Toutes les ressources Berthenonville 16 résultats (13ms)
Déclaration des revenus et des charges de l'église de Berthenonville, fournie par les habitants de cette paroisse en exécution de l'arrêt du conseil du 6 mai 1704 : « ladite église de Berthenonville possède et reçoit de revenu, par chacun an, la somme de 251 livres 18 sols 6 deniers tant en rentes que fermages ; les dépenses ordinaires s'élèvent à 191 livres 17 sols 5 deniers ; la dépense défalquée sur le revenu, il ne revient à icelle église que la somme de 60 livres 1 sol 6 deniers par an ».
Inventaire des fondations, titres de rentes, baux, aveux, etc., concernant l'église de Berthenonville ; état des terres appartenant à la fabrique dans l'étendue de la paroisse. – Note sur les différentes mesures agraires par M. Escoulant, curé de Berthenonville (fol. 18, v°) : « il n'y a dans le royaume qu'un pied de Roy qui contient 12 pouces et 12 lignes au pouce et 12 points par ligne ; la mesure de Paris est de 18 pieds pour perche suivant cette mesure... ; il paraît que quand il n'y a point de contrat qui règle les pieds et les perches, on doit s'en tenir à la mesure ordinaire du pays, qui est 11 pouces au pied et 22 pieds pour perche à Berthenonville. L'arpent ou le journal vaut toujours 100 perches carrées : la perche est plus grande ou plus petite en différents lieux et souvent dans les mêmes lieux ; sa plus grande longueur est de 25 pieds et sa plus petite longueur est de 18 pieds ; ainsi, quand on mesure l'arpent avec la perche, il faut toujours spécifier le nombre des pieds qu'elle contient, pour éviter l'erreur. La toise courante se divise en 6 pieds, le pied en 12 pouces, le pouce en 12 lignes et la ligne en 12 points. L'aune de Paris, Lyon et Bouen contient 3 pieds 7 pouces et 8 lignes : elle varie suivant les différents endroits et pays. ».
Inventaire des fondations, titres de rentes, baux, aveux, etc., concernant l'église de Berthenonville ; état des terres appartenant à la fabrique dans l'étendue de la paroisse. – Note sur les différentes mesures agraires par M. Escoulant, curé de Berthenonville (fol. 18, v°) : « il n'y a dans le royaume qu'un pied de Roy qui contient 12 pouces et 12 lignes au pouce et 12 points par ligne ; la mesure de Paris est de 18 pieds pour perche suivant cette mesure... ; il paraît que quand il n'y a point de contrat qui règle les pieds et les perches, on doit s'en tenir à la mesure ordinaire du pays, qui est 11 pouces au pied et 22 pieds pour perche à Berthenonville. L'arpent ou le journal vaut toujours 100 perches carrées : la perche est plus grande ou plus petite en différents lieux et souvent dans les mêmes lieux ; sa plus grande longueur est de 25 pieds et sa plus petite longueur est de 18 pieds ; ainsi, quand on mesure l'arpent avec la perche, il faut toujours spécifier le nombre des pieds qu'elle contient, pour éviter l'erreur. La toise courante se divise en 6 pieds, le pied en 12 pouces, le pouce en 12 lignes et la ligne en 12 points. L'aune de Paris, Lyon et Bouen contient 3 pieds 7 pouces et 8 lignes : elle varie suivant les différents endroits et pays. ».
Berthenonville.
Contrat de revalidation d'une rente de 25 livres sur le bénéfice-cure de Berlhenonville, consenti au profit des Chartreux. Par « noble homme messire Louis-Georges Escoulant », curé dudit lieu.
Berthenonville.
Contrat de revalidation d'une rente de 25 livres sur le bénéfice-cure de Berlhenonville, consenti au profit des Chartreux. Par « noble homme messire Louis-Georges Escoulant », curé dudit lieu.
Confrérie du Rosaire.
État des fondations faites en faveur de la confrérie-, – titres d'une rente de 2 livres 10 sous, au capital de 50 livres, donnée à la confrérie en 1695 par Toussaint Chevalier et Laurent Chevalier, son fils, meuniers à Berthenonville ; – pièces de procédure entre François Cretaux, meunier à Berthenonville, ancien trésorier de la fabrique et de la confrérie du Rosaire, demandeur, d'une part, et Claude Denis, laboureur à Arquency, défendeur, d'autre part, ce dernier poursuivi pour recouvrement de sommes par lui dues à la fabrique et à la confrérie (1739-1744).
Confrérie du Rosaire.
État des fondations faites en faveur de la confrérie-, – titres d'une rente de 2 livres 10 sous, au capital de 50 livres, donnée à la confrérie en 1695 par Toussaint Chevalier et Laurent Chevalier, son fils, meuniers à Berthenonville ; – pièces de procédure entre François Cretaux, meunier à Berthenonville, ancien trésorier de la fabrique et de la confrérie du Rosaire, demandeur, d'une part, et Claude Denis, laboureur à Arquency, défendeur, d'autre part, ce dernier poursuivi pour recouvrement de sommes par lui dues à la fabrique et à la confrérie (1739-1744).