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Baux à fieffe des terres de la fabrique, sises à Richeville et à Flumesnil, triège du Moulin-de-Mouflaines.
Contrats de donation, de constitution et de revalidation de rentes au profit de la fabrique. (Fondation de 3 livres de rente par Guillaume Advisse, prêtre, vicaire de Villers-en-Vexin (1603) et de 3 livres 10 sous par Robert Dumont, en son vivant vicaire de Richeville, 1693.).
Aveu rendu par Antoine Marie, curé de Richeville, à Robert Fauvel, chevalier, conseiller au parlement de Rouen, pour les terres de son bénéfice cure, relevant de la seigneurie de Richeville.
Contrats de donation, de constitution et de revalidation de rentes au profit de la fabrique. (Fondation de 3 livres de rente par Guillaume Advisse, prêtre, vicaire de Villers-en-Vexin (1603) et de 3 livres 10 sous par Robert Dumont, en son vivant vicaire de Richeville, 1693.).
Aveu rendu par Antoine Marie, curé de Richeville, à Robert Fauvel, chevalier, conseiller au parlement de Rouen, pour les terres de son bénéfice cure, relevant de la seigneurie de Richeville.
Aveux rendus par la fabrique à François « de Raymon », chevalier, gouverneur pour le Roi des villes d'Andely et Château-Gaillard (1673), à Robert Fauvel, chevalier, conseiller au parlement de Rouen (1754), à Jean-Jacques-Vincent Le Couteulx, à Antoine-Louis Le Couteulx, son frère (1765), et à Barthélemy-Jean-Louis Le Couteulx de La Noraye (l 785), pour des terres relevant des seigneuries de Suzay, Hacqueville et Richeville.
Aveux rendus par la fabrique à François « de Raymon », chevalier, gouverneur pour le Roi des villes d'Andely et Château-Gaillard (1673), à Robert Fauvel, chevalier, conseiller au parlement de Rouen (1754), à Jean-Jacques-Vincent Le Couteulx, à Antoine-Louis Le Couteulx, son frère (1765), et à Barthélemy-Jean-Louis Le Couteulx de La Noraye (l 785), pour des terres relevant des seigneuries de Suzay, Hacqueville et Richeville.
Bail passé par la fabrique à Jean Le Roux, d'une acre de terre en deux pièces située à Hacqueville, pour le prix annuel de 17 livres (1724) ; – bail des mêmes terres, passé moyennant 25 livres de fermage en 1769 ; – aveu des mêmes terres, rendu par la fabrique à « messire Robert Fauvel, seigneur châtelain de Hacqueville, seigneur et patron de Richeville, Flumesnil et autres lieux, conseiller au parlement de Rouen » (1733), – et à messire Barthélémy - Jean Louis Le Couteulx de La Noraye, écuyer, secrétaire de la chambre et du cabinet du Roi, seigneur châtelain et patron honoraire de Hacqueville (1785).
Bail passé par la fabrique à Jean Le Roux, d'une acre de terre en deux pièces située à Hacqueville, pour le prix annuel de 17 livres (1724) ; – bail des mêmes terres, passé moyennant 25 livres de fermage en 1769 ; – aveu des mêmes terres, rendu par la fabrique à « messire Robert Fauvel, seigneur châtelain de Hacqueville, seigneur et patron de Richeville, Flumesnil et autres lieux, conseiller au parlement de Rouen » (1733), – et à messire Barthélémy - Jean Louis Le Couteulx de La Noraye, écuyer, secrétaire de la chambre et du cabinet du Roi, seigneur châtelain et patron honoraire de Hacqueville (1785).
Familles Legros (paroisse de Perruel) (1656-1694) - Masurier (Richeville) (1626-1752) - Privé et de Saint-Etienne (Hacqueville) (1726-1750) - Pezet (Richeville) (1735-1775)
Confrérie du Saint-Nom-de-Jésus.
Donations à la confrérie : par Pierre Taupin, laboureur, d'une pièce de terre contenant 25 perches, située à Flumesnil (s. d. ), – par Etienne Le Febvre et Denise Le Tellier, sa femme, d'une rente annuelle de 40 sous (1631), – par Jacques Pinchon, laboureur, d'une rente de 50 sous (1673) ; – quittances des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts payés par la confrérie en 1698 et en 1702.
Familles Legros (paroisse de Perruel) (1656-1694) - Masurier (Richeville) (1626-1752) - Privé et de Saint-Etienne (Hacqueville) (1726-1750) - Pezet (Richeville) (1735-1775)
Confrérie du Saint-Nom-de-Jésus.
Donations à la confrérie : par Pierre Taupin, laboureur, d'une pièce de terre contenant 25 perches, située à Flumesnil (s. d. ), – par Etienne Le Febvre et Denise Le Tellier, sa femme, d'une rente annuelle de 40 sous (1631), – par Jacques Pinchon, laboureur, d'une rente de 50 sous (1673) ; – quittances des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts payés par la confrérie en 1698 et en 1702.