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Tosny et Bernières.

H1495 , 1646-1767 , Andelys (Les), Les Bénédictines ; Bernières (fief de) ; Garenne (La), hameau de Tosny ; Lyons-la-Forêt (Couvent de Bénédictins de Saint-Charles de) ; Orgeville (ferme d'), sise à Tosny ; Paris (ville) ; Tosny  

Bail à ferme passé par les Bénédictines d'Andely à Charles Amette, laboureur, de « la ferme d'Orgeville, située proche de la Garenne, hameau de la paroisse de Thosny, avec ses circonstance et dépendances, consistant en une maison seigneuriale, colombier, granges, écuries et autres bâtiments, avec la cour close, le lieu comme il se comporte situé en partie sur le dîmage de Bernière », et de plusieurs pièces de terre et de marais dépendant de ladite ferme, moyennant un prix de fermage annuel de 270 livres, outre les charges (1714) ; — aveu rendu par les religieuses à Claude Camusat, seigneur de Tosny et de Bernières, auditeur en la Chambre des Comptes de Paris, pour le fief d'Orgeville, la Garenne et ses dépendances (1746).

Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Bénédictines d'Andely et Bénédictines de Lyons, y réunies

Tosny et Bernières.

H1495 , 1646-1767 , Andelys (Les), Les Bénédictines ; Bernières (fief de) ; Garenne (La), hameau de Tosny ; Lyons-la-Forêt (Couvent de Bénédictins de Saint-Charles de) ; Orgeville (ferme d'), sise à Tosny ; Paris (ville) ; Tosny  

Bail à ferme passé par les Bénédictines d'Andely à Charles Amette, laboureur, de « la ferme d'Orgeville, située proche de la Garenne, hameau de la paroisse de Thosny, avec ses circonstance et dépendances, consistant en une maison seigneuriale, colombier, granges, écuries et autres bâtiments, avec la cour close, le lieu comme il se comporte situé en partie sur le dîmage de Bernière », et de plusieurs pièces de terre et de marais dépendant de ladite ferme, moyennant un prix de fermage annuel de 270 livres, outre les charges (1714) ; — aveu rendu par les religieuses à Claude Camusat, seigneur de Tosny et de Bernières, auditeur en la Chambre des Comptes de Paris, pour le fief d'Orgeville, la Garenne et ses dépendances (1746).

Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Bénédictines d'Andely et Bénédictines de Lyons, y réunies

Radepont.

H1281 , 1454-1765 , Andelys (Les) ; Bernières (fief de) ; Epironennes (le bois des), situé à Radepont ; Herchemont (fief d') ; Rouen (ville)  

Pièces de procédure entre l'abbaye d'une part, et Jean de Poissy, écuyer, seigneur de Radepont en partie, d'autre part, au sujet d'un chêne indûment abattu par les religieuses de Fontaine-Guérard (1454) ; — sentence arbitrale prononcée par Jean de Saint-Léger, écuyer, seigneur de Bernières, et Robert Le Lanternier, écuyer, seigneur de Herchemont « arbistres et chargés des descordz et procès pendans et indécis ès assises de Rouen devant le bailli dudit lieu ou son lieutenant », entre l'abbaye, d'une part, et « Baugoys » de Teufles, écuyer, seigneur de Radepont, d'autre part, au sujet des rentes dues par ce dernier à l'abbaye et du bornage des terres contestées entre les parties (1503) ; — transaction passée entre l'abbaye, d'une part, et Jean-Léonard du Bosc, chevalier, seigneur de Radepont, d'autre part, pour terminer deux procès pendants entre les parties : « l'un, en l'année 1754, au sujet de cinq chesnes que le dit seigneur de Radepont avoit fait abattre, faisant partie des arbres de lizière de son bois des Épirouennes, situé en la parroisse de Radepont, laquelle lizière les dittes dames abbesse et religieuses prétendoient leur apartenir comme faisant partie d'une forrière et bois taillis appartenante à laditte abbaye, lequel proceds a esté porté au baillage d'Andely et est actuellement pendant en la deuxième chambre des enquestes du parlement de Rouen ; l'autre proceds a esté pareillement intenté, à la requeste des dittes dames abesse et religieuses en l'année 1764 au baillage d'Andely, où il est pendant et indécis, au sujet d'un prétendu dommage causé par ledit seigneur de Radepont en faisant mettre en corde dans la forrière desdittes dames le bois qu'il avoit retiré et quelqu'uns desdits arbres de lizières... » (1765).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Fontaine-Guérard (Ordre de Cîteaux)

Radepont.

H1281 , 1454-1765 , Andelys (Les) ; Bernières (fief de) ; Epironennes (le bois des), situé à Radepont ; Herchemont (fief d') ; Rouen (ville)  

Pièces de procédure entre l'abbaye d'une part, et Jean de Poissy, écuyer, seigneur de Radepont en partie, d'autre part, au sujet d'un chêne indûment abattu par les religieuses de Fontaine-Guérard (1454) ; — sentence arbitrale prononcée par Jean de Saint-Léger, écuyer, seigneur de Bernières, et Robert Le Lanternier, écuyer, seigneur de Herchemont « arbistres et chargés des descordz et procès pendans et indécis ès assises de Rouen devant le bailli dudit lieu ou son lieutenant », entre l'abbaye, d'une part, et « Baugoys » de Teufles, écuyer, seigneur de Radepont, d'autre part, au sujet des rentes dues par ce dernier à l'abbaye et du bornage des terres contestées entre les parties (1503) ; — transaction passée entre l'abbaye, d'une part, et Jean-Léonard du Bosc, chevalier, seigneur de Radepont, d'autre part, pour terminer deux procès pendants entre les parties : « l'un, en l'année 1754, au sujet de cinq chesnes que le dit seigneur de Radepont avoit fait abattre, faisant partie des arbres de lizière de son bois des Épirouennes, situé en la parroisse de Radepont, laquelle lizière les dittes dames abbesse et religieuses prétendoient leur apartenir comme faisant partie d'une forrière et bois taillis appartenante à laditte abbaye, lequel proceds a esté porté au baillage d'Andely et est actuellement pendant en la deuxième chambre des enquestes du parlement de Rouen ; l'autre proceds a esté pareillement intenté, à la requeste des dittes dames abesse et religieuses en l'année 1764 au baillage d'Andely, où il est pendant et indécis, au sujet d'un prétendu dommage causé par ledit seigneur de Radepont en faisant mettre en corde dans la forrière desdittes dames le bois qu'il avoit retiré et quelqu'uns desdits arbres de lizières... » (1765).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Fontaine-Guérard (Ordre de Cîteaux)

Donation par Renée de Tournemine, marquise de Coëtmeur, et marquise douairière du Neubourg, à Jeanne de Vieuxpont, sa fille, religieuse de l'abbaye du Trésor, d'une rente de 600 livres tournois assignée sur la terre de Coëtmeur « parce que à ces moyens et faveur du présent don et delays, ladite nostre fille a promis et s'est obligée vers nous par ses présentes, de nous reconnoistre pour fondatrice lors du don que nous prétendons, nous et nos enfans, luy faire et qu'elle a dit lui avoir esté ainsy promis par nosdits enfans, et les habitans de nostre bourg du Neufbourg, de la maison, chapelle et hostel-Dieu dudit Neufbourg, lors de laquelle donnation ladite nostre fille en fera faire mention par mots exprès dans le contract qui en sera faict, pour y bastir ou aillieurs dans ledit bourg un monnastaire, avec tout le revenu d'icelluy en circonstances et despendances, et jouir par nous et nos enfans à l'avenir du droict et privillège accordé aux fondateurs des monastaires » (1638) ; – pièces de procédures et transaction entre Alexandre de Rieux, chevalier, marquis de Sourdéac et du Neubourg, héritier de Renée de Tournemine, veuve d'Alexandre de Vieuxpont, marquis du Neubourg, son aïeule maternelle, d'une part, et Françoise de Créquy, abbesse du Neubourg, représentée par Charles Maignard, chevalier, seigneur de Bernières, d'autre part, au sujet de la validité de la donation ci-dessus (1654) ; –« copie du testament de Mademoiselle de Créquy » (1676-1679) ; – donation à l'abbaye du Neubourg par Marie-Marguerite de Créquy, fille de feu Jean-Baptiste de Créquy, comte de Bernieulles, et de feu Renée de Vieuxpont, demeurant ordinairement en ladite abbaye, d'une rente de 300 livres à elle due par Alexandre de Créquy, chevalier, comte de Bernieulles, son père (1687) ; – extrait du testament de Marie-Marguerite de Créquy (1696) ; – donation à l'abbaye par Charles-Étienne Maignard, chevalier, seigneur de la Vaupalière, neveu et héritier en partie de Marie Maignard de Bernières, veuve d'Alexandre, comte de Créquy, en exécution des intentions de cette dernière, d'une somme de 7.000 livres, à charge de services religieux (1716) ;– acceptation par les religieuses du Neubourg des fondations faites au profit de l'abbaye par Geneviève Desmonceaux, veuve de Jacques Sauvale (1746) et par Marguerite Sauvale, leur fille (1749).

H1296 , 1638-1767 , Bernières (fief de) ; Bernieulles (Comté de) ; Coëtmeur (fief de) ; Neubourg (Abbaye de Saint-Jean du) ; Neubourg (Le) ; Sourdéac (fief de) ; Trésor (Abbaye du)  
Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye du Neubourg (Ordre de Saint-Benoît)

Donation par Renée de Tournemine, marquise de Coëtmeur, et marquise douairière du Neubourg, à Jeanne de Vieuxpont, sa fille, religieuse de l'abbaye du Trésor, d'une rente de 600 livres tournois assignée sur la terre de Coëtmeur « parce que à ces moyens et faveur du présent don et delays, ladite nostre fille a promis et s'est obligée vers nous par ses présentes, de nous reconnoistre pour fondatrice lors du don que nous prétendons, nous et nos enfans, luy faire et qu'elle a dit lui avoir esté ainsy promis par nosdits enfans, et les habitans de nostre bourg du Neufbourg, de la maison, chapelle et hostel-Dieu dudit Neufbourg, lors de laquelle donnation ladite nostre fille en fera faire mention par mots exprès dans le contract qui en sera faict, pour y bastir ou aillieurs dans ledit bourg un monnastaire, avec tout le revenu d'icelluy en circonstances et despendances, et jouir par nous et nos enfans à l'avenir du droict et privillège accordé aux fondateurs des monastaires » (1638) ; – pièces de procédures et transaction entre Alexandre de Rieux, chevalier, marquis de Sourdéac et du Neubourg, héritier de Renée de Tournemine, veuve d'Alexandre de Vieuxpont, marquis du Neubourg, son aïeule maternelle, d'une part, et Françoise de Créquy, abbesse du Neubourg, représentée par Charles Maignard, chevalier, seigneur de Bernières, d'autre part, au sujet de la validité de la donation ci-dessus (1654) ; –« copie du testament de Mademoiselle de Créquy » (1676-1679) ; – donation à l'abbaye du Neubourg par Marie-Marguerite de Créquy, fille de feu Jean-Baptiste de Créquy, comte de Bernieulles, et de feu Renée de Vieuxpont, demeurant ordinairement en ladite abbaye, d'une rente de 300 livres à elle due par Alexandre de Créquy, chevalier, comte de Bernieulles, son père (1687) ; – extrait du testament de Marie-Marguerite de Créquy (1696) ; – donation à l'abbaye par Charles-Étienne Maignard, chevalier, seigneur de la Vaupalière, neveu et héritier en partie de Marie Maignard de Bernières, veuve d'Alexandre, comte de Créquy, en exécution des intentions de cette dernière, d'une somme de 7.000 livres, à charge de services religieux (1716) ;– acceptation par les religieuses du Neubourg des fondations faites au profit de l'abbaye par Geneviève Desmonceaux, veuve de Jacques Sauvale (1746) et par Marguerite Sauvale, leur fille (1749).

H1296 , 1638-1767 , Bernières (fief de) ; Bernieulles (Comté de) ; Coëtmeur (fief de) ; Neubourg (Abbaye de Saint-Jean du) ; Neubourg (Le) ; Sourdéac (fief de) ; Trésor (Abbaye du)  
Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye du Neubourg (Ordre de Saint-Benoît)
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