Toutes les ressources Charles IX (roi) 12 résultats (10ms)
Copies informes de la lettre écrite par le cardinal Charles de Bourbon, archevêque de Rouen, au prieur de la grande Chartreuse et au chapitre général de l'ordre des Chartreux pour les prier de recevoir et d'incorporer dans leur ordre la Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon nouvellement fondée par lui : « Comme ainsi soit que nous ayons commencé à faire bastir et édifier une maison, monastère et couvent de vostre dit ordre près nostre chasteau de Gaillon, au diocèse d'Évreux, à l'honneur de Dieu et de la glorieuse vierge Marie, que nous desirons estre appellé Nostre Dame de Bonne Espérance pour l'espoir que nous avons que par son intercession les hérésies de ce roiaulme seront extirpeez, pour en icelle meltre et entretenir à tousjours un prieur avec vingt-quatre religieulx... » (22 avril 1571) ; – et de la réponse adressée par le prieur de la grande Chartreuse et le chapitre général de l'ordre au cardinal de Bourbon pour lui faire connaître leur acceptation (14 mai 1571), – copie collationnée de la lettre écrite par le roi Charles IX à ses lieutenant, procureur et autres officiers de Vernon pour leur prescrire de laisser les Chartreux prendre librement les matériaux de l'ancien fort du Goulet pour les employer à la construction de leur couvent : « Nous avons à la requeste de nostre très cher et très amé cousin le cardinal de Bourbon et pour le désir que nous avons que la Chartreuse qu'il faict bastir et édiffier près Gaillon soit parachevée et parfaicte, accordé aux Chartreux dudit lieu qu'ilz se puissent pour cest effect ayder de certaines pierres et matériaux qui restent de la ruyne d'un petit fort nommé le Goullet scitué près nostre ville de Vernon... » (1er septembre 1571) ; – autorisation accordée au procureur de la Chartreuse par « Delaplace, abbé d'Eu », de prolonger sur une pièce de terre lui appartenant « les murs que l'on fait à présent pour clore ladite Chartreuse » (2 mars 1629).
Mandement de Charles IX, adressé au bailli de Rouen, pour lui prescrire de ne pas tenir compte de précédentes lettres royales qui avaient pourvu « Etienne Prévost, soy disant soldat à noz bandes françoises » d'une place de religieux lai au prieuré des Deux-Amants, « s'il appert que ledit prieuré ne soyt de fondation royal, ducal, ny contal, ny de revenu suffisant, desduictes les autres charges... » (1568) ; requêtes et pièces de procédures pour le prieur des Deux-Amants contre ledit « Étienne Le Prevost », soi-disant pourvu par le Roi d'une place de religieux lai audit prieuré et prétendant faire condamner le prieur « à luy bailler vestiaire et provision de vivres comme à l'ung des aultres religieux dudit prieuré » (1571) ; – copie informe du concordat intervenu entre les religieux du prieuré des Deux-Amants et les chanoines réguliers de Saint-Augustin, de la congrégation de France, pour l'aggrégation de leur prieuré à ladite congrégation (1648).
Mandement de Charles IX, adressé au bailli de Rouen, pour lui prescrire de ne pas tenir compte de précédentes lettres royales qui avaient pourvu « Etienne Prévost, soy disant soldat à noz bandes françoises » d'une place de religieux lai au prieuré des Deux-Amants, « s'il appert que ledit prieuré ne soyt de fondation royal, ducal, ny contal, ny de revenu suffisant, desduictes les autres charges... » (1568) ; requêtes et pièces de procédures pour le prieur des Deux-Amants contre ledit « Étienne Le Prevost », soi-disant pourvu par le Roi d'une place de religieux lai audit prieuré et prétendant faire condamner le prieur « à luy bailler vestiaire et provision de vivres comme à l'ung des aultres religieux dudit prieuré » (1571) ; – copie informe du concordat intervenu entre les religieux du prieuré des Deux-Amants et les chanoines réguliers de Saint-Augustin, de la congrégation de France, pour l'aggrégation de leur prieuré à ladite congrégation (1648).
Reconnaissance au profit de l'abbaye par Jean Lambert, d'Elbeuf, d'une rente de deux sous assignée sur une maison sise à Elbeuf, rue Muleuse (1248) ; – bail à fieffe passé par Guillaume Croc, écuyer, à Richard Le Tailleur, d'une masure située paroisse Saint-Ëtienne d'Elbeuf, moyennant une rente annuelle de 12 sous et un chapon (1265) ; – extraits des comptes de l'abbaye, contenant le relevé des rentes foncières qui lui étaient dues à Elbeuf (XVIe siècle) ; – copie collationnée d'un mandement du roi Charles IX, adressé aux conseillers des Requêtes du Palais, à Rouen, et au bailli de Rouen, pour leur ordonner de contraindre les débiteurs de l'abbaye de Bonport à payer les rentes dont ils seraient trouvés redevables d'après les comptes de l'abbaye : «... Les relligieux, abbé et couvent de l'abbaye Nostre-Dame de Bomport nous ont faict remonstrer que pendant les premiers troubles advenuz en cestuy nostre royaulme, spéciallement estant la ville de Rouen assiégée, les plus principaux tittres et papiers originaux de ladicte abbaye ont esté prins, bruslez, gettez en la rivière de Seine et emportez par la malice d'aucuns cuidans s'affranchir et exempter en ce faisant des rentes et aultres redebvances qu'ilz leur doibvent... Etc. » (5 novembre 1570). – (Soixante-dixième liasse de l'inventaire de 1784.).
Reconnaissance au profit de l'abbaye par Jean Lambert, d'Elbeuf, d'une rente de deux sous assignée sur une maison sise à Elbeuf, rue Muleuse (1248) ; – bail à fieffe passé par Guillaume Croc, écuyer, à Richard Le Tailleur, d'une masure située paroisse Saint-Ëtienne d'Elbeuf, moyennant une rente annuelle de 12 sous et un chapon (1265) ; – extraits des comptes de l'abbaye, contenant le relevé des rentes foncières qui lui étaient dues à Elbeuf (XVIe siècle) ; – copie collationnée d'un mandement du roi Charles IX, adressé aux conseillers des Requêtes du Palais, à Rouen, et au bailli de Rouen, pour leur ordonner de contraindre les débiteurs de l'abbaye de Bonport à payer les rentes dont ils seraient trouvés redevables d'après les comptes de l'abbaye : «... Les relligieux, abbé et couvent de l'abbaye Nostre-Dame de Bomport nous ont faict remonstrer que pendant les premiers troubles advenuz en cestuy nostre royaulme, spéciallement estant la ville de Rouen assiégée, les plus principaux tittres et papiers originaux de ladicte abbaye ont esté prins, bruslez, gettez en la rivière de Seine et emportez par la malice d'aucuns cuidans s'affranchir et exempter en ce faisant des rentes et aultres redebvances qu'ilz leur doibvent... Etc. » (5 novembre 1570). – (Soixante-dixième liasse de l'inventaire de 1784.).
Feuillet double détaché d'un cartulaire du prieuré, du XIIIe siècle, mesurant 22 centimètres sur 15, marges comprises. Ce fragment contient la transcription des chartes suivantes : donation au prieuré de Noyon-sur-Andelle par Richard Coifier d'une rente de 12 deniers assignée sur sa propriété de Cressenvile (1249) ; – confirmation par Raoul de Beaumont de la donation de 2 sous de rente faite au prieuré par Guillaume Le Breton (1228) ; – vente au prieuré par Guillaume Morel, de Fleury-sur-Andelle, d'une rente de 4 sous assignée sur une terre située à Noyon-sur-Andelle, pour le prix de 40 sous tournois (1249) ; – donation au prieuré par Baudri de Baudemont, fils d'Etienne de Lonchamp, d'une rente de 12 sous assignée sur la pêcherie de son moulin de Houville (1213) ; – copies collationnées (XVIIe siècle) de l'abandon au profit de l'abbaye de Saint-Évroul et du prieur de Noyon par Robert du Plessis, chevalier, de tous ses droits prétendus au patronage de l'église de Touffreville (1234), et des lettres de Guillaume II de Flavacourt, archevêque de Rouen, conférant le bénéfice cure de Touffreville à Guillaume « de Broho », clerc, au lieu et place de Guillaume Chartenne, présenté par l'abbaye de Saint-Évroul, mais que l'Archevêque avait écarté, après examen, « ob defectum lilteraturae » (1282) ; – copie informé de la « déclaration du temporel du prieuré de Saint-Martin de Charleval, cy devant nommé Noyon-sur-Andelle (10 décembre 1683) : l'église, maisons, granges, colombier, four, étables, pressoir, ruinez et démolis il y a plus de 100 ans par ordre du Roy Charles IX pour construire son château de Charleval, ledit prieuré fondé en 1113 par Simon, comte d'Évreux, et n'y a présentement qu'une petite chapelle bâtie sur les fondements de laditte église... Etc. ».
Feuillet double détaché d'un cartulaire du prieuré, du XIIIe siècle, mesurant 22 centimètres sur 15, marges comprises. Ce fragment contient la transcription des chartes suivantes : donation au prieuré de Noyon-sur-Andelle par Richard Coifier d'une rente de 12 deniers assignée sur sa propriété de Cressenvile (1249) ; – confirmation par Raoul de Beaumont de la donation de 2 sous de rente faite au prieuré par Guillaume Le Breton (1228) ; – vente au prieuré par Guillaume Morel, de Fleury-sur-Andelle, d'une rente de 4 sous assignée sur une terre située à Noyon-sur-Andelle, pour le prix de 40 sous tournois (1249) ; – donation au prieuré par Baudri de Baudemont, fils d'Etienne de Lonchamp, d'une rente de 12 sous assignée sur la pêcherie de son moulin de Houville (1213) ; – copies collationnées (XVIIe siècle) de l'abandon au profit de l'abbaye de Saint-Évroul et du prieur de Noyon par Robert du Plessis, chevalier, de tous ses droits prétendus au patronage de l'église de Touffreville (1234), et des lettres de Guillaume II de Flavacourt, archevêque de Rouen, conférant le bénéfice cure de Touffreville à Guillaume « de Broho », clerc, au lieu et place de Guillaume Chartenne, présenté par l'abbaye de Saint-Évroul, mais que l'Archevêque avait écarté, après examen, « ob defectum lilteraturae » (1282) ; – copie informé de la « déclaration du temporel du prieuré de Saint-Martin de Charleval, cy devant nommé Noyon-sur-Andelle (10 décembre 1683) : l'église, maisons, granges, colombier, four, étables, pressoir, ruinez et démolis il y a plus de 100 ans par ordre du Roy Charles IX pour construire son château de Charleval, ledit prieuré fondé en 1113 par Simon, comte d'Évreux, et n'y a présentement qu'une petite chapelle bâtie sur les fondements de laditte église... Etc. ».
Courcelles, Port-Mort, forêt d'Andely (bois du Breuil).
Vidimus du privilège concédé par Jean, duc de Normandie, à Pierre de Courcelles, écuyer, maître de la garde de Neuville en la forêt d'Orléans, et à ses successeurs dans la seigneurie de Courcelles, pour « le pasnage et pasturage en nostre forest d'Andeli jusques au nombre de vint bestes, buefs, vaches ou pors tant seulement, en la fourme et manière que les religieux de Beaubec et de Mortemer, le maistre et les frères de la maison Dieu d'Andeli et Jehan de Villers les ont et ont acoustumé à avoir en nostre dicte forest... » (1348) ; mandement adressé par Henri VI, roi de France et d'Angleterre, aux gens des Comptes à Paris pour leur prescrire d'examiner attentivement l'information faite par le vicomte de Gisors sur les privilèges appartenant aux religieux de Beaubec dans la forêt d'Andely, à cause de leur fief de Courcelles, et de les maintenir, s'il y avait lieu, dans la jouissance de leurs droits : « les dis religieux avoient droit d'avoir et prendre en nostre forest d'Andeli les coustumes et libertez qui ensuivent : c'est assavoir, boys pour édiffier et ardoir ou dit manoir, eschallas et paccans, closture pour le cloz et vignes appartenant à icellui manoir, et pardessus ce les diz eschallas à l'usage de leurs autres vignes appartenant à leur dite église, à estre prins par la livrée du verdier sans riens aliéner, avec pasturage à toutes leurs bestes d'icelui manoir, réservé la chièvre, pennage pour leurs porcs et feugaige, droit de passer et rapasser leurs dictes bestes par les deffens et hayes nommés le Breuil pour passer, mener et ramener, sans arrester, par leurs hommes et serviteurs pour pasturer en la forest coustumière... » (Paris, 2 septembre 1433) ; lettres-patentes de Charles IX contenant donation à la Chartreuse du bois du Breuil : «... Pour la singulière dévotion que Nous avons au couvent de Nostre Dame de Bonne Espérance, de l'ordre Chartreuse, fondé et érigé de nouveau près Gaillon par nostre très cher et amé cousin le cardinal de Bourbon... Avons donné aux religieux, prieur et couvent dudit lieu une pièce de boys taillis assise en nostre forest d'Andely, appellée le deffend du Breul, faisant portion de la garde dudit Breul, contenant cinq cens trente deux arpens, enclose et environnée de fossez et ayant ung fossé passant au travers icelle pièce se bournant d'un costé et d'un bout sur les terres labourables des villaiges de Courcelles et Bouaffle, d'aultre costé les fossez qui sont entre ledict deffend et ladicte forest et d'aultre bout, en pointe, vers Pormor ; planté en chesne, haistre, couldre, charme et aultre boys, dont le plus vieil est de dix-sept et dix-huit ans... ; dudict boys et vente d'icelluy nous est revenu à nostre recepte puis et durant les derniers dix ans la somme de neuf cens soixante et quatre livres cinq sols parisis qui reviennent à douze cens livres tournois, qui est six vingtz livres tournois par chacun an... » (Saint-Germain-en-Laye, janvier 1574) ; lettre adressée par M. de Bouville à dom Maurice, coadjuteur de la Chartreuse : « Il me paraît fort juste, Monsieur, que votre garde du Breuil soit exempt des corvées ; mais vous n'ignorés pas que vous en avés deux et que celuy dont il s'agit est en outre meneur et vat par conséquent souvent à Paris ; cela fait des absences plus considérables que celles de racommoder les chemains de sa paroisse... » (s. d.) ; « plan du bois du Bray, contenant 531 arpents 40 perches, à raison de 22 pieds pour perche, par Delaunay, arpenteur des forest du Roy, en 1756 » ; aveu « du bois du Breuil, connu actuellement sous le nom de bois du Bray, contenant cinq cents trente-deux arpens », rendu par les Chartreux à Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, à cause de sa vicomté, bailliage et châtellenie d'Andely, un des membres de son. Duché de Gisors (1787) ; plan de la forêt d'Andely, contenant 2,683 arpens, avec le cours de la Seine depuis le Petit-Andely jusqu'à Pressagny-l'Orgueilleux et les villages environnant la forêt (XVIIIe siècle).
Courcelles, Port-Mort, forêt d'Andely (bois du Breuil).
Vidimus du privilège concédé par Jean, duc de Normandie, à Pierre de Courcelles, écuyer, maître de la garde de Neuville en la forêt d'Orléans, et à ses successeurs dans la seigneurie de Courcelles, pour « le pasnage et pasturage en nostre forest d'Andeli jusques au nombre de vint bestes, buefs, vaches ou pors tant seulement, en la fourme et manière que les religieux de Beaubec et de Mortemer, le maistre et les frères de la maison Dieu d'Andeli et Jehan de Villers les ont et ont acoustumé à avoir en nostre dicte forest... » (1348) ; mandement adressé par Henri VI, roi de France et d'Angleterre, aux gens des Comptes à Paris pour leur prescrire d'examiner attentivement l'information faite par le vicomte de Gisors sur les privilèges appartenant aux religieux de Beaubec dans la forêt d'Andely, à cause de leur fief de Courcelles, et de les maintenir, s'il y avait lieu, dans la jouissance de leurs droits : « les dis religieux avoient droit d'avoir et prendre en nostre forest d'Andeli les coustumes et libertez qui ensuivent : c'est assavoir, boys pour édiffier et ardoir ou dit manoir, eschallas et paccans, closture pour le cloz et vignes appartenant à icellui manoir, et pardessus ce les diz eschallas à l'usage de leurs autres vignes appartenant à leur dite église, à estre prins par la livrée du verdier sans riens aliéner, avec pasturage à toutes leurs bestes d'icelui manoir, réservé la chièvre, pennage pour leurs porcs et feugaige, droit de passer et rapasser leurs dictes bestes par les deffens et hayes nommés le Breuil pour passer, mener et ramener, sans arrester, par leurs hommes et serviteurs pour pasturer en la forest coustumière... » (Paris, 2 septembre 1433) ; lettres-patentes de Charles IX contenant donation à la Chartreuse du bois du Breuil : «... Pour la singulière dévotion que Nous avons au couvent de Nostre Dame de Bonne Espérance, de l'ordre Chartreuse, fondé et érigé de nouveau près Gaillon par nostre très cher et amé cousin le cardinal de Bourbon... Avons donné aux religieux, prieur et couvent dudit lieu une pièce de boys taillis assise en nostre forest d'Andely, appellée le deffend du Breul, faisant portion de la garde dudit Breul, contenant cinq cens trente deux arpens, enclose et environnée de fossez et ayant ung fossé passant au travers icelle pièce se bournant d'un costé et d'un bout sur les terres labourables des villaiges de Courcelles et Bouaffle, d'aultre costé les fossez qui sont entre ledict deffend et ladicte forest et d'aultre bout, en pointe, vers Pormor ; planté en chesne, haistre, couldre, charme et aultre boys, dont le plus vieil est de dix-sept et dix-huit ans... ; dudict boys et vente d'icelluy nous est revenu à nostre recepte puis et durant les derniers dix ans la somme de neuf cens soixante et quatre livres cinq sols parisis qui reviennent à douze cens livres tournois, qui est six vingtz livres tournois par chacun an... » (Saint-Germain-en-Laye, janvier 1574) ; lettre adressée par M. de Bouville à dom Maurice, coadjuteur de la Chartreuse : « Il me paraît fort juste, Monsieur, que votre garde du Breuil soit exempt des corvées ; mais vous n'ignorés pas que vous en avés deux et que celuy dont il s'agit est en outre meneur et vat par conséquent souvent à Paris ; cela fait des absences plus considérables que celles de racommoder les chemains de sa paroisse... » (s. d.) ; « plan du bois du Bray, contenant 531 arpents 40 perches, à raison de 22 pieds pour perche, par Delaunay, arpenteur des forest du Roy, en 1756 » ; aveu « du bois du Breuil, connu actuellement sous le nom de bois du Bray, contenant cinq cents trente-deux arpens », rendu par les Chartreux à Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, à cause de sa vicomté, bailliage et châtellenie d'Andely, un des membres de son. Duché de Gisors (1787) ; plan de la forêt d'Andely, contenant 2,683 arpens, avec le cours de la Seine depuis le Petit-Andely jusqu'à Pressagny-l'Orgueilleux et les villages environnant la forêt (XVIIIe siècle).