Toutes les ressources Amfreville, Jean d' (ou d'Ussy) 4 résultats (31ms)

Copie informe d'une transaction passée entre Jean d'Ussy, écuyer, autrement dit d'Amfreville, seigneur d'Amfreville la Campagne, d'une part, et les religieux du prieuré, d'autre part. Jean d'Ussy déclare renoncer à toutes redevances et droits seigneuriaux sur les terres des religieux et de leurs hommes, sises à Saint-Aubin-des-Fresnes et lieux circonvoisins (1318) ; – déclaration des revenus et des charges du prieuré de Saint-Aubin-des-Fresnes, fournie par les religieux de la Chartreuse de Saint-Julien-lès-Rouen, conformément à la déclaration de l'assemblée générale du Clergé de France, du 12 décembre 1726 : « Ce prieuré a esté réuny à nostre Chartreuse par lettres patentes du mois d'avril 1722 comme faisant partie de la mense conventuelle des anciens bénédictins de Saint-Julien, auxquels nous avons succédé, à la charge par nous de laisser jouir le titulaire dudit prieuré pendant sa vie, lequel est décédé dans le mois de juillet dernier. Ce prieuré consiste en fief de haubert, vingt livres de rente, environ trente accres de terre, la moitié des grosses dixmes de la parroisse d'Amfreville la Campagne, en chapelle, masures, clos et colombier et bâtiments qui sont en totalle ruine. Le revenu de ce prieuré est affermé 800 livres par an par bail du 3 aoust 1729... » (1729) ; – déclarations fournies par le prieuré au greffe des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts (1692-1701) ; – plan figuré du hameau de Saint-Aubin-des-Fresnes, du prieuré et des terres environnantes (XVIIe siècle).

H972 , 1318-1784 , Amfreville-la-Campagne ; Saint-Aubin-de-Fresnes (Prieuré de) ; Saint-Julien-les-Rouen (Chartreuse de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Saint-Aubin-des-Fresnes

Copie informe d'une transaction passée entre Jean d'Ussy, écuyer, autrement dit d'Amfreville, seigneur d'Amfreville la Campagne, d'une part, et les religieux du prieuré, d'autre part. Jean d'Ussy déclare renoncer à toutes redevances et droits seigneuriaux sur les terres des religieux et de leurs hommes, sises à Saint-Aubin-des-Fresnes et lieux circonvoisins (1318) ; – déclaration des revenus et des charges du prieuré de Saint-Aubin-des-Fresnes, fournie par les religieux de la Chartreuse de Saint-Julien-lès-Rouen, conformément à la déclaration de l'assemblée générale du Clergé de France, du 12 décembre 1726 : « Ce prieuré a esté réuny à nostre Chartreuse par lettres patentes du mois d'avril 1722 comme faisant partie de la mense conventuelle des anciens bénédictins de Saint-Julien, auxquels nous avons succédé, à la charge par nous de laisser jouir le titulaire dudit prieuré pendant sa vie, lequel est décédé dans le mois de juillet dernier. Ce prieuré consiste en fief de haubert, vingt livres de rente, environ trente accres de terre, la moitié des grosses dixmes de la parroisse d'Amfreville la Campagne, en chapelle, masures, clos et colombier et bâtiments qui sont en totalle ruine. Le revenu de ce prieuré est affermé 800 livres par an par bail du 3 aoust 1729... » (1729) ; – déclarations fournies par le prieuré au greffe des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts (1692-1701) ; – plan figuré du hameau de Saint-Aubin-des-Fresnes, du prieuré et des terres environnantes (XVIIe siècle).

H972 , 1318-1784 , Amfreville-la-Campagne ; Saint-Aubin-de-Fresnes (Prieuré de) ; Saint-Julien-les-Rouen (Chartreuse de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Saint-Aubin-des-Fresnes

Montaure.

H1066 , 1596-1735 , Bayeux ; Caudebec-les-Elbeuf ; Criquetot (fief de) ; Ecrosville (fief d') ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Haye-Malherbe (La) ; Montaure ; Pont-de-l'Arche, ville ; Rouen (Parlement de)  

Copie d'un aveu rendu au Roi, à cause de sa châtellenie et vicomté de Pont-de-l'Arche, par PierreVigor, sieur de Montaure, conseiller au parlement de Normandie, pour « le fief, terre et seigneurie de Montore qui est un quart de fief de haubert à moy appartenant par acquisition qne j'en ay faite au décret des héritages de M. Jean d'Anfreville le 30 juillet 1612, lequel fief fut et appartint antiennement au sieur de Criquetot, à cause de quoy il en auroit plusieurs fois esté nommé le fief de Criquetot, dont le chef dudit fief est assis en ladite paroisse de Montore et s'estent aux paroisses dudit Montore, Notre-Dame-de-Caudebec, la Haye-Malherbe et aux paroisses voisines » (1634) ; — vente aux Carmes de la Garde-Châtel par Adrien Poirier, seigneur d'Anfreville, Montaure et autres lieux, président au parlement de Normandie, de vingt et une acres demi-vergée deux perches de terres en bois et en labour, en cinq pièces, sises à Montaure, et d'une autre pièce de terre, nommée la Lande, contenant trois acres vergée et demie douze perches, sise à Louviers, paroisse Notre-Dame, pour le prix de 4.400 livres (1768) ; — constitution au profit des religieux de la Garde-Châtel par Étienne Delandre, journalier à Montaure, hameau d'Écrosville, d'une rente de 9 livres 19 sous au capital de 199 livres (1735).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Carmes de la Garde-Châtel

Montaure.

H1066 , 1596-1735 , Bayeux ; Caudebec-les-Elbeuf ; Criquetot (fief de) ; Ecrosville (fief d') ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Haye-Malherbe (La) ; Montaure ; Pont-de-l'Arche, ville ; Rouen (Parlement de)  

Copie d'un aveu rendu au Roi, à cause de sa châtellenie et vicomté de Pont-de-l'Arche, par PierreVigor, sieur de Montaure, conseiller au parlement de Normandie, pour « le fief, terre et seigneurie de Montore qui est un quart de fief de haubert à moy appartenant par acquisition qne j'en ay faite au décret des héritages de M. Jean d'Anfreville le 30 juillet 1612, lequel fief fut et appartint antiennement au sieur de Criquetot, à cause de quoy il en auroit plusieurs fois esté nommé le fief de Criquetot, dont le chef dudit fief est assis en ladite paroisse de Montore et s'estent aux paroisses dudit Montore, Notre-Dame-de-Caudebec, la Haye-Malherbe et aux paroisses voisines » (1634) ; — vente aux Carmes de la Garde-Châtel par Adrien Poirier, seigneur d'Anfreville, Montaure et autres lieux, président au parlement de Normandie, de vingt et une acres demi-vergée deux perches de terres en bois et en labour, en cinq pièces, sises à Montaure, et d'une autre pièce de terre, nommée la Lande, contenant trois acres vergée et demie douze perches, sise à Louviers, paroisse Notre-Dame, pour le prix de 4.400 livres (1768) ; — constitution au profit des religieux de la Garde-Châtel par Étienne Delandre, journalier à Montaure, hameau d'Écrosville, d'une rente de 9 livres 19 sous au capital de 199 livres (1735).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Carmes de la Garde-Châtel
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