Toutes les ressources Saint-Pierre-des-Cerceuils 12 résultats (10ms)

Aveu rendu par la fabrique à Pierre-Marc-Antoine de Languedor, marquis de Becthomas, président à mortier au parlement de Normandie, pour le terrain de l'église et du cimetière et-pour des terres sises à Saint-Germain-de-Pasquier, relevant du marquisat de Becthomas (1768) ; – remise à la fabrique par Nicolas Beaucousin, chantre et chanoine de La Saussaye, et curé de Saint-Pierre-des-Cercueils, d'une somme de 50 livres, léguée par Vincent Lefevre, ancien chantre et chanoine de La Saussaye (1652) ; – baux à ferme des terres de la fabrique, situées à Saint-Germain-de-Pasquier, trièges du Gros-Saule et du Sault-du-Moulin.

G1191 , 1652-1771 , Bec-Thomas (Le) ; Gros-Saule (Le), triège à Saint-Germain-de-Pasquier ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Germain-de-Pasquier ; Saint-Germain-de-Pasquier ; Saint-Pierre-des-Cerceuils ; Sault (Le Moulin du), triège à Saint-Germain-de-Pasquier ; Saussaye (Chapitre collégial)  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Germain-de-Pasquier

Du 16 septembre 1709 au 13 décembre 1721.

G245 , 1709-1721 , Amfreville-la-Campagne ; Bec-Thomas (Le) ; Crestot ; Fouqueville ; Limbeuf ; Montpoignant ; Pasquier ; Saint-Amand-des-Hautes-Terres ; Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin ; Saint-Pierre-des-Cerceuils  

« M. le doyen a exposé à la compagnie que S. A. Monseigneur le duc d'Elbeuf l'avoit mandé avec le sieur Pollet, chanoine, et que s'étant rendus à Elbeuf, en son hôtel, il leur avoit déclaré qu'il avoit besoin du pré Basire appartenant au chapitre et qu'il donneroit au chapitre du bien de pareille valeur, soit en bois ou terre, ou qu'il feroit la rente dont est chargé le sieur Cappelle et que S. A. devoit venir visitter MM. Du chapitre pour leur dire ses intentions » (21 septembre 1710) ; – M. Charles Bosquier, prêtre, chanoine de La Saussaye, « docteur aux droits », bénéficier en l'église cathédrale de Rouen et officiai de Saint-Gervais, présente au chapitre « un livre en velin relié de peau de truie, garny de crochets et dix rosettes de cuivre doré, qu'il a fait écrire par M0 Jacques Rabeaux, maître des enfants de cœur, dans lequel est contenu tout le devoir et office desdits enfans, que ledit Bosquier prie le chapitre d'agréer, ce que le chapitre a fait avec remercîment » (2 avril 1711) ; – le chapitre envoie un député à l'assemblée diocésaine qui se doit tenir au château de Gaillon le 18 mai 17 H ; –« le lundy 30e septembre 1720, messire Jean Le Normand, évesque d'Évreux, a donné la confirmation aux habitants des paroisses circonvoisines, Saint-Martin-la-Corneille, Sain t-Nicolas-du-Bosc - Asselin, Saint-Pierre-des-Cercueils, Saint-Amand-des-Hautes-Terres, Amfreville-la-Campagne, Fouqueville, Becthomas et Montpoignant, Crestot, Limbeuf, Pasquier, ce qui se montoit au nombre de huit cents quatre-vingt-six personnes, et ledit prélat ayant demandé à voir les ornements de notre ditte église, les a trouvé en bon ordre, et messieurs dudit chapitre ont esté remercier mon dit seigneur de l'honeur qu'il leur a fait de choisir leur église pour administrer ledit sacrement et y avoir célébré la messe, dont ils ont esté reçues très-favorablement et qui leur a marqué l'estime et la considération qu'il a pour le chapitre, lequel chapitre lui ayant marqué la recongnoissance de l'attention qu'il avoit eue de les faire diminuer aux dernières impositions pour les décimes, dixiesme et capitation, il leur a promis de la continuer pour l'advenir. ».

Contexte :
Chapitre collégial de la Saussaye > Délibérations capitulaires

Aveu rendu par la fabrique à Pierre-Marc-Antoine de Languedor, marquis de Becthomas, président à mortier au parlement de Normandie, pour le terrain de l'église et du cimetière et-pour des terres sises à Saint-Germain-de-Pasquier, relevant du marquisat de Becthomas (1768) ; – remise à la fabrique par Nicolas Beaucousin, chantre et chanoine de La Saussaye, et curé de Saint-Pierre-des-Cercueils, d'une somme de 50 livres, léguée par Vincent Lefevre, ancien chantre et chanoine de La Saussaye (1652) ; – baux à ferme des terres de la fabrique, situées à Saint-Germain-de-Pasquier, trièges du Gros-Saule et du Sault-du-Moulin.

G1191 , 1652-1771 , Bec-Thomas (Le) ; Gros-Saule (Le), triège à Saint-Germain-de-Pasquier ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Germain-de-Pasquier ; Saint-Germain-de-Pasquier ; Saint-Pierre-des-Cerceuils ; Sault (Le Moulin du), triège à Saint-Germain-de-Pasquier ; Saussaye (Chapitre collégial)  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Germain-de-Pasquier

Du 16 septembre 1709 au 13 décembre 1721.

G245 , 1709-1721 , Amfreville-la-Campagne ; Bec-Thomas (Le) ; Crestot ; Fouqueville ; Limbeuf ; Montpoignant ; Pasquier ; Saint-Amand-des-Hautes-Terres ; Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin ; Saint-Pierre-des-Cerceuils  

« M. le doyen a exposé à la compagnie que S. A. Monseigneur le duc d'Elbeuf l'avoit mandé avec le sieur Pollet, chanoine, et que s'étant rendus à Elbeuf, en son hôtel, il leur avoit déclaré qu'il avoit besoin du pré Basire appartenant au chapitre et qu'il donneroit au chapitre du bien de pareille valeur, soit en bois ou terre, ou qu'il feroit la rente dont est chargé le sieur Cappelle et que S. A. devoit venir visitter MM. Du chapitre pour leur dire ses intentions » (21 septembre 1710) ; – M. Charles Bosquier, prêtre, chanoine de La Saussaye, « docteur aux droits », bénéficier en l'église cathédrale de Rouen et officiai de Saint-Gervais, présente au chapitre « un livre en velin relié de peau de truie, garny de crochets et dix rosettes de cuivre doré, qu'il a fait écrire par M0 Jacques Rabeaux, maître des enfants de cœur, dans lequel est contenu tout le devoir et office desdits enfans, que ledit Bosquier prie le chapitre d'agréer, ce que le chapitre a fait avec remercîment » (2 avril 1711) ; – le chapitre envoie un député à l'assemblée diocésaine qui se doit tenir au château de Gaillon le 18 mai 17 H ; –« le lundy 30e septembre 1720, messire Jean Le Normand, évesque d'Évreux, a donné la confirmation aux habitants des paroisses circonvoisines, Saint-Martin-la-Corneille, Sain t-Nicolas-du-Bosc - Asselin, Saint-Pierre-des-Cercueils, Saint-Amand-des-Hautes-Terres, Amfreville-la-Campagne, Fouqueville, Becthomas et Montpoignant, Crestot, Limbeuf, Pasquier, ce qui se montoit au nombre de huit cents quatre-vingt-six personnes, et ledit prélat ayant demandé à voir les ornements de notre ditte église, les a trouvé en bon ordre, et messieurs dudit chapitre ont esté remercier mon dit seigneur de l'honeur qu'il leur a fait de choisir leur église pour administrer ledit sacrement et y avoir célébré la messe, dont ils ont esté reçues très-favorablement et qui leur a marqué l'estime et la considération qu'il a pour le chapitre, lequel chapitre lui ayant marqué la recongnoissance de l'attention qu'il avoit eue de les faire diminuer aux dernières impositions pour les décimes, dixiesme et capitation, il leur a promis de la continuer pour l'advenir. ».

Contexte :
Chapitre collégial de la Saussaye > Délibérations capitulaires

Paroisse de Saint-Pierre des Cercueils.

G270 , 1550-1770 , Amfreville-sur-Iton ; Asprement ; Ausseville ; Bacquepuis ; Bec-Thomas (Le) ; Endormi (le fief, à Saint-Pierre-des-Cerceuils) ; Port-Pinché (Le), fief ; Richebourg (seigneurie de) ; Rocquefort-en-Caux ; Saint-Pierre-des-Cerceuils  

« C'est la déclaration des héritages que tiennent les doyen et chanoines de l'église collégiale Sainct Loys de La Saulsaye, de noble et puissant seigneur messire Jehan de Sabrevois, chevalier de l'Ordre du Roy, gentilhomme ordinaire de sa chambre, baron de Béthomas, seigneur de Richebourg, Anfreville-sur-Yton, Aspremont et de Bacquepuis, c'est asçavoir une pièce de terre labourable contenant cinq vergées, assise en la paroisse de Sainct Pierre des Sarcueils, vulgairement nommez le Champ Failli, au fief Endormi, despendant de la baronnie dudict Béthomas » (1602) ; – même déclaration rendue à Jean de Beaulieu, chevalier, seigneur et baron du Bec-Thomas (1634) ; – aveu rendu par le chapitre à messire « Louis Emery de Roquigny, chevalier, saigneur, patron et châtelain de Craville, La Rocquefort en Caux, Ausseville, Le Porpinché et autres lieux », pour leurs terres du fief de Port-Pincher, située dans les paroisses de Saint-Pierre-des-Cercueils et de Saint-Nico-las-du-Bosc-Asselin (1770).

Contexte :
Chapitre collégial de la Saussaye

Copie d'une transaction passée entre « Jean du Montpoignant », chevalier, et les religieuses de l'abbaye de Fontevrault, possédant le prieuré de Chaise-Dieu au diocèse d'Évreux : « sur ce que lesdites religieuses, abbesse et couvent dessus dits, pour ledit prieuré, disoient et affirmoient que ladite église de Saint-Ouen du Pontchel et tout le droit de ladite église apartenoit à ladite prieuré et que le patron-nage apartient du tout et en tout audit prieuré, je, Jean, chevalier, dessus dit, disant et affirmant le contraire et que tout le droit de ladite église de Saint-Ouen du Pontchel apartenoit à moy de tout temps et pour ce qu'elle siet à mon fief de tous côtés et au membre de mon haubert, en la parfin, par le conseil de bonnes gens fut fait accord en la manière qui ensuit, c'est à savoir que je, Jean, chevalier, et nous, abbesse et couvent, voulons et accordons qu'il y ait en ladite église de Saint-Ouen du Pontchel un prêtre qui déservira ladite église comme église paroichialle et chantera trois fois la semaine en une chapelle qui est en mon manoir au Montpoignant, et pour ce faire plus dévotement, je, Jean, chevalier, dessusdit, ai donné pour Dieu et en pur et perpétuel aumône et pour le salut de moy et de mes prédécesseurs hébergement suffisant audit prêtre et une journée de caréage en août que j'avois chacun an de rente sur la dixme auxdites religieuses, et un convoy de manger, lequel caréage et convoy sont estimés à la value de quatre livres tournois de rente chacun an, lesquelles quatre livres lesdites religieuses rendront et payeront ou fairont rendre ou payer audit prêtre chacun an à la feste Saint-Michel, etc. ; » (1317) ; – fondations faites en faveur du trésor de Saint-Ouen de-Pontcheuil par Pierre Curé (1649), Pierre Curé l'aîné (1650), Nicolas Lodieu, prêtre, vicaire de Saint-Pierre-des-Cercueils (1650), « Thienette Des Robteurs » (1651), François de Campion, sieur de Montpoignant (1666), et Marie Marié (1692) ; – baux à ferme des terres de la fabrique, situées à Foucqueville, à Amfreville-la-Campagne, à Montpoignant et à Saint-Ouen-de-Pontcheuil.

G1238 , 1317-1762 , Amfreville-la-Campagne ; Chaise-Dieu (couvent de La) ; Fontevrault (Abbaye de) ; Foucqueville ; Montpoignant ; Saint-Ouen-de-Pontcheuil ; Saint-Pierre-des-Cerceuils  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Ouen-de-Pontcheuil

Copie d'une transaction passée entre « Jean du Montpoignant », chevalier, et les religieuses de l'abbaye de Fontevrault, possédant le prieuré de Chaise-Dieu au diocèse d'Évreux : « sur ce que lesdites religieuses, abbesse et couvent dessus dits, pour ledit prieuré, disoient et affirmoient que ladite église de Saint-Ouen du Pontchel et tout le droit de ladite église apartenoit à ladite prieuré et que le patron-nage apartient du tout et en tout audit prieuré, je, Jean, chevalier, dessus dit, disant et affirmant le contraire et que tout le droit de ladite église de Saint-Ouen du Pontchel apartenoit à moy de tout temps et pour ce qu'elle siet à mon fief de tous côtés et au membre de mon haubert, en la parfin, par le conseil de bonnes gens fut fait accord en la manière qui ensuit, c'est à savoir que je, Jean, chevalier, et nous, abbesse et couvent, voulons et accordons qu'il y ait en ladite église de Saint-Ouen du Pontchel un prêtre qui déservira ladite église comme église paroichialle et chantera trois fois la semaine en une chapelle qui est en mon manoir au Montpoignant, et pour ce faire plus dévotement, je, Jean, chevalier, dessusdit, ai donné pour Dieu et en pur et perpétuel aumône et pour le salut de moy et de mes prédécesseurs hébergement suffisant audit prêtre et une journée de caréage en août que j'avois chacun an de rente sur la dixme auxdites religieuses, et un convoy de manger, lequel caréage et convoy sont estimés à la value de quatre livres tournois de rente chacun an, lesquelles quatre livres lesdites religieuses rendront et payeront ou fairont rendre ou payer audit prêtre chacun an à la feste Saint-Michel, etc. ; » (1317) ; – fondations faites en faveur du trésor de Saint-Ouen de-Pontcheuil par Pierre Curé (1649), Pierre Curé l'aîné (1650), Nicolas Lodieu, prêtre, vicaire de Saint-Pierre-des-Cercueils (1650), « Thienette Des Robteurs » (1651), François de Campion, sieur de Montpoignant (1666), et Marie Marié (1692) ; – baux à ferme des terres de la fabrique, situées à Foucqueville, à Amfreville-la-Campagne, à Montpoignant et à Saint-Ouen-de-Pontcheuil.

G1238 , 1317-1762 , Amfreville-la-Campagne ; Chaise-Dieu (couvent de La) ; Fontevrault (Abbaye de) ; Foucqueville ; Montpoignant ; Saint-Ouen-de-Pontcheuil ; Saint-Pierre-des-Cerceuils  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Ouen-de-Pontcheuil

Paroisse de Saint-Pierre des Cercueils.

G270 , 1550-1770 , Amfreville-sur-Iton ; Asprement ; Ausseville ; Bacquepuis ; Bec-Thomas (Le) ; Endormi (le fief, à Saint-Pierre-des-Cerceuils) ; Port-Pinché (Le), fief ; Richebourg (seigneurie de) ; Rocquefort-en-Caux ; Saint-Pierre-des-Cerceuils  

« C'est la déclaration des héritages que tiennent les doyen et chanoines de l'église collégiale Sainct Loys de La Saulsaye, de noble et puissant seigneur messire Jehan de Sabrevois, chevalier de l'Ordre du Roy, gentilhomme ordinaire de sa chambre, baron de Béthomas, seigneur de Richebourg, Anfreville-sur-Yton, Aspremont et de Bacquepuis, c'est asçavoir une pièce de terre labourable contenant cinq vergées, assise en la paroisse de Sainct Pierre des Sarcueils, vulgairement nommez le Champ Failli, au fief Endormi, despendant de la baronnie dudict Béthomas » (1602) ; – même déclaration rendue à Jean de Beaulieu, chevalier, seigneur et baron du Bec-Thomas (1634) ; – aveu rendu par le chapitre à messire « Louis Emery de Roquigny, chevalier, saigneur, patron et châtelain de Craville, La Rocquefort en Caux, Ausseville, Le Porpinché et autres lieux », pour leurs terres du fief de Port-Pincher, située dans les paroisses de Saint-Pierre-des-Cercueils et de Saint-Nico-las-du-Bosc-Asselin (1770).

Contexte :
Chapitre collégial de la Saussaye
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