Toutes les ressources Fains, près Pacy 6 résultats (6ms)

Consultation de Mr Férary, avocat au Conseil, au sujet de l'exécution des lettres patentes accordées aux habitants de Pacy pour la fondation de leur hôpital (1677) ; – bail à ferme passé par Jean Postel, prêtre, prieur de l'Hôtel-Dieu de Pacy, à Pierre Lair et à Marc Marcel, « d'une acre de rivière à prendre dans le bras d'eau faisant moudre le moulin de Fains », moyennant un prix de fermage de 9 livres par an (1677) ; – bail d'« une ferme appartenant audit hospital et maison Dieu dudit Pacy, nommée la ferme de la Maladrie », sise à Pacy et à Fains, passé moyennant un prix de fermage annuel de 330 livres (1760) ; – id., « de la ferme et droit de hallage appartenant audit hôpital de Pacy, qui consiste à percevoir un pot de tous les grains et denrées qui s'exposent sous les halles et autres endroits contigus et y attenants de ce lieu, à jour de foires et marchez, par chacun septier composé de six boisseaux, mesure dudit Pacy ; avec les autres droits attachez à ladite ferme, consistants au droit de travers tant par eaue que par terre depuis midy des veilles de Saint-Martin d'hiver et d'été, jusqu'au lendemain midy, jour de ladite foire ; avec les droits desdittes foires consistants aux maireaux pour la vente des bestiaux, languiage de porcs, places et étaux, et encore celuy sur les moulins dudit Pacy », moyennant un prix de fermage annuel de 1,010 livres (1770).

H1705 , 1677-1770 , Fains, près Pacy ; Pacy (Hôtel-Dieu de)  
Contexte :
Hospices et maladreries > Hôtel-Dieu de Pacy

Consultation de Mr Férary, avocat au Conseil, au sujet de l'exécution des lettres patentes accordées aux habitants de Pacy pour la fondation de leur hôpital (1677) ; – bail à ferme passé par Jean Postel, prêtre, prieur de l'Hôtel-Dieu de Pacy, à Pierre Lair et à Marc Marcel, « d'une acre de rivière à prendre dans le bras d'eau faisant moudre le moulin de Fains », moyennant un prix de fermage de 9 livres par an (1677) ; – bail d'« une ferme appartenant audit hospital et maison Dieu dudit Pacy, nommée la ferme de la Maladrie », sise à Pacy et à Fains, passé moyennant un prix de fermage annuel de 330 livres (1760) ; – id., « de la ferme et droit de hallage appartenant audit hôpital de Pacy, qui consiste à percevoir un pot de tous les grains et denrées qui s'exposent sous les halles et autres endroits contigus et y attenants de ce lieu, à jour de foires et marchez, par chacun septier composé de six boisseaux, mesure dudit Pacy ; avec les autres droits attachez à ladite ferme, consistants au droit de travers tant par eaue que par terre depuis midy des veilles de Saint-Martin d'hiver et d'été, jusqu'au lendemain midy, jour de ladite foire ; avec les droits desdittes foires consistants aux maireaux pour la vente des bestiaux, languiage de porcs, places et étaux, et encore celuy sur les moulins dudit Pacy », moyennant un prix de fermage annuel de 1,010 livres (1770).

H1705 , 1677-1770 , Fains, près Pacy ; Pacy (Hôtel-Dieu de)  
Contexte :
Hospices et maladreries > Hôtel-Dieu de Pacy

Gadencourt, etc.

H1330 , 1645-1788 , Boissière (fief de la) ; Bretagnolles ; Epieds ; Fains, près Pacy ; Gadencourt ; Menilles ; Mousseaux ; Parc (fief du) ; Parc (Le) ; Roussette (La), triège sis à Gadencourt ; Serez ; Verneuil-sur-Avre (Abbaye de Saint-Nicolas)  

Vente à l'abbaye de Notre-Dame de Pacy par Gabriel Legendre d'un pré contenant trois arpents, sis à Gadencourt, triège de la Roussette, pour le prix de 500 livres tournois (1645) ; — bail à ferme passé par l'abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil à Nicolas Chedeville, marchand, demeurant à Serez, des terres et des prés de Gadencourt, Fains, Serez, Bretagnolles, la Boissière, Menilles, le Parc, Mousseaux et Épieds, ainsi que de diverses rentes, montant à 338 livres, assignées sur des particuliers, moyennant un prix de fermage annuel de 2.200 livres (1788).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil et Abbaye de Notre-Dame de Pacy, y réunie (Ordre de Saint-Benoît)

Gadencourt, etc.

H1330 , 1645-1788 , Boissière (fief de la) ; Bretagnolles ; Epieds ; Fains, près Pacy ; Gadencourt ; Menilles ; Mousseaux ; Parc (fief du) ; Parc (Le) ; Roussette (La), triège sis à Gadencourt ; Serez ; Verneuil-sur-Avre (Abbaye de Saint-Nicolas)  

Vente à l'abbaye de Notre-Dame de Pacy par Gabriel Legendre d'un pré contenant trois arpents, sis à Gadencourt, triège de la Roussette, pour le prix de 500 livres tournois (1645) ; — bail à ferme passé par l'abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil à Nicolas Chedeville, marchand, demeurant à Serez, des terres et des prés de Gadencourt, Fains, Serez, Bretagnolles, la Boissière, Menilles, le Parc, Mousseaux et Épieds, ainsi que de diverses rentes, montant à 338 livres, assignées sur des particuliers, moyennant un prix de fermage annuel de 2.200 livres (1788).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil et Abbaye de Notre-Dame de Pacy, y réunie (Ordre de Saint-Benoît)

Comptes de recettes et de dépenses des rentes et des fermages appartenante l'abbaye de Saint-Taurin (1462-1463. Fol. 1-128), Les recettes sont énumérées dans l'ordre suivant : « Saint-Gilles d'Évreux Pennette, Saint-Martin la Champaigne, le fief aux Aurillos, le fief du Buisson, Parville, le Luhéré, Moursenc, Hourmes, Quessigny, La Brosse, La Sougne, le fief Gerouart, Saint-Laurens la Champaigne, Pacy, Fains jouxe Pacy, Hécourt. » Les dépenses prélevées sur ces recettes s'appliquent presque exclusivement à des frais de voyages, de consultation, de procédure, de rédaction de « mémoriaux » et autres actes intéressant les biens et les rentes de l'abbaye : « Le premier jour d'avril, à messire Jehan Drouet, pour plusieurs escriptures faittes par lui, c'est assavoir minuté et grossé l'appointement du procès de Fains, deux mandemens pour sequestrer les fruys estant sur les terres descordables et toutes les aultres escriptures touchant ledit procès, deux prorogations du compromis passé par le curé de Croisy pour les dismes des pains de ladite paroisse et l'émologation de la sentence donnée par les arbitres contre ledit curé de Croisy, ung instrument d'actainte sur le curé du Plessis Hesbert et des menues dismes de la Sougne, et pour tout le procès de la dixième sepmaine du moulin du Champ-Durant, duquel procès le monnier a depuis appointé à Monseigneur, et plusieurs aultres escriptures, payé par marché fait à luy pour toutes ses choses... LX sous tournois » ; – plaids de la seigneurie du Buisson-Hocpin appartenant à l'abbaye (1568 1570. Fol. 129-148) ; – inventaire sommaire des aveux, titres et contrats concernant la même seigneurie (1570. Fol. 149-167) ; –« ce qui est deu annuellement aux religieux, abbé et couvent de l'abbaie de Saint Taurin d'Évreux par les tenans du fief de Saint Jehan de Morsencq jouxte les ancyens pappiers et registres » (Fol. 168-171) ; – journal des recettes des rentes dues à l'abbaye et perçues par Julien Blondel, « recepveur des fiefz, terres et seigneuries » appartenant aux religieux de Saint Taurin (1568-1580.Fol. 172-306) ; –baux à ferme et fragments de plaids et de gages-pleiges des terres, etc., appartenant à l'abbaye (fermes de Cambolle, de la Sôgne, de Qnessigny, de Parville, de Saint-Martin-la-Campagne, du Buisson-Hocpin, dîmes dans diverses paroisses, etc., (1581-1595 ; Fol. 308-411) ; – journaux et états des rentes dues à l'abbaye par les tenanciers des terres dépendant de l'ancien fief de Saint-Taurin, à Évreux et aux environs (1594-1606. Fol. 412-462) ; –« pappier-journal contenant le receptefaicte par Michel Pitet, recepveur des rentes tant foncières que seigneurialles deulz au sieur abbé de Saint-Taurin d'Évreux à cause des maisons et héritaiges assises tant en ceste bourgeoisye que ès environs, tenues de l'ancien fief Saint Taurin sur lequel est assis le masnoir abatial de ladite abbeye, le fieif des Apvrilloclz, le fieif du Buisson Hocquepin et de Pennette, le fief de Parville et le fieif de Sainct Jehan de Morsent, desquels fieifs les hommes tenans et subjectz avecq leurs redevances et recepte sur ce faicte pour les annez mil six cens quatre, six cens cinq et mil six cens six sont cy apprès nommez et desclarez, ainsy qu'il ensuict... » (Fol. 463-528) ; – plaids et gagespleiges, états et journaux de recette des rentes foncières et seigneuriales des terres dépendant du fief du Buisson-Hocpin et de l'ancien fief de Saint-Taurin (1608-1656. Fol. 529-1166).

H796 , 1462-1795 , Aurillots (fief) situé près Evreux ; Brosse (triège de la) situé à la Forêt du Parc ; Buisson (Le), hameau sis à Evreux ; Buisson-Hochin (Le), sis à Evreux, paroisse Saint-Aquilin ; Cambolle (hameau de), sis à Evreux ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Evreux (Paroisses d') : Saint-Gilles ; Fains, près Pacy ; Gerouard (le fief) ; Hécourt ; Luhéré (Le) ; Morsent ; Moursenc ; Ormes ; Pacy-sur-Eure ; Pannette (Métairie de), sise à Evreux ; Parville ; Plessis-Hébert (Le) ; Saint-Laurent-la-Campagne ; Saint-Martin-la-Campagne ; Saint-Taurin (fief de), sis à Evreux ; Sôgne (La)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Comptes de recettes et de dépenses des rentes et des fermages appartenante l'abbaye de Saint-Taurin (1462-1463. Fol. 1-128), Les recettes sont énumérées dans l'ordre suivant : « Saint-Gilles d'Évreux Pennette, Saint-Martin la Champaigne, le fief aux Aurillos, le fief du Buisson, Parville, le Luhéré, Moursenc, Hourmes, Quessigny, La Brosse, La Sougne, le fief Gerouart, Saint-Laurens la Champaigne, Pacy, Fains jouxe Pacy, Hécourt. » Les dépenses prélevées sur ces recettes s'appliquent presque exclusivement à des frais de voyages, de consultation, de procédure, de rédaction de « mémoriaux » et autres actes intéressant les biens et les rentes de l'abbaye : « Le premier jour d'avril, à messire Jehan Drouet, pour plusieurs escriptures faittes par lui, c'est assavoir minuté et grossé l'appointement du procès de Fains, deux mandemens pour sequestrer les fruys estant sur les terres descordables et toutes les aultres escriptures touchant ledit procès, deux prorogations du compromis passé par le curé de Croisy pour les dismes des pains de ladite paroisse et l'émologation de la sentence donnée par les arbitres contre ledit curé de Croisy, ung instrument d'actainte sur le curé du Plessis Hesbert et des menues dismes de la Sougne, et pour tout le procès de la dixième sepmaine du moulin du Champ-Durant, duquel procès le monnier a depuis appointé à Monseigneur, et plusieurs aultres escriptures, payé par marché fait à luy pour toutes ses choses... LX sous tournois » ; – plaids de la seigneurie du Buisson-Hocpin appartenant à l'abbaye (1568 1570. Fol. 129-148) ; – inventaire sommaire des aveux, titres et contrats concernant la même seigneurie (1570. Fol. 149-167) ; –« ce qui est deu annuellement aux religieux, abbé et couvent de l'abbaie de Saint Taurin d'Évreux par les tenans du fief de Saint Jehan de Morsencq jouxte les ancyens pappiers et registres » (Fol. 168-171) ; – journal des recettes des rentes dues à l'abbaye et perçues par Julien Blondel, « recepveur des fiefz, terres et seigneuries » appartenant aux religieux de Saint Taurin (1568-1580.Fol. 172-306) ; –baux à ferme et fragments de plaids et de gages-pleiges des terres, etc., appartenant à l'abbaye (fermes de Cambolle, de la Sôgne, de Qnessigny, de Parville, de Saint-Martin-la-Campagne, du Buisson-Hocpin, dîmes dans diverses paroisses, etc., (1581-1595 ; Fol. 308-411) ; – journaux et états des rentes dues à l'abbaye par les tenanciers des terres dépendant de l'ancien fief de Saint-Taurin, à Évreux et aux environs (1594-1606. Fol. 412-462) ; –« pappier-journal contenant le receptefaicte par Michel Pitet, recepveur des rentes tant foncières que seigneurialles deulz au sieur abbé de Saint-Taurin d'Évreux à cause des maisons et héritaiges assises tant en ceste bourgeoisye que ès environs, tenues de l'ancien fief Saint Taurin sur lequel est assis le masnoir abatial de ladite abbeye, le fieif des Apvrilloclz, le fieif du Buisson Hocquepin et de Pennette, le fief de Parville et le fieif de Sainct Jehan de Morsent, desquels fieifs les hommes tenans et subjectz avecq leurs redevances et recepte sur ce faicte pour les annez mil six cens quatre, six cens cinq et mil six cens six sont cy apprès nommez et desclarez, ainsy qu'il ensuict... » (Fol. 463-528) ; – plaids et gagespleiges, états et journaux de recette des rentes foncières et seigneuriales des terres dépendant du fief du Buisson-Hocpin et de l'ancien fief de Saint-Taurin (1608-1656. Fol. 529-1166).

H796 , 1462-1795 , Aurillots (fief) situé près Evreux ; Brosse (triège de la) situé à la Forêt du Parc ; Buisson (Le), hameau sis à Evreux ; Buisson-Hochin (Le), sis à Evreux, paroisse Saint-Aquilin ; Cambolle (hameau de), sis à Evreux ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Evreux (Paroisses d') : Saint-Gilles ; Fains, près Pacy ; Gerouard (le fief) ; Hécourt ; Luhéré (Le) ; Morsent ; Moursenc ; Ormes ; Pacy-sur-Eure ; Pannette (Métairie de), sise à Evreux ; Parville ; Plessis-Hébert (Le) ; Saint-Laurent-la-Campagne ; Saint-Martin-la-Campagne ; Saint-Taurin (fief de), sis à Evreux ; Sôgne (La)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)
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