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Confrérie de charité.

G1580 , 1723 , Bouquelon ; Dieppe  

Bail à fieffe passé par la Charité à Pierre Auber, bourgeois de Dieppe, d'une pièce de terre sise à Bouquetot, proche le hameau de l'Église et contenant une vergée ou environ, pour le prix annuel de 7 livres 10 sous.

Contexte :
Confréries > Bouquetot

Confrérie de charité.

G1580 , 1723 , Bouquelon ; Dieppe  

Bail à fieffe passé par la Charité à Pierre Auber, bourgeois de Dieppe, d'une pièce de terre sise à Bouquetot, proche le hameau de l'Église et contenant une vergée ou environ, pour le prix annuel de 7 livres 10 sous.

Contexte :
Confréries > Bouquetot

Dieppe.

H1247 , 1285 , Dieppe ; Fontaine-Guérard (abbaye de)  

Donation à l'abbaye par Jean Moradas, bourgeois de Dieppe, et Isabelle, sa femme, à l'occasion de l'entrée en religion de leur fille Agnès, d'une rente de 40 sous assignée sur plusieurs maisons situées à Dieppe.

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Fontaine-Guérard (Ordre de Cîteaux)

Dieppe.

H1247 , 1285 , Dieppe ; Fontaine-Guérard (abbaye de)  

Donation à l'abbaye par Jean Moradas, bourgeois de Dieppe, et Isabelle, sa femme, à l'occasion de l'entrée en religion de leur fille Agnès, d'une rente de 40 sous assignée sur plusieurs maisons situées à Dieppe.

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Fontaine-Guérard (Ordre de Cîteaux)

Gisors.

H1178 , 1609-1764 , Aumale ; Bernay, Cordeliers (Les) ; Dieppe ; Essarts (Les) près Brionne ; Genevois (duché de) ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Nemours (duché de) ; Ry  

Copie de l'autorisation accordée aux Mathurins de Gisors par Elisabeth de Vendôme, duchesse de Nemours et d'Aumale, comtesse de Gisors, baronne des Essarts et de Ry, veuve de Charles-Amédée de Savoie, duc de Nemours, de Genevois et d'Aumale, pair de France, « de prendre un arpent de terre vaine et vague du costé du soleil couchant, pour accroître leur couvent et de faire planter des arbres sur tout le reste desdites terres vaines et vagues, tant pour la décoration du lieu que pour le couvert et la commodité des pèlerins qui vont faire leurs dévotions à l'église dudit couvent, et de conserver le vollet à pigeons qu'ils ont cy-devant fait construire en leur couvent pour la commodité des religieux malades et des convalescents » (1662) ; — certificat délivré aux Mathurins de Gisors par le lieutenant général civil audit bailliage, pour constater que lesdits religieux « ne sont nullement usurpateurs ny mesme possesseurs de deux arpens de communes plantez en arbres sauvages devant leur couvent, mais que seulement ils ont eu permission de feu Madame la duchesse de Nemours d'y planter les arbres pour l'ornement du lieu et commodité de la ville, à quoy les officiers et échevins de laditte ville ont donné leur consentement, à condition que les bestiaux y pourraient toujours pasturer comme ils le font journellement » (1679) ; — requête adressée par les Mathurins de Gisors au lieutenant général civil de la ville et bailliage de Gisors, à l'effet d'être autorisés à déplacer une croix de pierre érigée devant la porte de leur couvent et à la transporter « au bout de leur avenue et allée d'arbres quy conduisent au grand chemin de Dieppe à Paris, afin que les passants et voituriers fassent leurs prières en passant proche et devant ladite croix ». Autorisation conforme du lieutenant général civil (1683) ; — « plan de la maison, jardins, bosquets et clos de Messieurs les Mathurins de Gisors, contenant 17 arpents 53 perches » (1764).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Gisors.

H1178 , 1609-1764 , Aumale ; Bernay, Cordeliers (Les) ; Dieppe ; Essarts (Les) près Brionne ; Genevois (duché de) ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Nemours (duché de) ; Ry  

Copie de l'autorisation accordée aux Mathurins de Gisors par Elisabeth de Vendôme, duchesse de Nemours et d'Aumale, comtesse de Gisors, baronne des Essarts et de Ry, veuve de Charles-Amédée de Savoie, duc de Nemours, de Genevois et d'Aumale, pair de France, « de prendre un arpent de terre vaine et vague du costé du soleil couchant, pour accroître leur couvent et de faire planter des arbres sur tout le reste desdites terres vaines et vagues, tant pour la décoration du lieu que pour le couvert et la commodité des pèlerins qui vont faire leurs dévotions à l'église dudit couvent, et de conserver le vollet à pigeons qu'ils ont cy-devant fait construire en leur couvent pour la commodité des religieux malades et des convalescents » (1662) ; — certificat délivré aux Mathurins de Gisors par le lieutenant général civil audit bailliage, pour constater que lesdits religieux « ne sont nullement usurpateurs ny mesme possesseurs de deux arpens de communes plantez en arbres sauvages devant leur couvent, mais que seulement ils ont eu permission de feu Madame la duchesse de Nemours d'y planter les arbres pour l'ornement du lieu et commodité de la ville, à quoy les officiers et échevins de laditte ville ont donné leur consentement, à condition que les bestiaux y pourraient toujours pasturer comme ils le font journellement » (1679) ; — requête adressée par les Mathurins de Gisors au lieutenant général civil de la ville et bailliage de Gisors, à l'effet d'être autorisés à déplacer une croix de pierre érigée devant la porte de leur couvent et à la transporter « au bout de leur avenue et allée d'arbres quy conduisent au grand chemin de Dieppe à Paris, afin que les passants et voituriers fassent leurs prières en passant proche et devant ladite croix ». Autorisation conforme du lieutenant général civil (1683) ; — « plan de la maison, jardins, bosquets et clos de Messieurs les Mathurins de Gisors, contenant 17 arpents 53 perches » (1764).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Documents relatifs à la constitution et aux privilèges du chapitre.

G201 , 1197-1767 , Aliermont (forêt d') ; Andelys (château Gaillard) ; Andelys (Eglise Notre-Dame) (Chapitre collégial) ; Andelys (villes des) ; Bouteilles (ville de) ; Dieppe ; Louviers ; Pollet (Le)  

Copies informes de l'acte d'échange entre l'église métropolitaine de Rouen et Richard Ier, roi d'Angleterre, du manoir d'Andely et du Château Gaillard (novum castellum de Rupe) contre les moulins de Rouen, les villes de Dieppe et de Bouteilles, le manoir de bouviers et la forêt d'Aliermont (1197), – de la confirmation de cet échange par Jean, roi d'Angleterre (1200), – de la donation faite par Philippe III le Hardi, roi de France, aux archevêques de Rouen, de ses droits de justice et de fouage sur la ville du Polet (mars 1283) ; – copies des lettres de réformation du chapitre collégial d'Andely par Eudes Ier Clément, archevêque de Rouen (1245), et de leur confirmation par le pape Innocent IV (mai 1246) ; – vidimus des lettres de Jean III de Marigny, archevêque de Rouen, statuant qu'un droit de 5 sous parisis serait dû à l'église collégiale de Notre-Dame d'Andely pour chaque inhumation faite dans l'église ou dans le cimetière de Saint-Sauveur du Petit-Andely (31 décembre 1348) ; – confirmation des droits du doyen et du chapitre par François II de Harlay, archevêque de Rouen (28 décembre 1634) ; – notes relatives aux droits respectifs du doyen et des vicaires perpétuels ; – mémoires sur l'état ancien et présent de l'église collégiale de Notre-Dame d'Andely.

Contexte :
Chapitre collégial d'Andely

Documents relatifs à la constitution et aux privilèges du chapitre.

G201 , 1197-1767 , Aliermont (forêt d') ; Andelys (château Gaillard) ; Andelys (Eglise Notre-Dame) (Chapitre collégial) ; Andelys (villes des) ; Bouteilles (ville de) ; Dieppe ; Louviers ; Pollet (Le)  

Copies informes de l'acte d'échange entre l'église métropolitaine de Rouen et Richard Ier, roi d'Angleterre, du manoir d'Andely et du Château Gaillard (novum castellum de Rupe) contre les moulins de Rouen, les villes de Dieppe et de Bouteilles, le manoir de bouviers et la forêt d'Aliermont (1197), – de la confirmation de cet échange par Jean, roi d'Angleterre (1200), – de la donation faite par Philippe III le Hardi, roi de France, aux archevêques de Rouen, de ses droits de justice et de fouage sur la ville du Polet (mars 1283) ; – copies des lettres de réformation du chapitre collégial d'Andely par Eudes Ier Clément, archevêque de Rouen (1245), et de leur confirmation par le pape Innocent IV (mai 1246) ; – vidimus des lettres de Jean III de Marigny, archevêque de Rouen, statuant qu'un droit de 5 sous parisis serait dû à l'église collégiale de Notre-Dame d'Andely pour chaque inhumation faite dans l'église ou dans le cimetière de Saint-Sauveur du Petit-Andely (31 décembre 1348) ; – confirmation des droits du doyen et du chapitre par François II de Harlay, archevêque de Rouen (28 décembre 1634) ; – notes relatives aux droits respectifs du doyen et des vicaires perpétuels ; – mémoires sur l'état ancien et présent de l'église collégiale de Notre-Dame d'Andely.

Contexte :
Chapitre collégial d'Andely

Aveux rendus par la fabrique à Quentin de Mahault, chevalier, seigneur marquis de Tierceville, etc., gouverneur pour le Roi de la ville et château de Dieppe, fort du Pollet et autres forts en dépendant (1683), à Benjamin de Combe, écuyer, chevalier de l'ordre militaire de Saint-Louis, capitaine d'infanterie, ingénieur et directeur des fortifications de la province de Normandie, seigneur et patron de Tierceville (1708), à Pierre-Benjamin de Combe, chevalier, lieutenant d'artillerie de la marine pour le service de Sa Majesté (1721-1738), à Marie-Olimpe-Félicité de Barbette, épouse séparée quant aux biens de Louis-François Le Vaillant, écuyer, sieur de Valcourt, dame de Tierceville (1761-1766), à Louis, marquis d'Étampes, colonel au corps des grenadiers de France, au nom et comme tuteur honoraire d'Adélaïde-Thérèse d'Étampes, sa fille mineure, seule et unique héritière de François-Marie de Fouilleuse, marquis de Flavacourtet de Gérifontainc, grand bailli de Gisors, lieutenant du Roi de Vexin normand, son ayeul maternel (1767), à Charles-Nicolas Dupérier, seigneur et patron de Tierceville, gentilhomme de Son Altesse Monseigneur le prince de Conty (1787), et à Anne-Catherine de Giverville, dame de Bazincourt, veuve de Michel-Louis-Bernard Grout, chevalier, « lieutenant de Nos Seigneurs les Maréchaux de France au département de la ville de Gournay en Bray » (1789), pour des terres relevant des seigneuries de Tierceville et de Bazincourt ; – déclarations des biens et des revenus de la fabrique (1674-1696).

G1337 , 1674-1789 , Bazincourt ; Cérifontaine ; Dieppe ; Flavacourt ; Gournay-en-Bray ; Pollet (Le) ; Tierceville ; Valcourt (fief de) ; Vexin-Normand (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Tierceville

Aveux rendus par la fabrique à Quentin de Mahault, chevalier, seigneur marquis de Tierceville, etc., gouverneur pour le Roi de la ville et château de Dieppe, fort du Pollet et autres forts en dépendant (1683), à Benjamin de Combe, écuyer, chevalier de l'ordre militaire de Saint-Louis, capitaine d'infanterie, ingénieur et directeur des fortifications de la province de Normandie, seigneur et patron de Tierceville (1708), à Pierre-Benjamin de Combe, chevalier, lieutenant d'artillerie de la marine pour le service de Sa Majesté (1721-1738), à Marie-Olimpe-Félicité de Barbette, épouse séparée quant aux biens de Louis-François Le Vaillant, écuyer, sieur de Valcourt, dame de Tierceville (1761-1766), à Louis, marquis d'Étampes, colonel au corps des grenadiers de France, au nom et comme tuteur honoraire d'Adélaïde-Thérèse d'Étampes, sa fille mineure, seule et unique héritière de François-Marie de Fouilleuse, marquis de Flavacourtet de Gérifontainc, grand bailli de Gisors, lieutenant du Roi de Vexin normand, son ayeul maternel (1767), à Charles-Nicolas Dupérier, seigneur et patron de Tierceville, gentilhomme de Son Altesse Monseigneur le prince de Conty (1787), et à Anne-Catherine de Giverville, dame de Bazincourt, veuve de Michel-Louis-Bernard Grout, chevalier, « lieutenant de Nos Seigneurs les Maréchaux de France au département de la ville de Gournay en Bray » (1789), pour des terres relevant des seigneuries de Tierceville et de Bazincourt ; – déclarations des biens et des revenus de la fabrique (1674-1696).

G1337 , 1674-1789 , Bazincourt ; Cérifontaine ; Dieppe ; Flavacourt ; Gournay-en-Bray ; Pollet (Le) ; Tierceville ; Valcourt (fief de) ; Vexin-Normand (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Tierceville

Cartulaire de la Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon. Ce cartulaire comprend deux parties distinctes. La première, subdivisée elle-même en trois parties, occupe les feuillets 1 à 357 et porte le titre suivant : « Cartulaire de la Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon contenant les titres de sa fondation, dotation et augmentation, divisé en trois parties dont la première contient les titres de sa fondation et des acquisitions faites avant l'union. De l'abbaye de Sainte-Catherine, c'est-à-dire depuis 1571 jusqu'à 1591, durant 20 ans ; la seconde partie est divisée en deux chapitres, dont le premier contient les titres de l'union de laditte abaye et le second les titres des biens de la mense abbatiale demeurez à ladite Chartreuse, qui sont les biens de la dotation ; la troisième partie contient les titres des acquisitions faites depuis laditte union jusqu'à présent, qui sont les titres de son augmentation ; avec deux tables, dont la première est celle des titres rengez selon qu'ils sont dans ce livre, qui est l'ordre de la chronologie, autant qu'on a pu le garder (on n'a pas jugé à propos de faire cette table, parce que l'on a trouvé plus commode de suivre l'ordre que l'on a gardé dans la déclaration générale des biens de la Chartreuse donnée à la Chambre des comptes le 11 mars 1675) ; la seconde table, par ordre alphabétique, est celle des héritages, droits, privilèges et autres biens contenus dans ces mêmes titres. Commencé par le soussigné, religieux, coadjutateur et garde des archives de la ditte Chartreuse, le 7 juillet 1705. Frère Calliste Clarentin ». Cette première partie contient deux rédactions différentes, la compilation de dom Calliste, interrompue à la page 464, ayant été poursuivie après sa mort par un continuateur anonyme qui a inscrit à la fin de son travail, terminé en 1718, la réflexion suivante (p. 644) : « Cum feceritis omnia quae pracepta sunt vobis, dicite : servi inutiles sumus ; quod debuimus facere fecimus. » La seconde partie du Cartulaire et la plus ancienne comme date de rédaction occupe les feuillets 365 à 390 et comprend les transcriptions de quinze documents, de 1571 à 1579, intéressant la fondation et la première dotation de la Chartreuse. Dom Calliste Clarentin a fait précéder cette seconde partie de la note suivante : « Le R. P. D. Ogier commença ce cartulaire le 16 May 1576, estant procureur, comme il paroist cy-après. Mais quoy qu'il ait demeuré encore quinze ans dans la même charge, il n'en a fait que fort peu de chose, empesché apparemment par les grandes et difficiles affaires de ce temps-là. J'avois dessein de le continuer pour me servir de ce qui estoit desjà fait. Mais j'ay trouvé plus à propos d'en commencer un nouveau. Et parce que n'y mettray pas la pluspart des titres qui sont dans celuy-cy, j'en ay fait la table suivante, afin qu'on les puisse trouver plus facilement... » Les principales divisions du cartulaire de Dom Calliste sont les suivantes : Première partie : « Titres de la fondation de la Chartreuse (p. 5) ; union du prieuré de Saint-Pierre-de-Launay (p. 15) ; Saint-Germain-de-Paulbourg, hameau de la paroisse de Morgny, dans le bailliage de Gisors, vicomté et doyenné de Lions (p. 33) ; union du prieuré de Saint-Pierre de Geneville, membre dépendant de l'abbaye de Jumièges, situé dans l'archevesché de Rouen, grand vicariat de Pontoise, doyenné de Magny (p. 48) ; union de la chapelle Saint-Fiacre, située dans la paroisse d'Aubevoye, diocèse d'É-veux, doyenné de la Croix, et pour le temporel dans la justice seigneuriale de Gaillon et par appel aux Grands-Jours à Rouen, qui est la justice de l'Archevesché, dont on appelle ensuite au Parlement (p. 92) ; église et vignes de Bethléem à Aubevoye (p. 101) ; union du prieuré de la chapelle de Sainte-Austreberte-en-Bray, membre dépendant de l'abbaye de Sainte-Catherine, ladite chapelle fondée à l'honneur de la Sainte-Trinité dans l'évesché et comté de Beauvais et le vidamé de Gerberoy, au quartier du Bray, dont on l'appelle la Chapelle-en-Bray, et plus communément la Capelle-aux-Pots à cause de la quantité de poterie de grets que l'on y fait (p. 125) ; union du prieuré de Sainte-Catherine de Bisi, membre dépendant de la mense abbatiale de l'abbaye de Sainte-Catherine, situé au village de Bisi près Vernon (p. 152) ; dons et privilèges accordez à la Chartreuse par les rois de France (p. 166) ; titres du don du bois du Breuil (le bois du Breuil est dans les paroisses de Courcelles et de Bouafles, maîtrise de Vernon et Andeli) (p. 173) ; acquisition du Bois-Jean (p. 186) ; bois de la Chartreuse en général (p. 188) ; amortissement des biens de la Chartreuse (p. 194) ; droits et privilèges divers (p. 206) ; titres de l'acquisition de la seigneurie de Courcelles (p. 240) ; Port-Mort et la Rocque (pré de l'Ile-aux-Vaches, etc. (p. 273). Seconde partie : Union de l'abbaye de Sainte-Catherine (pourquoy l'on a si peu d'anciens papiers de l'abbaye de Sainte-Catherine, c'est que, en 1562, le fort de Sainte-Catherine qui estoit sur la montagne proche de Rouen, aussi bien que le monastère, furent assiégez et pris sur les protestants par l'armée royale. Dans les troubles suivans qui durèrent sous les règnes de Charles IX, Henry III et Henry IV, laditte abbaye ainsi que la ville furent occupées par les parties contraires et ce fut dans ce temps que les biens et les papiers furent pillez et dissipez (p. 288) ; titres généraux (le plus ancien titre que nous ayons de la fondation de l'abbaye de Sainte-Catherine est un cahier en parchemin in-folio, en latin, contenant 40 pages, couvert d'une estofe de soye jaune ouvragée d'une manière fort antique, qui contient en 93 articles toutes les donations faites à ladite abbaye depuis l'an 1030 jusqu'en l'an 1100, avec toutes les acquisitions faites par les abbez de Sainte-Catherine pendant le mesme temps (p. 305) ; Auteverne (p. 314) ; Cahaignes, Requiécourt et Fours (p. 337) ; Gisancourt (p. 345) ; Chauvincourt (p. 347) ; Bretonville (p. 351) ; Boisemont-1'Abbaye (p. 355) : Bourbaudouin (p. 375) ; Bois-l'Évesque (p. 377) ; Anceaumeville (p. 380) ; baronie de Gruchy (p. 385) ; le Tot (p. 391) ; Monville (p. 395) ; Ellètes (p. 403) Saussay (p. 406) ; Ronfugère (p. 411) ; Auzonville (p. 413) ; Limesi (p. 417) ; Pavilly (p. 420) ; Boiguillaume (p. 421) ; maison de Rouen (p. 424) ; Caudecoste, Dieppe, Appeville (p. 426) ; Muchedent (p. 443) ; Anglesqueville-sur-Sanne (p. 445) ; Cannehen (p. 449) ; Saint-Sulpice-le-Gaillard (p. 459) ; Sanroy, hameau de Touffreville (p. 460) ; Fontaine-le-Dun (p. 460) ; Carville, Limanville et Boscadam (p. 463) ; Blacqueville (p. 483) ; Flamenville (p. 492) ; Criquetot-L'Esneval et Anglesqueville (p. 497) ; Saint-Vincent-de-Nogent près le Neufchâtel (p. 505) ; Montcanchy (p. 526) ; Gravigny (p. 532) ; Giverville (p. 543) ; Branville (p. 556) ; Manne-ville-l'Egarée (p. 563). Troisième partie : (acquisitions faites depuis l'union de l'abbaye de Sainte-Catherine) : droit de pêche sous la grande arche du pont de Vernon (p. 567) ; acquisition des héritages de M. Jean Bruneval dans la vicomté de Montivilliers (p. 572) ; Fontenay et Rolleville (p. 577) ; Sainle-Marie-au-Bosc (p. 578) ; Beaurepaire (p. 582) ; Angerville, Graimbouville (p. 583) ; Le Tilleul (p. 585) ; Boisemont et Frenelles (p. 591) ; titres des patronages » (p. 624).

H1144 , XVIe-XVIIIe siècles , Anceumeville ; Andelys (Les) ; Angerville-l'Orcher ; Anglesqueville-sur-Saone ; Appeville, dit ; Authevernes ; Auzonville ; Beaurepaire ; Beauvais ; Bethéem (égise en vigne de) sises à Aubevoye ; Bisy, près Vernon ; Blacqueville ; Boisemont (Abbaye de) ; Bois-Guillaume ; Bois-Jean (Le) ; Bois-l'Evêque ; Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Bourg-Baudoin (Le) ; Bramville-en-Auge ; Bretonville ; Breuil (le Bois du), sis à Courcelles-en-Bouafles ; Cahaignes ; Capelle-aux-Pots (au Pays de Bray) ; Carville ; Caudecoste ; Chauvincourt ; Courcelles ; Criquetot-l'Esneval ; Dieppe ; Ellètes ; Flamenville ; Fontaine-le-Oury ; Fontenay ; Fours ; Frenelles (hameau de), situé à Boisemont ; Gerberoy-en-Bray (fief de) ; Gisancourt ; Gisors ; Giverville ; Graimbouville ; Gravigny ; Gruchy ; Ile-aux-Vaches (Pré de l') ; Junnièges (Abbaye de) ; Limanville ; Limési ; Lyons-la-Forêt ; Manneville-l'Egarée ; Mont-Canchy ; Montivilliers ; Monville ; Mouchedent ou Muchedent ; Pavilly ; Pontoise ; Requiécourt ; Rocque (fief de la) ; Rolleville ; Ronfugère ; Rouen (Parlement de) ; Rouen, Abbaye de Sainte-Catherine ; Sainte-Austreberte-en-Bray (Chapelle de) ; Sainte-Marie-au-Bosc (triège de), sis au Tilleul ; Saint-Fiacre (Chapelle), située à Aubevoye ; Saint-Pierre-de-Geneville (Prieuré de), près Magny ; Saint-Pierre-de-Launay (Prieuré de) ; Saint-Sulpice-le-Gaillard ; Saint-Vincent-de-Nogent, près Neufchâtel ; Sanroy (hameau de), sis à Touffreville ; Saussay (Le) ; Tilleul (Le) ; Tot (Le) ; Touffreville ; Vernon (Ville de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon