Testament de Jean Trognon, chirurgien à Valcorbon, léguant à la fabrique une rente de 4 livres tournois (1684). Reconnaissance par Louis Trognon, héritier de Jean, des rentes par lui dues à la fabrique en conséquence de la fondation ci-dessus et des donations faites par Catherine de Silly, veuve de Claude Trognon, en 1633, et par Michel Trognon, sieur de Saint-Michel, en 1661 ; – donation à la fabrique, à charge de services religieux, par Françoise Royer, veuve de Louis Canu, d'une somme de 120 livres « qu'il convient fournir et payer par ladite paroisse pour avoir les livres nécessaires ordonnez estre levées par arrest de Sa Majesté adressé à ladite paroisse, suivant lequel, après que le sieur curé, trésorier et habitans ont examiné entre eux le fonds et revenu de ladite église, ils ont trouvé qu'il n'y a aucuns deniers au coffre de la dite églize, attendu que le revenu d'icelle églize est très médiocre » (1729) ; – remise à la fabrique par Pierre Gilles, curé de Bionval, exécuteur testamentaire d'Antoine Boulanger, ancien curé de Valcorbon, au nom de ce dernier, de quatre pièces de terre situées à Guiseniers, acquises au prix de 200 livres de Nicolas Suzey, vigneron, demeurant à Gasny, détenu prisonnier ès prisons royalles de Vernon, requeste de Jean Lamy, vigneron audit lieu, pour cas civil, ledit Suzey fait venir entre les deux guichets par le concierge, déclarant qu'il ne fait ladite vente que pour le tirer desdites prisons et pour satisfaire et payer ledit Lamy des frais faits jusqu'à ce jour » (1731).
G1396
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1684-1738
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Bionval ; Gasny ; Guiseniers ; Val-Corbon (Le) ; Vernon (Ville)
Contexte :