Toutes les ressources Amécourt 6 résultats (8ms)

Copies d'un contrat de constitution par l'abbaye au profit de Pierre Deshayes d'une rente de 100 livres, au capital de 2.000 livres, formant le reliquat d'un emprunt de 3.000 livres contracté par ladite abbaye en 1757 (1769), – d'un autre contrat de constitution d'une rente de 250 livres, au capital de 5.000 livres, au profit de Jean-Baptiste Gamain, « maître d'hôtel de M. le marquis d'Espiés », demeurant à Amécourt (1782).

H1712 , 1769-1782 , Amécourt ; Breuil-Pont (Abbaye de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Breuil-Benoît (Ordre de Cîteaux)

Confrérie de charité.

G1544 , 1646 , Amécourt ; Rouen (ville)  

Statuts de la Charité, sous l'invocation de Saint Maur, approuvés par Antoine Gaulde, docteur de Sorbonne, vicaire général de l'archevêque de Rouen, à la requête de Florimond de Maries, curé, et des habitants de la paroisse d'Amécourt. « Il est statué et ordonné que toute personne de bonne vie et honneste conversation qui se voudra rendre de ladite confrairie et participer aux mérites et bienfaits d'icelle, y sera reçu en promettant au préalable devant le sieur curé de ladite paroisse ou devant le chapelain d'icelle confrairie que bien et fidellement il maintiendra et gardera à son pouvoir les status d'icelle ; et payera chasque personne pour son entrée à ladite confrairie la somme de dix-huit deniers ou plus grande somme, à sa dévotion, et par chascun an, au jour et feste de Saint-Maur, la somme de deux sols ; et oultre ce, pour chascun décédé, la somme de douze deniers, lé tout pour subvenir aux frais et entretenement de ladite confrairie.... Item, quand chascun frère ou sœur de ladite confrairie ira de vie à trépas, le maistre ou eschevin en estant deument advertys par les parens ou amys du décédé envoiront le serviteur de ladite confrairie par les carfours de ladite paroisse d'Amécourt sonner les clochettes d'icelle confrairie et faire savoir la mort et trépas dudict defunct ou deffuncte ; et le maistre, ayant reçu l'heure de l'inhumation, envoira ledit serviteur sonner douze traicts ou tintetes de la grosse cloche, puis, après quelque peu de temps, à volée, pour assembler en ladite église d'Amécourt les frères servants et aller ensamblement lever et porter en terre sainte le corps du décédé, de quelque maladie que ce soit, dans la banlieue de ladite paroisse d'Amécourt, etc.. Item, si aucun frère ou sœur de laditte confrairie fust en telle pauvreté ou extrémité de maladie qu'il n'eust moien de subvenir à son vivre et nourriture, sera aidé et secouru des moyens d'icelle confrairie, à la prudence et discrétion du sieur curé dudit lieu d'Amécourt et du maistre en charge et en cas que ledict malade décédast, n'ayant laissé de quoy avoir ung drap pour l'ensevelir, il luy en sera fourny ung aux despens de laditte confrairie ».

Contexte :
Confréries > Amécourt

Copies d'un contrat de constitution par l'abbaye au profit de Pierre Deshayes d'une rente de 100 livres, au capital de 2.000 livres, formant le reliquat d'un emprunt de 3.000 livres contracté par ladite abbaye en 1757 (1769), – d'un autre contrat de constitution d'une rente de 250 livres, au capital de 5.000 livres, au profit de Jean-Baptiste Gamain, « maître d'hôtel de M. le marquis d'Espiés », demeurant à Amécourt (1782).

H1712 , 1769-1782 , Amécourt ; Breuil-Pont (Abbaye de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Breuil-Benoît (Ordre de Cîteaux)

Confrérie de charité.

G1544 , 1646 , Amécourt ; Rouen (ville)  

Statuts de la Charité, sous l'invocation de Saint Maur, approuvés par Antoine Gaulde, docteur de Sorbonne, vicaire général de l'archevêque de Rouen, à la requête de Florimond de Maries, curé, et des habitants de la paroisse d'Amécourt. « Il est statué et ordonné que toute personne de bonne vie et honneste conversation qui se voudra rendre de ladite confrairie et participer aux mérites et bienfaits d'icelle, y sera reçu en promettant au préalable devant le sieur curé de ladite paroisse ou devant le chapelain d'icelle confrairie que bien et fidellement il maintiendra et gardera à son pouvoir les status d'icelle ; et payera chasque personne pour son entrée à ladite confrairie la somme de dix-huit deniers ou plus grande somme, à sa dévotion, et par chascun an, au jour et feste de Saint-Maur, la somme de deux sols ; et oultre ce, pour chascun décédé, la somme de douze deniers, lé tout pour subvenir aux frais et entretenement de ladite confrairie.... Item, quand chascun frère ou sœur de ladite confrairie ira de vie à trépas, le maistre ou eschevin en estant deument advertys par les parens ou amys du décédé envoiront le serviteur de ladite confrairie par les carfours de ladite paroisse d'Amécourt sonner les clochettes d'icelle confrairie et faire savoir la mort et trépas dudict defunct ou deffuncte ; et le maistre, ayant reçu l'heure de l'inhumation, envoira ledit serviteur sonner douze traicts ou tintetes de la grosse cloche, puis, après quelque peu de temps, à volée, pour assembler en ladite église d'Amécourt les frères servants et aller ensamblement lever et porter en terre sainte le corps du décédé, de quelque maladie que ce soit, dans la banlieue de ladite paroisse d'Amécourt, etc.. Item, si aucun frère ou sœur de laditte confrairie fust en telle pauvreté ou extrémité de maladie qu'il n'eust moien de subvenir à son vivre et nourriture, sera aidé et secouru des moyens d'icelle confrairie, à la prudence et discrétion du sieur curé dudit lieu d'Amécourt et du maistre en charge et en cas que ledict malade décédast, n'ayant laissé de quoy avoir ung drap pour l'ensevelir, il luy en sera fourny ung aux despens de laditte confrairie ».

Contexte :
Confréries > Amécourt

Contrat de revalidation d'une rente de mille livres constituée en 1736 au profit du couvent de Sainte-Marie de Bizy et due en 1779 aux religieuses de la congrégation de Vernon par Claude-Daniel, marquis de Boisdennemets, chevalier, et par Simon-Robert Le Febvre, laboureur à Gamaches, « au nom et comme étant aux droits et représentant messire Louis Le Febvre, seigneur et patron d'Amécourt et à ce titre possédant le fief, terre et seigneurie de Chailly » (1779) ; — échange entre les religieuses de la congrégation de Vernon, d'une part, et Louis-Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, d'autre part, du sol de l'église et des lieux réguliers du couvent supprimé des Bénédictines de Bizy, contenant trois arpents quarante cinq perches, contre une rente de 300 livres constituée sur les aides et gabelles (1676).

H1590 , 1649-1787 , Amécourt ; Bisy (Couvent de Bénédictines de) ; Camfleur ; Chailly (fief du) sis à Amécourt ; Gamaches ; Vernon (Couvent de Sainte-Marie, sis à Bizy)  

Contrat de revalidation d'une rente de mille livres constituée en 1736 au profit du couvent de Sainte-Marie de Bizy et due en 1779 aux religieuses de la congrégation de Vernon par Claude-Daniel, marquis de Boisdennemets, chevalier, et par Simon-Robert Le Febvre, laboureur à Gamaches, « au nom et comme étant aux droits et représentant messire Louis Le Febvre, seigneur et patron d'Amécourt et à ce titre possédant le fief, terre et seigneurie de Chailly » (1779) ; — échange entre les religieuses de la congrégation de Vernon, d'une part, et Louis-Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, d'autre part, du sol de l'église et des lieux réguliers du couvent supprimé des Bénédictines de Bizy, contenant trois arpents quarante cinq perches, contre une rente de 300 livres constituée sur les aides et gabelles (1676).

Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Congrégation de Notre-Dame de Vernon

Contrat de revalidation d'une rente de mille livres constituée en 1736 au profit du couvent de Sainte-Marie de Bizy et due en 1779 aux religieuses de la congrégation de Vernon par Claude-Daniel, marquis de Boisdennemets, chevalier, et par Simon-Robert Le Febvre, laboureur à Gamaches, « au nom et comme étant aux droits et représentant messire Louis Le Febvre, seigneur et patron d'Amécourt et à ce titre possédant le fief, terre et seigneurie de Chailly » (1779) ; — échange entre les religieuses de la congrégation de Vernon, d'une part, et Louis-Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, d'autre part, du sol de l'église et des lieux réguliers du couvent supprimé des Bénédictines de Bizy, contenant trois arpents quarante cinq perches, contre une rente de 300 livres constituée sur les aides et gabelles (1676).

H1590 , 1649-1787 , Amécourt ; Bisy (Couvent de Bénédictines de) ; Camfleur ; Chailly (fief du) sis à Amécourt ; Gamaches ; Vernon (Couvent de Sainte-Marie, sis à Bizy)  

Contrat de revalidation d'une rente de mille livres constituée en 1736 au profit du couvent de Sainte-Marie de Bizy et due en 1779 aux religieuses de la congrégation de Vernon par Claude-Daniel, marquis de Boisdennemets, chevalier, et par Simon-Robert Le Febvre, laboureur à Gamaches, « au nom et comme étant aux droits et représentant messire Louis Le Febvre, seigneur et patron d'Amécourt et à ce titre possédant le fief, terre et seigneurie de Chailly » (1779) ; — échange entre les religieuses de la congrégation de Vernon, d'une part, et Louis-Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, d'autre part, du sol de l'église et des lieux réguliers du couvent supprimé des Bénédictines de Bizy, contenant trois arpents quarante cinq perches, contre une rente de 300 livres constituée sur les aides et gabelles (1676).

Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Congrégation de Notre-Dame de Vernon
Fin des résultats