur salut et à l'honneur de la religion ; c'est pourquoi laditte maison est destinée à cet usage et ne doit être occupée que par une maîtresse, à qui les père et mère sont exhortés de donner deux ou trois sols au moins par mois pour l'instruction de chacune de leurs filles qui iront à l'échoie, ou de faire un fond pour l'entretien de laditte maîtresse, jusqu'à la concurrence de 100 livres, suivant la déclaration du feu Roy du 13 décembre 1698, sans quoy il est impossible que le grand bien de l'instruction des filles soit fait en ce lieu, en attendant que le Seigneur inspire à quelqu'un la pieuse volonté d'aumôner un fond suffisant à cette œuvre, le logement seul ne suffisant pas ». « En l'an 1725, pendant le carême, j'ay fait faire par le nommé Bernard, sculpteur, natif de Grenoble et domicilié à Vernon, un aigle de bois de chêne au cœur, l'image de saint Philippe, apôtre, en la chapelle de Saint-Leu, qui fait cimétrie à l'image Saint-Adrien, aussy de cœur de chêne, et peindre en partie et dorer en autre par Sylvain Peny ; j'ay fourni le bois qui m'a coûté vingt francs, donné cent francs au sculpteur pour sa façon, avec la nourriture, y compris un ange de bois de tilleul, qui porte le bras où est enchâssée la relique de Saint-Leu, dont la dorure a coûté 24 livres au trésor ; la dorure et peinture de l'apôtre m'a coûté 10 livres et 60 sols » (note du curé De Folleville).

G381 , 1657-1750 , Gisors ; Grenoble ; Vernon (Ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Beauficel

Aveux rendus par les trésoriers de la fabrique et de la confrérie de Sainte-Barbe à Alexandre Le Biche, conseiller du Roi, seigneur de Bazincourt, Sancourt et autres lieux (1735), à Marie-Olympe-Félicité de Barbette, femme séparée de biens de Louis-François Levaillant, écuyer, sieur de Valcourt, dame de Tierceville, de Beauregard et de La Grange à Saint-Éloi (1760) et à Catherine de Giverville, veuve de Louis-Bernard Grout, chevalier, seigneur de Saint-Paër, Bazincourt et Sancourt (1783-1789), pour des terres relevant de la seigneurie de Bazincourt.

G377 , 1735-1789 , Bazincourt ; Beauregard (fief de), à Saint-Eloi ; Grange (La), fief, à Saint-Eloi ; Saint-Paër (ou Pair), Paterne ; Sancourt ; Tierceville ; Valcourt (fief de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Bazincourt

Baux à ferme des terres de la fabrique depuis 1659 ; – inventaire des « contrats et escritures concernans le revenu de l'église » (1683) ; – inventaire « des contrats des rentes foncières et hypothèques, fait en l'année 1718 » (les fondations ont été longuement analysées et accompagnées de nombreuses annotations ; la plupart de ces dernières sont de M. de Folleville, curé de Beauficel) ; – comptes des trésoriers de la fabrique et des confréries de Saint-Leu et Saint-Gilles et de Sainte-Barbe, de 1657 à 1741 ; – délibérations des trésoriers et des habitants ; procès-verbaux des visites de l'église et de l'élection des trésoriers. –« Payé aux cinq peintres qui avoient travaillé le mois d'aoust et septembre 1657 tout entier, tant au chœur qu'à la nef et portail de l'église... 50 livres. Pour quatre images à faire par Me Michel Abraham, dont il reste encore 50 livres à payer du prix principal... 100 livres (1658). Payé aux sonneurs, la nuit des morts... 1 livre. A la sœur maîtresse de l'échoie des filles... 10 livres (1720). A Paschal Peny, peintre, demeurant à Gisors, pour une Passion sur toile pour le crucifix en carême,... 36 livres (1723). A propos de la maison achetée au moyen de dons faits à la paroisse en 1659 pour servir à une école de filles, on lit dans le registre (fol. 382, v°) : « L'instruction des jeunes filles est une des choses qui conduit le plus à leur salut et à l'honneur de la religion ; c'est pourquoi laditte maison est destinée à cet usage et ne doit être occupée que par une maîtresse, à qui les père et mère sont exhortés de donner deux ou trois sols au moins par mois pour l'instruction de chacune de leurs filles qui iront à l'échoie, ou de faire un fond pour l'entretien de laditte maîtresse, jusqu'à la concurrence de 100 livres, suivant la déclaration du feu Roy du 13 décembre 1698, sans quoy il est impossible que le grand bien de l'instruction des filles soit fait en ce lieu, en attendant que le Seigneur inspire à quelqu'un la pieuse volonté d'aumôner un fond suffisant à cette œuvre, le logement seul ne suffisant pas ». « En l'an 1725, pendant le carême, j'ay fait faire par le nommé Bernard, sculpteur, natif de Grenoble et domicilié à Vernon, un aigle de bois de chêne au cœur, l'image de saint Philippe, apôtre, en la chapelle de Saint-Leu, qui fait cimétrie à l'image Saint-Adrien, aussy de cœur de chêne, et peindre en partie et dorer en autre par Sylvain Peny ; j'ay fourni le bois qui m'a coûté vingt francs, donné cent francs au sculpteur pour sa façon, avec la nourriture, y compris un ange de bois de tilleul, qui porte le bras où est enchâssée la relique de Saint-Leu, dont la dorure a coûté 24 livres au trésor ; la dorure et peinture de l'apôtre m'a coûté 10 livres et 60 sols » (note du curé De Folleville).

G381 , 1657-1750 , Gisors ; Grenoble ; Vernon (Ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Beauficel