Toutes les ressources Boutault, Gilles (évêque d'Evreux) 8 résultats (6ms)

Confrérie de charité (sous l'invocation de la Sainte-Trinité).

G1595 , 1645-1651 , Breux  

« Ensuit les constitutions, statuts et ordonnances de la pieuse et dévotte confrairye des traize frères associés en mémoire des douze apostres de Notre Sauveur et rédempteur Jésus-Christ, érigée et establye en l'église parroichialle de Sainct Germain de Brieulx, diocèse d'Esvreux, par l'advis et conseil des sieurs curé et paroissiens dudit lieu, à la louange, honneur et décoration de la feste de la très sainte et adorable Trinitté, de la révérence et solemnité du très auguste Sacrement de l'Hostel, de la Nattivité de la bienheureuse Vierge Marie et de Saint Germain, patron d'icelle esglize, suivant et conformément aux indulgences données et conceddées à perpétuitté aux dits confrères par nos Saints Pères les papes Léon dixième en l'an second de son pontificat, le septième jour de juillet mil cinq centz quatorze, et depuis confirmée par Clément septième, l'an sixième de son pontificat, le quatorzième jour d'octobre mil cinq centz vingt neuf. Ce fait et statué en l'an de Notre Seigneur mil six centz quarante cinq » (statuts approuvés par Gilles Boutault, évêque d'Évreux, le 12 août 1650) : « Est ordonné qu'il sera fait fère aux despents desdits frères une figure et représentation de la très sainte et adorable Trinitté, laquelle sera mise et posée au grand autel de la dite églize, avec un baston ou chapelle dans laquelle il y aura pareillement une petite figure de la mesme Sainte Trinité, lequel sera tenu et porté par l'un des dils frères qui sera tenu ledit jour payer ung disner honneste et modicque auxdits frères sans toutes fois qu'il face de superfluités ni excès de viandes, auquel disner tous les dits frères servans seront tenus d'y assister, ensamble le sieur curé ou vicaire... Lesdits frères, meus d'une charitté entre eulx, ont ordonné que s'il arive la mort à quelque pauvre nécessiteux mandien passant dans la dicte parroisse, qui soit congneu estre vray crestien et cathollique et qu'il ne fut d'aucunes Charités ou autres confrairyes voisines, n'ayant de quoi l'ensevelir, en ce cas s'obligent tous de lui donner et administrer la sépulture, voire mesme ensepvelir honorablement son corps dans un drap ou linseul qu'il achèteront entr'eulx à communs frais, et oultre le porter au lieu delà sépulture ; et sera dit un Requiem le mesme jour ou synon le lendemain par ledit sieur curé... Etc. ».

Contexte :
Confréries > Breux

Confrérie de charité (sous l'invocation de la Sainte-Trinité).

G1595 , 1645-1651 , Breux  

« Ensuit les constitutions, statuts et ordonnances de la pieuse et dévotte confrairye des traize frères associés en mémoire des douze apostres de Notre Sauveur et rédempteur Jésus-Christ, érigée et establye en l'église parroichialle de Sainct Germain de Brieulx, diocèse d'Esvreux, par l'advis et conseil des sieurs curé et paroissiens dudit lieu, à la louange, honneur et décoration de la feste de la très sainte et adorable Trinitté, de la révérence et solemnité du très auguste Sacrement de l'Hostel, de la Nattivité de la bienheureuse Vierge Marie et de Saint Germain, patron d'icelle esglize, suivant et conformément aux indulgences données et conceddées à perpétuitté aux dits confrères par nos Saints Pères les papes Léon dixième en l'an second de son pontificat, le septième jour de juillet mil cinq centz quatorze, et depuis confirmée par Clément septième, l'an sixième de son pontificat, le quatorzième jour d'octobre mil cinq centz vingt neuf. Ce fait et statué en l'an de Notre Seigneur mil six centz quarante cinq » (statuts approuvés par Gilles Boutault, évêque d'Évreux, le 12 août 1650) : « Est ordonné qu'il sera fait fère aux despents desdits frères une figure et représentation de la très sainte et adorable Trinitté, laquelle sera mise et posée au grand autel de la dite églize, avec un baston ou chapelle dans laquelle il y aura pareillement une petite figure de la mesme Sainte Trinité, lequel sera tenu et porté par l'un des dils frères qui sera tenu ledit jour payer ung disner honneste et modicque auxdits frères sans toutes fois qu'il face de superfluités ni excès de viandes, auquel disner tous les dits frères servans seront tenus d'y assister, ensamble le sieur curé ou vicaire... Lesdits frères, meus d'une charitté entre eulx, ont ordonné que s'il arive la mort à quelque pauvre nécessiteux mandien passant dans la dicte parroisse, qui soit congneu estre vray crestien et cathollique et qu'il ne fut d'aucunes Charités ou autres confrairyes voisines, n'ayant de quoi l'ensevelir, en ce cas s'obligent tous de lui donner et administrer la sépulture, voire mesme ensepvelir honorablement son corps dans un drap ou linseul qu'il achèteront entr'eulx à communs frais, et oultre le porter au lieu delà sépulture ; et sera dit un Requiem le mesme jour ou synon le lendemain par ledit sieur curé... Etc. ».

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Confréries > Breux

Confrérie de charité.

G1545 , 1587-1634 , Amfreville-la-Campagne  

Statuts de la Charité, approuvés par Claude de Saintes, évoque d'Évreux, en 1587, et confirmés par les évoques François de Péricard en 1627, et Gilles Boutault en 1651 (imprimés) : « Nous ditz traize frères seront accoustrez de casaque ou robbe noire ceinte, chapperon de pers et bonnet noir, que nous porterons allant aux messes et inhumations des corps, bien et reveremment, sans moquerie ny babil... ; item, il se fera un convive ou disner, à quoy tous les frères (seront) le jour et feste Saint-Nicolas, du neufième mai ; auquel jour l'eschevin sera tenu rendre compte, approuvé du prévost d'icelle charité, des deniers qui auront esté maniez par ledit eschevin... ; item, l'office d'eschevin sera muable de personne chacun an, audit jour et feste de Saint-Nicolas, le neuvième jour de may ; auquel sera pourveu par eslection par lesdicts frères, à prendre sur iceux ainsi qu'il apartiendra par leur rang et degré... ; item sera aussi pourveu de prévost, qui sera prins au plus haut lieu des frères, en son rang et degré, les frères remontant chacun à son rang et degré, et les derniers esleuz remis au plus bas, ainsi qu'ils viendront à ladicte charité... » ; – articles additionnels aux statuts, approuvés par Robert Boullenc, vicaire général de l'évêque d'Évreux, en 1633 (imprimés) ; – liste des frères servants de la Charité en 1633 ;. – copie de la bulle d'indulgences accordées à la Charité par le pape Urbain VIII en 1633.

Contexte :
Confréries > Amfreville-la-Campagne

Confrérie de charité.

G1545 , 1587-1634 , Amfreville-la-Campagne  

Statuts de la Charité, approuvés par Claude de Saintes, évoque d'Évreux, en 1587, et confirmés par les évoques François de Péricard en 1627, et Gilles Boutault en 1651 (imprimés) : « Nous ditz traize frères seront accoustrez de casaque ou robbe noire ceinte, chapperon de pers et bonnet noir, que nous porterons allant aux messes et inhumations des corps, bien et reveremment, sans moquerie ny babil... ; item, il se fera un convive ou disner, à quoy tous les frères (seront) le jour et feste Saint-Nicolas, du neufième mai ; auquel jour l'eschevin sera tenu rendre compte, approuvé du prévost d'icelle charité, des deniers qui auront esté maniez par ledit eschevin... ; item, l'office d'eschevin sera muable de personne chacun an, audit jour et feste de Saint-Nicolas, le neuvième jour de may ; auquel sera pourveu par eslection par lesdicts frères, à prendre sur iceux ainsi qu'il apartiendra par leur rang et degré... ; item sera aussi pourveu de prévost, qui sera prins au plus haut lieu des frères, en son rang et degré, les frères remontant chacun à son rang et degré, et les derniers esleuz remis au plus bas, ainsi qu'ils viendront à ladicte charité... » ; – articles additionnels aux statuts, approuvés par Robert Boullenc, vicaire général de l'évêque d'Évreux, en 1633 (imprimés) ; – liste des frères servants de la Charité en 1633 ;. – copie de la bulle d'indulgences accordées à la Charité par le pape Urbain VIII en 1633.

Contexte :
Confréries > Amfreville-la-Campagne

Copie imprimée avec traduction française en regard du texte latin (XVIIe siècle), de l' » échange du chasteau de Gaillon fait par le roy saint Louis avec les archevesques de Rouen » en juillet 1262. Par cet acte, le Roi déclare céder à Eudes Rigaud, archevêque de Rouen, et à ses successeurs, « son château et ville de Gaillon, la tour et ville des Noes, les villes de Douvrent et de Humesnil, avec toute sorte de jurisdiction, justice et plein droit royal, en échange de 4,000 livres tournois, de tous les moulins de l'archevêque et de son vivier près de Rouen et de quatre moulins près de Deville. Les « appartenances de Gaillon, des Noes, de Humesnil et de Douvrent » sont ainsi énumérées dans le texte français : « Le droit de patronage des prébendes de Gaillon et le droit de patronage de la paroisse de Douvrent ; item, les terres labourables vignes, amodiations du vin, prez, bois, garennes, fouages, rentes en froment, avoine, bled commun, noix, deniers, chapons, poules, oyes, œufs, pains, gerbes, éperons, moutonnages ; item, les jardins, champarts de bled et noix ou terrages, coustumes de deniers et obole, vendues, fours, moulins, moulte sèche, estoublage, chariages, charges de messiers, services de vavasseurs, services de villageois, précaires et corvées de charettes, service de chartier, trigaler et taxer le baon du vin, panage de la forest de Saint-Aubin, reliefs, aydes féodaux, traicts de senne que nous avion en l'eau de Saincte-Marie de La Garenne, pescheries ; item, le moulin d'Auteuil et pré situé jouxte et près ledit moulin ; item, les amodiations de Longueville, c'est à sçavoir 44 muids de vin clairet et six muids de vin blanc ; » – copie d'une ordonnance de Gilles Boutault, évêque d'Évreux, rendue à la requête du chapitre de la chapelle du château de Gaillon, le 19 avril 1651. L'évêque ordonne « que lors de l'affiche et département des décimes, il sera faict droit sur la diminution requise par les supplians, en faisant par eux aparoir de la perte et diminution de leur revenu. ».

G193 , 1262-1651 , Autheuil ; Deville ; Douvrent ; Garenne (La) ; Humesnil ; Longueville ; Noës (Les), Chapelle à Saint-Aubin-sur-Gaillon ; Rouen (ville)  
Contexte :
Grand séminaire d'Évreux > Ancien chapitre de Gaillon, uni au Grand séminaire d'Évreux en 1737

Titres de fondation et privilèges.

G184 , 1205-XVIIIe siècle , Aubevoye ; Gaillon (chapitre collégial) ; Heimard (Le Bois, à Ailly) ; Saint-Aubin-sur-Gaillon  

Fondation du chapitre collégial de Gaillon par Cadoc (Cadulcus), châtelain de Gaillon (1205). (Cet acte rappelle la construction, par Cadoc, d'une chapelle à Gaillon en l'honneur de la Vierge et de saint Antoine, la dédicace et la consécration qui en avaient été faites en présence de Luc, évêque d'Évreux, de Guillaume III, évêque d'Avranches, et de Jourdain du Houmet, évêque de Lisieux. Il constitue en outre des revenus pour l'entretien des chanoines et les assigne sur des biens situés à Gaillon et dans diverses paroisses) ; – donation par Gilbert d'Auteuil (Gislebertus de Autoel), au chapitre de Gaillon, d'une rente de 100 sous sur la prévôté de Gaillon, d'un demi-muid de blé sur les moulins d'Aubevoye, d'une maison de pierre appartenant au donateur devant la fontaine de Gaillon, cum duobus hospitibus ante dictant domum residentibus, et de dix acres de bois in bosco Heimardi, près du bois d'Ailly. Gilbert d'Auteuil déclare avoir reçu 100 livres parisis, pour cette donation, de Cadoc, châtelain de Gaillon (22 mai 1208) ; – privilège de Louis IX, roi de France, pour le chapitre de Gaillon (Gisors, mai 1232) : Le Roi se réserve la nomination du chantre, d'un prébende et d'un chapelain ; les nominations des autres chanoines prébendes de Gaillon seront faites par l'évêque d'Évreux ; le Roi déclare en outre confirmer les biens et possessions du chapitre ; – vidimus d'une bulle d'Innocent III, du 7 janvier 1216 : le pape prend sous sa protection le chapitre nouvellement fondé à Gaillon par Cadoc, chevalier, et lui confirme la possession de ses biens ; – mémoire imprimé concernant les « droits du sieur curé de Gaillon dans le chapitre dudit lieu », l'« origine et partie des titres et des droits du chapitre de Saint-Antoine de Gaillon », suivi d'une copie de la sentence prononcée par Claude de Saintes, évêque d'Évreux, le 20 décembre 1580, pour régler les différends pendant entre le chapitre et les curés de l'église paroissiale de Saint-Aubin-sur-Gaillon, et d'une autre ordonnance rendue pour le même objet par Gilles Boutault, évêque, d'Évreux, le 9 octobre 1650 ; – copie d'un mémoire produit par le chapitre collégial de Gaillon, en réponse aux allégations des curés de Saint-Aubin-sur-Gaillon.

Contexte :
Grand séminaire d'Évreux > Ancien chapitre de Gaillon, uni au Grand séminaire d'Évreux en 1737

Titres de fondation et privilèges.

G184 , 1205-XVIIIe siècle , Aubevoye ; Gaillon (chapitre collégial) ; Heimard (Le Bois, à Ailly) ; Saint-Aubin-sur-Gaillon  

Fondation du chapitre collégial de Gaillon par Cadoc (Cadulcus), châtelain de Gaillon (1205). (Cet acte rappelle la construction, par Cadoc, d'une chapelle à Gaillon en l'honneur de la Vierge et de saint Antoine, la dédicace et la consécration qui en avaient été faites en présence de Luc, évêque d'Évreux, de Guillaume III, évêque d'Avranches, et de Jourdain du Houmet, évêque de Lisieux. Il constitue en outre des revenus pour l'entretien des chanoines et les assigne sur des biens situés à Gaillon et dans diverses paroisses) ; – donation par Gilbert d'Auteuil (Gislebertus de Autoel), au chapitre de Gaillon, d'une rente de 100 sous sur la prévôté de Gaillon, d'un demi-muid de blé sur les moulins d'Aubevoye, d'une maison de pierre appartenant au donateur devant la fontaine de Gaillon, cum duobus hospitibus ante dictant domum residentibus, et de dix acres de bois in bosco Heimardi, près du bois d'Ailly. Gilbert d'Auteuil déclare avoir reçu 100 livres parisis, pour cette donation, de Cadoc, châtelain de Gaillon (22 mai 1208) ; – privilège de Louis IX, roi de France, pour le chapitre de Gaillon (Gisors, mai 1232) : Le Roi se réserve la nomination du chantre, d'un prébende et d'un chapelain ; les nominations des autres chanoines prébendes de Gaillon seront faites par l'évêque d'Évreux ; le Roi déclare en outre confirmer les biens et possessions du chapitre ; – vidimus d'une bulle d'Innocent III, du 7 janvier 1216 : le pape prend sous sa protection le chapitre nouvellement fondé à Gaillon par Cadoc, chevalier, et lui confirme la possession de ses biens ; – mémoire imprimé concernant les « droits du sieur curé de Gaillon dans le chapitre dudit lieu », l'« origine et partie des titres et des droits du chapitre de Saint-Antoine de Gaillon », suivi d'une copie de la sentence prononcée par Claude de Saintes, évêque d'Évreux, le 20 décembre 1580, pour régler les différends pendant entre le chapitre et les curés de l'église paroissiale de Saint-Aubin-sur-Gaillon, et d'une autre ordonnance rendue pour le même objet par Gilles Boutault, évêque, d'Évreux, le 9 octobre 1650 ; – copie d'un mémoire produit par le chapitre collégial de Gaillon, en réponse aux allégations des curés de Saint-Aubin-sur-Gaillon.

Contexte :
Grand séminaire d'Évreux > Ancien chapitre de Gaillon, uni au Grand séminaire d'Évreux en 1737

Copie imprimée avec traduction française en regard du texte latin (XVIIe siècle), de l' » échange du chasteau de Gaillon fait par le roy saint Louis avec les archevesques de Rouen » en juillet 1262. Par cet acte, le Roi déclare céder à Eudes Rigaud, archevêque de Rouen, et à ses successeurs, « son château et ville de Gaillon, la tour et ville des Noes, les villes de Douvrent et de Humesnil, avec toute sorte de jurisdiction, justice et plein droit royal, en échange de 4,000 livres tournois, de tous les moulins de l'archevêque et de son vivier près de Rouen et de quatre moulins près de Deville. Les « appartenances de Gaillon, des Noes, de Humesnil et de Douvrent » sont ainsi énumérées dans le texte français : « Le droit de patronage des prébendes de Gaillon et le droit de patronage de la paroisse de Douvrent ; item, les terres labourables vignes, amodiations du vin, prez, bois, garennes, fouages, rentes en froment, avoine, bled commun, noix, deniers, chapons, poules, oyes, œufs, pains, gerbes, éperons, moutonnages ; item, les jardins, champarts de bled et noix ou terrages, coustumes de deniers et obole, vendues, fours, moulins, moulte sèche, estoublage, chariages, charges de messiers, services de vavasseurs, services de villageois, précaires et corvées de charettes, service de chartier, trigaler et taxer le baon du vin, panage de la forest de Saint-Aubin, reliefs, aydes féodaux, traicts de senne que nous avion en l'eau de Saincte-Marie de La Garenne, pescheries ; item, le moulin d'Auteuil et pré situé jouxte et près ledit moulin ; item, les amodiations de Longueville, c'est à sçavoir 44 muids de vin clairet et six muids de vin blanc ; » – copie d'une ordonnance de Gilles Boutault, évêque d'Évreux, rendue à la requête du chapitre de la chapelle du château de Gaillon, le 19 avril 1651. L'évêque ordonne « que lors de l'affiche et département des décimes, il sera faict droit sur la diminution requise par les supplians, en faisant par eux aparoir de la perte et diminution de leur revenu. ».

G193 , 1262-1651 , Autheuil ; Deville ; Douvrent ; Garenne (La) ; Humesnil ; Longueville ; Noës (Les), Chapelle à Saint-Aubin-sur-Gaillon ; Rouen (ville)  
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