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Analyses et traductions informes (1791) des chartes de l'abbaye comprise sous les cotes 2 à A de la première liasse, premier paragraphe, de l'inventaire dressé par le commissaire du district de Verneuil et par le représentant de la municipalité de Muzy, du 14 novembre 1791 au 12 mai 1792 (les originaux, retirés des chemises qui les renfermaient, ne sont pas parvenus aux archives de l'Eure) ; – copie collationnée d'une transaction passée le 27 octobre 1683 entre Pierre Camus de Pontcarré, « prieur de Saint-Trojan et de Saint-Jean de Musy, conseiller aumosnier du Roy », d'une part, et les procureurs fondés de François de Laval, premier évêque de Québec, abbé commendataire de l'Estrée et de Charles-Marie-Joseph. Bochard, seigneur de Mormoulin, curé de Muzy, d'autres parts. (Les terres de l'abbaye, situées à Muzy, seront exemptes de tous droits de dîmes, conformément aux privilèges de l'ordre de Cîteaux ; l'abbé de l'Estrée et le prieur de Muzy payeront au curé de Muzy chacun 10 livres par an.) – (Première liasse du premier paragraphe de l'inventaire de 1792.).

H303 , 1683 , Estrée (Abbaye de l') ; Mormoulin (fief de) ; Musy ; Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de l'Estrée (Ordre de Cîteaux)

Analyses et traductions informes (1791) des chartes de l'abbaye comprise sous les cotes 2 à A de la première liasse, premier paragraphe, de l'inventaire dressé par le commissaire du district de Verneuil et par le représentant de la municipalité de Muzy, du 14 novembre 1791 au 12 mai 1792 (les originaux, retirés des chemises qui les renfermaient, ne sont pas parvenus aux archives de l'Eure) ; – copie collationnée d'une transaction passée le 27 octobre 1683 entre Pierre Camus de Pontcarré, « prieur de Saint-Trojan et de Saint-Jean de Musy, conseiller aumosnier du Roy », d'une part, et les procureurs fondés de François de Laval, premier évêque de Québec, abbé commendataire de l'Estrée et de Charles-Marie-Joseph. Bochard, seigneur de Mormoulin, curé de Muzy, d'autres parts. (Les terres de l'abbaye, situées à Muzy, seront exemptes de tous droits de dîmes, conformément aux privilèges de l'ordre de Cîteaux ; l'abbé de l'Estrée et le prieur de Muzy payeront au curé de Muzy chacun 10 livres par an.) – (Première liasse du premier paragraphe de l'inventaire de 1792.).

H303 , 1683 , Estrée (Abbaye de l') ; Mormoulin (fief de) ; Musy ; Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de l'Estrée (Ordre de Cîteaux)

Muzy.

H900 , 1302-1785 , Aunay, fief sis près Muzy ; Croisil (fief de), sis à Muzy [ou Croiselles] ; Lierre (Prieuré royal de Saint-Eustache de) ; Lierru (Prieuré royal de Saint-Pierre-Saint-Paul de) ; Louye ; Musy ; Pont-Charrier (lieu-dit), sis à Muzy ; Saint-Eustache (Prieuré en Oratoire de) sis au fief de Croisil, paroisse de Muzy, et appelé « Prieuré de Lierru »  

Vidimus d'une charte de Jean, seigneur de Muzy, concédant aux religieux de Lierru « pour le salut de son âme, de Maheut et de Luce, ses femmes, et de Jeanne, sa fille », le droit d'établir un pressoir dans leur manoir de Muzy pour le pressurage de leur vin seulement, et d'accroître jusqu'à concurrence de deux arpents l'étendue de leurs vignes dans son fief de haubert de Muzy (1302) ; — contrats d'acquisition et d'échange par les religieux du prieuré de terres, de vignes et de rentes foncières situées ou assignées dans la paroisse de Muzy (XIVe siècle) ; lettres d'amortissement accordées aux religieux de Lierru par Bernard Cariti, évêque d'Évreux, pour les biens qu'ils possédaient dans le fief du seigneur de Muzy relevant dudit évêque, savoir : deux acres de vignes en cinq pièces, deux acres de prairie, trois acres de terre labourables et un petit fief nommé « Croiselles », estimé à 50 sous tournois de revenu annuel (1380) ; — aveux (XVIIe et XVIIIe siècles) rendus par les prieurs aux seigneurs de Muzy pour « le prieuré ou oratoire de Saint-Eustache, nommé le fief de Croisil, tenu en foi et hommage par un huitième de fief noble sans cour ni usage, lequel consiste en deux arpens en cour et labour, sur lequel était anciennement ledit prieuré et où est à présent une maison et autres bastiments, au lieu de Pont Charier, bornés d'un costé au levant Antoine Jean Laine, d'autre costé la sente de Louye, d'un bout au midy le chemin d'Aunay à Pont Charier et d'autre bout Nicolas Guersent, fils Joseph » (1766).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Lierru

Muzy.

H900 , 1302-1785 , Aunay, fief sis près Muzy ; Croisil (fief de), sis à Muzy [ou Croiselles] ; Lierre (Prieuré royal de Saint-Eustache de) ; Lierru (Prieuré royal de Saint-Pierre-Saint-Paul de) ; Louye ; Musy ; Pont-Charrier (lieu-dit), sis à Muzy ; Saint-Eustache (Prieuré en Oratoire de) sis au fief de Croisil, paroisse de Muzy, et appelé « Prieuré de Lierru »  

Vidimus d'une charte de Jean, seigneur de Muzy, concédant aux religieux de Lierru « pour le salut de son âme, de Maheut et de Luce, ses femmes, et de Jeanne, sa fille », le droit d'établir un pressoir dans leur manoir de Muzy pour le pressurage de leur vin seulement, et d'accroître jusqu'à concurrence de deux arpents l'étendue de leurs vignes dans son fief de haubert de Muzy (1302) ; — contrats d'acquisition et d'échange par les religieux du prieuré de terres, de vignes et de rentes foncières situées ou assignées dans la paroisse de Muzy (XIVe siècle) ; lettres d'amortissement accordées aux religieux de Lierru par Bernard Cariti, évêque d'Évreux, pour les biens qu'ils possédaient dans le fief du seigneur de Muzy relevant dudit évêque, savoir : deux acres de vignes en cinq pièces, deux acres de prairie, trois acres de terre labourables et un petit fief nommé « Croiselles », estimé à 50 sous tournois de revenu annuel (1380) ; — aveux (XVIIe et XVIIIe siècles) rendus par les prieurs aux seigneurs de Muzy pour « le prieuré ou oratoire de Saint-Eustache, nommé le fief de Croisil, tenu en foi et hommage par un huitième de fief noble sans cour ni usage, lequel consiste en deux arpens en cour et labour, sur lequel était anciennement ledit prieuré et où est à présent une maison et autres bastiments, au lieu de Pont Charier, bornés d'un costé au levant Antoine Jean Laine, d'autre costé la sente de Louye, d'un bout au midy le chemin d'Aunay à Pont Charier et d'autre bout Nicolas Guersent, fils Joseph » (1766).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Lierru
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