Toutes les ressources Essarts, Gilbert des 14 résultats (7ms)

La Gueroulde.

H557 , 1200-1690 , Chesne (Le) ; Guéroulde (La)  

Fragment mutilé de la donation faite à l'abbaye de Lyre par Gilbert des Essarts de l'église de La Gueroulde (s.d. Vers 1200) ; — vente et donation à l'abbaye de rentes assignées sur des terres sises à La Gueroulde par Michel Boguerel, prêtre, de La Gueroulde (1238), et Simon Piel, curé de Pont Saint-Pierre (1278) ; — copie du bail passé par le procureur fondé de l'abbé de Lyre à Jean du Vallet des dîmes des paroisses du Chesne et de La Gueroulde moyennant un fermage annuel de 300 livres pour les dîmes du Chesne et de 150 livres pour celles de La Gueroulde, outre les charges (1598). — (Soixante-neuvième chapitre dé l'inventaire de 1738.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Lyre (Ordre de Saint-Benoît)

Essarts (Les).

H1352 , 1229-1543 , Essarts (Les) près Brionne ; Evreux (Abbayes) : Sauveur (abbaye)  

Accord passé entre Gilbert, seigneur des Essarts, d'une part, et l'abbaye de Saint-Sauveur, d'autre part. Gilbert des Essarts abandonne à l'abbaye tous ses droits prétendus au patronage de l'église et aux dîmes de la paroisse des Essarts. En retour l'abbaye s'engage à faire construire dans le délai de trois ans, en dehors de l'enceinte du château des Essarts, une chapelle pour servir d'église paroissiale aux habitants des Essarts, celle du château devant désormais appartenir exclusivement au seigneur des Essarts. L'église projetée et la chapelle du château devaient être desservies chacune par un chapelain à la présentation de l'abbaye de Saint-Sauveur (1229) ; — engagement pris par Gilbert, seigneur des Essarts, de construire à ses frais l'église des Essarts, dans un délai de deux années, moyennant l'abandon par l'abbaye de certaines sommes qui lui étaient dues (1239) ; — sentence arbitrale prononcée par Roger des Essarts, trésorier d'Évreux, et Renaud de Bordigny, chevalier, entre les religieuses de Saint-Sauveur, d'une part, et Jean des Essarts, écuyer, d'autre part, dans le différend soulevé entre les parties au sujet des dîmes des pois et des vesces de la paroisse (1302). Accord entre les mêmes sur le même objet (1342).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Sauveur d'Évreux (Ordre de Saint-Benoît)

Essarts (Les).

H1352 , 1229-1543 , Essarts (Les) près Brionne ; Evreux (Abbayes) : Sauveur (abbaye)  

Accord passé entre Gilbert, seigneur des Essarts, d'une part, et l'abbaye de Saint-Sauveur, d'autre part. Gilbert des Essarts abandonne à l'abbaye tous ses droits prétendus au patronage de l'église et aux dîmes de la paroisse des Essarts. En retour l'abbaye s'engage à faire construire dans le délai de trois ans, en dehors de l'enceinte du château des Essarts, une chapelle pour servir d'église paroissiale aux habitants des Essarts, celle du château devant désormais appartenir exclusivement au seigneur des Essarts. L'église projetée et la chapelle du château devaient être desservies chacune par un chapelain à la présentation de l'abbaye de Saint-Sauveur (1229) ; — engagement pris par Gilbert, seigneur des Essarts, de construire à ses frais l'église des Essarts, dans un délai de deux années, moyennant l'abandon par l'abbaye de certaines sommes qui lui étaient dues (1239) ; — sentence arbitrale prononcée par Roger des Essarts, trésorier d'Évreux, et Renaud de Bordigny, chevalier, entre les religieuses de Saint-Sauveur, d'une part, et Jean des Essarts, écuyer, d'autre part, dans le différend soulevé entre les parties au sujet des dîmes des pois et des vesces de la paroisse (1302). Accord entre les mêmes sur le même objet (1342).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Sauveur d'Évreux (Ordre de Saint-Benoît)

La Gueroulde.

H557 , 1200-1690 , Chesne (Le) ; Guéroulde (La)  

Fragment mutilé de la donation faite à l'abbaye de Lyre par Gilbert des Essarts de l'église de La Gueroulde (s.d. Vers 1200) ; — vente et donation à l'abbaye de rentes assignées sur des terres sises à La Gueroulde par Michel Boguerel, prêtre, de La Gueroulde (1238), et Simon Piel, curé de Pont Saint-Pierre (1278) ; — copie du bail passé par le procureur fondé de l'abbé de Lyre à Jean du Vallet des dîmes des paroisses du Chesne et de La Gueroulde moyennant un fermage annuel de 300 livres pour les dîmes du Chesne et de 150 livres pour celles de La Gueroulde, outre les charges (1598). — (Soixante-neuvième chapitre dé l'inventaire de 1738.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Lyre (Ordre de Saint-Benoît)

Vidimus (1250) par Jean II de la Cour d'Aubergenville, évêque d'Évreux, de la charte de fondation du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Marguerite, sa femme, de Jean et de Roger, ses fils. Gilbert des Essarts assigne comme dotation au nouveau prieuré la chapelle qu'il avait érigée à la Poultière, le manoir du chapelain, des terres et diverses rentes. Le service divin devait être célébré à perpétuité dans la chapelle du prieuré par les soins d'au moins trois religieux prêtres de l'ordre de la Trinité et de la rédemption des captifs (février 1248) ; – vidimus par les notaires de la vicomté de Verneuil (1476) des fondations et donations faites en faveur du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Jean et de Roger des Essarts, chevaliers, de Gilbert des Essarts, écuyer, de Hue des Essarts, chanoine d'Évreux, et de Mathieu des Essarts, clerc, ses fils (1248-1279) ; – testament de François de Lombelon, écuyer, cadet des Essarts, demeurant au manoir de la Ferté des Essarts, paroisse de Francheville. Le testateur élit sa sépulture « à la ministrerie de de la Poutière, auquel lieu sont ensépulturés ses prédécesseurs » et donne une somme de 20 livres pour être employée aux réparations du prieuré (S. d. 1627 ?) ; – donation au prieuré par noble dame Renée Blocier, veuve de Tanneguy de Lombelon, chevalier, baron des Essarts, d'une somme de 40 livres, à la charge de célébrer chaque année deux messes basses à l'intention de « feu noble homme messire René Tuffière » (1676).

H962 , 1248-1676 , Evreux (Chapitre d') ; Ferté-les-Essarts (Manoir de la) sis paroisse de Francheville ; Francheville ; Poultière (Prieuré de la) ; Trinité et de la Rédemption-des-Captifs (Ordre de la) ; Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de la Poultière

Vidimus (1250) par Jean II de la Cour d'Aubergenville, évêque d'Évreux, de la charte de fondation du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Marguerite, sa femme, de Jean et de Roger, ses fils. Gilbert des Essarts assigne comme dotation au nouveau prieuré la chapelle qu'il avait érigée à la Poultière, le manoir du chapelain, des terres et diverses rentes. Le service divin devait être célébré à perpétuité dans la chapelle du prieuré par les soins d'au moins trois religieux prêtres de l'ordre de la Trinité et de la rédemption des captifs (février 1248) ; – vidimus par les notaires de la vicomté de Verneuil (1476) des fondations et donations faites en faveur du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Jean et de Roger des Essarts, chevaliers, de Gilbert des Essarts, écuyer, de Hue des Essarts, chanoine d'Évreux, et de Mathieu des Essarts, clerc, ses fils (1248-1279) ; – testament de François de Lombelon, écuyer, cadet des Essarts, demeurant au manoir de la Ferté des Essarts, paroisse de Francheville. Le testateur élit sa sépulture « à la ministrerie de de la Poutière, auquel lieu sont ensépulturés ses prédécesseurs » et donne une somme de 20 livres pour être employée aux réparations du prieuré (S. d. 1627 ?) ; – donation au prieuré par noble dame Renée Blocier, veuve de Tanneguy de Lombelon, chevalier, baron des Essarts, d'une somme de 40 livres, à la charge de célébrer chaque année deux messes basses à l'intention de « feu noble homme messire René Tuffière » (1676).

H962 , 1248-1676 , Evreux (Chapitre d') ; Ferté-les-Essarts (Manoir de la) sis paroisse de Francheville ; Francheville ; Poultière (Prieuré de la) ; Trinité et de la Rédemption-des-Captifs (Ordre de la) ; Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de la Poultière

Donations à l'abbaye de terres situées paroisse de l'Hosmes, par Richard de l'Hosmes, sa femme et ses enfants (1210), Guillaume de Fossetis (1212), Guillaume Le Prévôt, chevalier (1230), Robert de L'Hosmes (1235), Robert de Marville (Robertus de Matrevilla, major) et Pétronille, sa femme (1235), Gilbert, seigneur des Essarts (1235) ; – confirmation par Jacques, seigneur de Tillières, et Hylaria, sa femme, des possessions de l'abbaye à l'Hosmes, « domura de Lomis cum omnibus pertinentiis suis » (1231). Vidimus et confirmation de cette charte par Richard de Bellevue, évêque d'Évreux (1231) ; – aveux par les religieuses de l'Estrée à Jacques Tanneguy Le Veneur, comte de Tillières, pour les terres de la ferme de la Moinerie, située paroisse de Lhosmes et relevant du comté de Tillières (1738-1761). – (Neuvième liasse du premier paragraphe de l'inventaire de 1792.).

H310 , 1210-1761 , Hosme (L') ; Moinerie (ferme de la), située par. de l'Hosme  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de l'Estrée (Ordre de Cîteaux)

Donations à l'abbaye de terres situées paroisse de l'Hosmes, par Richard de l'Hosmes, sa femme et ses enfants (1210), Guillaume de Fossetis (1212), Guillaume Le Prévôt, chevalier (1230), Robert de L'Hosmes (1235), Robert de Marville (Robertus de Matrevilla, major) et Pétronille, sa femme (1235), Gilbert, seigneur des Essarts (1235) ; – confirmation par Jacques, seigneur de Tillières, et Hylaria, sa femme, des possessions de l'abbaye à l'Hosmes, « domura de Lomis cum omnibus pertinentiis suis » (1231). Vidimus et confirmation de cette charte par Richard de Bellevue, évêque d'Évreux (1231) ; – aveux par les religieuses de l'Estrée à Jacques Tanneguy Le Veneur, comte de Tillières, pour les terres de la ferme de la Moinerie, située paroisse de Lhosmes et relevant du comté de Tillières (1738-1761). – (Neuvième liasse du premier paragraphe de l'inventaire de 1792.).

H310 , 1210-1761 , Hosme (L') ; Moinerie (ferme de la), située par. de l'Hosme  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de l'Estrée (Ordre de Cîteaux)

Analyses, transcriptions et traductions informes des titres de l'abbaye compris sous les cotes 4, 8, 11, 15, 18, 21 à 22, 26, 29 et 30 de la cinquième liasse, second paragraphe de l'inventaire de 1792 (originaux disparus) ; – donations et ventes de terres et de rentes à l'abbaye par Guillaume de Dreux, chevalier, fils de Gadon de Dreux, Robert de Courtenay, bouteillier de France, seigneur de Nonancourt et de Conches (1237), Jean d'Ardenne et Guillaume de Cornelio, chevaliers, Raoul Mauvoisin, chevalier, seigneur de Saint-André, fils de Pierre Mauvoisin (1238), Jean, seigneur de Muzy (1239), Gilbert des Essarts (fin du XIIe siècle), Guillaume Le Prévôt, chevalier (1240 ; donation confirmée en 1241 par Vincent, fils aîné de Guillaume Le Prévôt), Jean Havart, chapelain de la chapelle de Muzy (1243 ; donation confirmée par Amauri Havart et Robert, son frère), Roger Herbout, de Breteuil, clerc, Pierre, fils de Renou Dollé (1245), Pierre, chevalier, seigneur de Luato (1241), Guillaume, seigneur de Cornelio, chevalier, sénéchal de Conches, Guillaume d'Aviron et Emmeline, sa femme, Amie d'Aviron et Emmeline, sa femme, Geoffroi d'Aviron, et Héloïse, sa femme (1246), Vincent Le Nigat et Emmeline, sa femme (1248), Geoffroi Mauclerc (dictus malus clericus), Jean des Minières, chanoine de Chartres (1251) ; – compromis entre l'abbaye du Bec et celle de l'Estrée, faisant choix de l'abbé de La Noë et de Guillaume de Bouteilles, chanoine d'Évreux, en qualité d'arbitres chargés de juger le différend survenu entre les deux abbayes au sujet de la possession des dîmes de l'Hosmes et de Tillières (1244). – (Cinquième liasse du deuxième paragraphe de l'inventaire de 1792.).

H323 , 1265 , Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Breteuil ; Conches ; Evreux (Chapitre d') ; Hosme (L') ; Noë (Abbaye de la) ; Nonancourt ; Saint-André ; Tillières  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de l'Estrée (Ordre de Cîteaux)

Analyses, transcriptions et traductions informes des titres de l'abbaye compris sous les cotes 4, 8, 11, 15, 18, 21 à 22, 26, 29 et 30 de la cinquième liasse, second paragraphe de l'inventaire de 1792 (originaux disparus) ; – donations et ventes de terres et de rentes à l'abbaye par Guillaume de Dreux, chevalier, fils de Gadon de Dreux, Robert de Courtenay, bouteillier de France, seigneur de Nonancourt et de Conches (1237), Jean d'Ardenne et Guillaume de Cornelio, chevaliers, Raoul Mauvoisin, chevalier, seigneur de Saint-André, fils de Pierre Mauvoisin (1238), Jean, seigneur de Muzy (1239), Gilbert des Essarts (fin du XIIe siècle), Guillaume Le Prévôt, chevalier (1240 ; donation confirmée en 1241 par Vincent, fils aîné de Guillaume Le Prévôt), Jean Havart, chapelain de la chapelle de Muzy (1243 ; donation confirmée par Amauri Havart et Robert, son frère), Roger Herbout, de Breteuil, clerc, Pierre, fils de Renou Dollé (1245), Pierre, chevalier, seigneur de Luato (1241), Guillaume, seigneur de Cornelio, chevalier, sénéchal de Conches, Guillaume d'Aviron et Emmeline, sa femme, Amie d'Aviron et Emmeline, sa femme, Geoffroi d'Aviron, et Héloïse, sa femme (1246), Vincent Le Nigat et Emmeline, sa femme (1248), Geoffroi Mauclerc (dictus malus clericus), Jean des Minières, chanoine de Chartres (1251) ; – compromis entre l'abbaye du Bec et celle de l'Estrée, faisant choix de l'abbé de La Noë et de Guillaume de Bouteilles, chanoine d'Évreux, en qualité d'arbitres chargés de juger le différend survenu entre les deux abbayes au sujet de la possession des dîmes de l'Hosmes et de Tillières (1244). – (Cinquième liasse du deuxième paragraphe de l'inventaire de 1792.).

H323 , 1265 , Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Breteuil ; Conches ; Evreux (Chapitre d') ; Hosme (L') ; Noë (Abbaye de la) ; Nonancourt ; Saint-André ; Tillières  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de l'Estrée (Ordre de Cîteaux)

Grande charte de Lyre, contenant la donation faite à l'abbaye par Guillaume, fils d'Osberne, son fondateur, et par Adeliz, sa femme, de terres, de dîmes et de droits divers à la Vieille-Lyre et à la Neuve-Lyre, à Marnières, aux Fretils, à Breteuil, à Pacy, à Glos, à Pont-Saint-Pierre, etc. A la suite de cette donation, attribuée à l'année 1051 environ et souscrite par Guillaume, évêque d'Évreux, par Guillaume le Conquérant, duc de Normandie, et par Mathilde, sa femme, sont transcrites les donations des premiers bienfaiteurs de l'abbaye : Ernaud, fils de Popeline ; Ernaud, fils du précédent ; Raoul de Conches ; Guillaume de Breteuil, fils du fondateur de l'abbaye ; Ingenulfe, Guillaume, Robert et Wiard, fils de Grenton ; Osmondrfe Waspreia ; Guillaume de Thevray ; Richard Mahiard et Simon de Gouttières ; Raoul de Tournai ; Guillaume de Tournai et Gilbert, son frère ; Raoul de Pommereuil et Roger, son frère ; Robert de Tranchevilliers ; Gilbert, fils de Roger. (Parchemin de 79 centimètres de hauteur sur 52 de largeur) ; – seconde donation de Guillaume, fils d'Osberne et comte de Hereford, en faveur de l'abbaye. Cet acte est souscrit en même temps par Lanfranc, archevêque de Cantorbéry, et par Guillaume, évêque d'Évreux, bien que Lanfranc ne soit monté sur le trône archiépiscopal qu'en 1070 et que la mort de l'évêque d'Évreux Guillaume soit généralement attribuée à l'année 1066, notamment par le Gallia Christiana. Il est accompagné d'une autre charte également sur parchemin dans laquelle on a voulu voir une troisième donation du même Guillaume, fils d'Osberne, mais qui paraît n'être qu'un projet dressé en vue de la rédaction définitive de la donation précédente. La date de celle-ci pourrait être attribuée à l'année 1070, à la condition de prolonger jusqu'à cette année l'existence de Guillaume I, évêque d'Évreux ; – donation à l'abbaye par Amicie, dame de Montfort, pour le repos de l'âme de Guillaume de Breteuil, son frère, d'une rente annuelle de 60 sous d'angevins (s. d., en présence de Roger, frère de la donatrice, évêque élu de Saint-André) ; – confirmation par Robert (II), comte de Leicester, des biens et des droits que l'abbaye possédait dans l'étendue de ses fiefs (s. d., en présence de Gilebert des Minières, sénéchal du comte) ; – confirmation des biens et des privilèges de l'abbaye de Lyre par Robert (II), comte de Leicester (s. d., en présence d'Amicie, sa femme) ; – confirmations par Robert II et par Robert III, comtes de Leicester, des donations faites à l'abbaye par Richard de Bois-Anzeray et par Baudry, fils d'Hoël (s. d.) ; – donation à l'abbaye par Robert (IV), comte de Leicester, du village du Champ-Motteux et de droits d'usage dans la forêt de Breteuil (s. d.) ; – confirmation par Arnaud du Bois (Ernaldus de Bosco) des donations faites à l'abbaye par ses ancêtres ou par leurs vassaux et donation aux religieux de Lyre de ses droits de dîme sur les moulins de Verrières (s. d.) ; – confirmation par Henri II, roi d'Angleterre, des donations faites à l'abbaye tant en France qu'en Angleterre (Westminster, s. d., 1142-1164) ; – vidimus des lettres de sauvegarde accordées à l'abbaye par le dauphin Charles, régent du royaume, et adressées aux capitaines des châteaux de Breteuil et de Conches, etc. : «... Noz amez et féaulx les religieux, abbé et couvent de Nostre Dame de Lire nous ont fait monstrer en complaignant que comme leur moustier avecques la greigneur partie des autres maisons de leur abbaie et leurs biens dedans estans et leurs autres manoirs et grandies hors ovecques les biens dedans estans aient esté ars et gastez par les enemis du royaume et aussi vous ou aucuns de vous avez prins et encores vous efforcez de jour en jour de prendre de leurs biens... Pour lesquelx griefs les diz religieux n'ont de quoi vivre et sont demoures povres, mendians et dispers... » (1359) ; – exemption de tous droits de coutume, de tonlieu, de passage, de pontage, etc., accordée à l'abbaye pour ses biens et ses marchandises par Henri II, roi d'Angleterre (Le Vaudreuil. S. d.) ; – lettres de protection et de sauvegarde accordées à l'abbaye par Henri II, roi d'Angleterre (Caen, Argentan et Léry. S. d.) ; – promulgation par Henri Louvel, bailli de Verneuil, d'un jugement de l'Échiquier de Rouen qui avait confirmé les religieux de Lyre, nonobstant l'opposition de Jean de Saint-Léonard, ancien bailli de Verneuil, dans leur droit de jouir des droits de coutume, de haute et de basse justice une semaine sur dix dans les villes de Breteuil, de Glos, de Lyre et de Pacy (1279) ; – arrêt du Parlement de Paris interprétant et réglementant le droit ci-dessus au point de vue des causes introduites et non terminées dans la semaine réservée à l'abbaye : «... Per arrestum nostre curie dictum fuit quod dicti religion cognitionem causarum in eorum décima septimana inchoalam et non complétant ipsi poterunt quantum ad cause cognitionem solummodo pertinet complere in novem sepùmanis nostris » (1310) ; – copie collationnée (1580) des lettres patentes de Philippe V le Long, vidimant et confirmant les donations faites à l'abbaye par ses fondateurs, notamment celles de Guillaume, fils d'Osberne, et des comtes de Leicester (1320) ; – vidimus d'un mandement de Philippe VI de Valois, adressé « aux gens des Comptes » à Paris, pour leur notifier que l'intention du Roi « n'est mie ne n'a esté que l'abbaye de Lyre en Normendie ne aucuns membres d'icelle soient mis hors de nostre main... ; si vous mandons que ce vous signifiez aus commissaires députez à faire certaine assiette ès parties pardela à nostre frère d'Alençon et à nostre très chier cousin le Roy de Navarre, conte de Évreux... » (1337) ; – copies d'une plainte formulée par les religieux de Lyre contre les sieurs de la Frette et de Basqueville, capitaines de compagnies, qui avaient logé de force dans l'abbaye avec leurs gens d'armes et commis plusieurs excès, ainsi que de l'information par témoins faite à ce sujet par le sénéchal de l'abbaye (1585) ; – sauvegardes accordées à l'abbaye par le baron de Médavy, capitaine de 50 hommes d'armes, bailli d'Alençon et gouverneur de Verneuil, et par le vicomte de Tavannes, « mareschal général des camps et armées catholiques, comandant en Normandie » (1591). Au bas de ses lettres de sauvegarde, le vicomte de Tavannes a ajouté de sa main : « pour l'église et le logis des moynes seullemant » ; – copies d'un arrêt du Parlement de Rouen, du 29 juillet 1652, et d'un arrêt de la Chambre des Comptes, du 12 juillet 1653, ordonnant l'enregistrement, sous la réserve des modifications portées dans lesdits arrêts, des lettres patentes d'avril 1651, qui avaient rendu exécutoire le contrat d'échange passé entre le Roi et le duc de Bouillon du comté d'Évreux et de ses dépendances contre les principautés de Sedan et de Raucourt ; – confirmation par Hugues III d'Amiens, archevêque de Rouen, des biens possédés par l'abbaye dans l'étendue de son diocèse. Cette charte, datée de 1145 et adressée à l'abbé de Lyre Bildier, porte, outre la souscription de l'archevêque, celles de Gautier, abbé de Saint-Wandrille, de Fraterne, abbé de Saint-Ouen, et des dignitaires suivants de l'archevêché et du chapitre : les archidiacres Fulbert, Hugues, Osmond et Geoffroi, le doyen Galeran, le sacriste Nicolas, l'écolâtre (magister scolaris) Laurent, le chantre Gilbert ; – lettres de Gautier de Coutances, archevêque de Rouen, adressées à Raoul de Varneville, évêque de Lisieux, et au clergé de son diocèse, pour leur prescrire de recommander aux fidèles de faire des aumônes aux religieux de Lyre qui se présenteraient dans les églises du diocèse afin de recueillir des offrandes pour reconstruire leur monastère récemment incendié (1188) ; – confirmation par Garin de Cierrey, évêque d'Évreux, des donations faites à l'abbaye par Arnaud du Bois, Gilbert des Essarts, Guillaume de Chanteloup, Eustache de Renneville, Guillaume de Séez-Moulins (s. d., en présence des archidiacres Raoul et Gilles, de Raoul de Conches, de Robert du Bois-Normand et de Chrétien, prêtres, etc., 1193-1201) ; – nomination par Garin de Cierrey, évêque d'Évreux, des vicaires perpétuels présentés par l'abbaye de Lyre pour les églises de Breteuil, de Saint-Denis-du-Béhélan (de Brolioherlant), de Champ-Dominel, de Roman, de Corneuil, de la Vieille-Lyre et de Glos-la-Ferrière (s. d.) ; – vidimus et confirmation (1209) par Luc, évêque d'Évreux, de la charte de Robert IV, comte de Leicester, confirmant à l'abbaye de Lyre les biens et les privilèges qu'elle possédait dans l'étendue de ses fiefs, à la charge de lui fournir le service de deux chevaliers pour sa garde à Breteuil (s. d., vers 1200) ; – confirmation par Luc, évêque d'Évreux, des donations faites à l'abbaye par Roger des Essarts, Guillaume Chevroel et Gilbert Chevroel, son fils, Guillaume Burnel, Guillaume et Gilbert du Chesne, Hubert de Nagel (de Nagelet) Baoul du Bois-Gencelin, Gilbert de Arsiciis, Bichard Laurent, Baoul, Simon et Galeran, ses frères (s. d.) ; – confirmation par le chapitre d'Evreux des biens et des droits de l'abbaye, déjà confirmés par Garin de Cierrey, ancien évêque d'Évreux (1210) ; – déclaration générale des biens et des revenus de l'abbaye de Lyre, fournie au Roi par Jacques Bretel de Gremonville, abbé commendataire (1648. Cahier de 8 feuillets parchemin. Incomplet) ; – mémoire sur les biens, revenus et possessions de l'abbaye (XVIIIe siècle). – (Chapitre premier de l'inventaire général de 1738, en quatre volumes in-folio.).

H438 , XVIIIe siècle , Alençon ; Argentan ; Bacqueville ; Breteuil ; Caën ; Champ-Dominel (Le) ; Champ-Motteux (Le), sis près de Breteuil ; Corneuil ; Evreux (Chanoines, signataires, doyens d') ; Evreux (Grands Chantres d') ; Frétils (Les) ; Glos-la-Ferrière ; Léry ; Lyons-la-Forêt (Abbaye de) ; Marmières ; Neuve-Lyre (La), dite aussi « la Jeune-Lyre » ; Pacy-sur-Eure ; Paris (Parlement de) ; Pont-Saint-Pierre ; Raucourt ; Roman ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Denis-du-Béhélan ; Sédan ; Vaudreuil (Le) ; Verneuil-sur-Avre ; Verrières (Les Moulins de), sis proche …) ; Vieille-Lyre (La)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Lyre (Ordre de Saint-Benoît)

Grande charte de Lyre, contenant la donation faite à l'abbaye par Guillaume, fils d'Osberne, son fondateur, et par Adeliz, sa femme, de terres, de dîmes et de droits divers à la Vieille-Lyre et à la Neuve-Lyre, à Marnières, aux Fretils, à Breteuil, à Pacy, à Glos, à Pont-Saint-Pierre, etc. A la suite de cette donation, attribuée à l'année 1051 environ et souscrite par Guillaume, évêque d'Évreux, par Guillaume le Conquérant, duc de Normandie, et par Mathilde, sa femme, sont transcrites les donations des premiers bienfaiteurs de l'abbaye : Ernaud, fils de Popeline ; Ernaud, fils du précédent ; Raoul de Conches ; Guillaume de Breteuil, fils du fondateur de l'abbaye ; Ingenulfe, Guillaume, Robert et Wiard, fils de Grenton ; Osmondrfe Waspreia ; Guillaume de Thevray ; Richard Mahiard et Simon de Gouttières ; Raoul de Tournai ; Guillaume de Tournai et Gilbert, son frère ; Raoul de Pommereuil et Roger, son frère ; Robert de Tranchevilliers ; Gilbert, fils de Roger. (Parchemin de 79 centimètres de hauteur sur 52 de largeur) ; – seconde donation de Guillaume, fils d'Osberne et comte de Hereford, en faveur de l'abbaye. Cet acte est souscrit en même temps par Lanfranc, archevêque de Cantorbéry, et par Guillaume, évêque d'Évreux, bien que Lanfranc ne soit monté sur le trône archiépiscopal qu'en 1070 et que la mort de l'évêque d'Évreux Guillaume soit généralement attribuée à l'année 1066, notamment par le Gallia Christiana. Il est accompagné d'une autre charte également sur parchemin dans laquelle on a voulu voir une troisième donation du même Guillaume, fils d'Osberne, mais qui paraît n'être qu'un projet dressé en vue de la rédaction définitive de la donation précédente. La date de celle-ci pourrait être attribuée à l'année 1070, à la condition de prolonger jusqu'à cette année l'existence de Guillaume I, évêque d'Évreux ; – donation à l'abbaye par Amicie, dame de Montfort, pour le repos de l'âme de Guillaume de Breteuil, son frère, d'une rente annuelle de 60 sous d'angevins (s. d., en présence de Roger, frère de la donatrice, évêque élu de Saint-André) ; – confirmation par Robert (II), comte de Leicester, des biens et des droits que l'abbaye possédait dans l'étendue de ses fiefs (s. d., en présence de Gilebert des Minières, sénéchal du comte) ; – confirmation des biens et des privilèges de l'abbaye de Lyre par Robert (II), comte de Leicester (s. d., en présence d'Amicie, sa femme) ; – confirmations par Robert II et par Robert III, comtes de Leicester, des donations faites à l'abbaye par Richard de Bois-Anzeray et par Baudry, fils d'Hoël (s. d.) ; – donation à l'abbaye par Robert (IV), comte de Leicester, du village du Champ-Motteux et de droits d'usage dans la forêt de Breteuil (s. d.) ; – confirmation par Arnaud du Bois (Ernaldus de Bosco) des donations faites à l'abbaye par ses ancêtres ou par leurs vassaux et donation aux religieux de Lyre de ses droits de dîme sur les moulins de Verrières (s. d.) ; – confirmation par Henri II, roi d'Angleterre, des donations faites à l'abbaye tant en France qu'en Angleterre (Westminster, s. d., 1142-1164) ; – vidimus des lettres de sauvegarde accordées à l'abbaye par le dauphin Charles, régent du royaume, et adressées aux capitaines des châteaux de Breteuil et de Conches, etc. : «... Noz amez et féaulx les religieux, abbé et couvent de Nostre Dame de Lire nous ont fait monstrer en complaignant que comme leur moustier avecques la greigneur partie des autres maisons de leur abbaie et leurs biens dedans estans et leurs autres manoirs et grandies hors ovecques les biens dedans estans aient esté ars et gastez par les enemis du royaume et aussi vous ou aucuns de vous avez prins et encores vous efforcez de jour en jour de prendre de leurs biens... Pour lesquelx griefs les diz religieux n'ont de quoi vivre et sont demoures povres, mendians et dispers... » (1359) ; – exemption de tous droits de coutume, de tonlieu, de passage, de pontage, etc., accordée à l'abbaye pour ses biens et ses marchandises par Henri II, roi d'Angleterre (Le Vaudreuil. S. d.) ; – lettres de protection et de sauvegarde accordées à l'abbaye par Henri II, roi d'Angleterre (Caen, Argentan et Léry. S. d.) ; – promulgation par Henri Louvel, bailli de Verneuil, d'un jugement de l'Échiquier de Rouen qui avait confirmé les religieux de Lyre, nonobstant l'opposition de Jean de Saint-Léonard, ancien bailli de Verneuil, dans leur droit de jouir des droits de coutume, de haute et de basse justice une semaine sur dix dans les villes de Breteuil, de Glos, de Lyre et de Pacy (1279) ; – arrêt du Parlement de Paris interprétant et réglementant le droit ci-dessus au point de vue des causes introduites et non terminées dans la semaine réservée à l'abbaye : «... Per arrestum nostre curie dictum fuit quod dicti religion cognitionem causarum in eorum décima septimana inchoalam et non complétant ipsi poterunt quantum ad cause cognitionem solummodo pertinet complere in novem sepùmanis nostris » (1310) ; – copie collationnée (1580) des lettres patentes de Philippe V le Long, vidimant et confirmant les donations faites à l'abbaye par ses fondateurs, notamment celles de Guillaume, fils d'Osberne, et des comtes de Leicester (1320) ; – vidimus d'un mandement de Philippe VI de Valois, adressé « aux gens des Comptes » à Paris, pour leur notifier que l'intention du Roi « n'est mie ne n'a esté que l'abbaye de Lyre en Normendie ne aucuns membres d'icelle soient mis hors de nostre main... ; si vous mandons que ce vous signifiez aus commissaires députez à faire certaine assiette ès parties pardela à nostre frère d'Alençon et à nostre très chier cousin le Roy de Navarre, conte de Évreux... » (1337) ; – copies d'une plainte formulée par les religieux de Lyre contre les sieurs de la Frette et de Basqueville, capitaines de compagnies, qui avaient logé de force dans l'abbaye avec leurs gens d'armes et commis plusieurs excès, ainsi que de l'information par témoins faite à ce sujet par le sénéchal de l'abbaye (1585) ; – sauvegardes accordées à l'abbaye par le baron de Médavy, capitaine de 50 hommes d'armes, bailli d'Alençon et gouverneur de Verneuil, et par le vicomte de Tavannes, « mareschal général des camps et armées catholiques, comandant en Normandie » (1591). Au bas de ses lettres de sauvegarde, le vicomte de Tavannes a ajouté de sa main : « pour l'église et le logis des moynes seullemant » ; – copies d'un arrêt du Parlement de Rouen, du 29 juillet 1652, et d'un arrêt de la Chambre des Comptes, du 12 juillet 1653, ordonnant l'enregistrement, sous la réserve des modifications portées dans lesdits arrêts, des lettres patentes d'avril 1651, qui avaient rendu exécutoire le contrat d'échange passé entre le Roi et le duc de Bouillon du comté d'Évreux et de ses dépendances contre les principautés de Sedan et de Raucourt ; – confirmation par Hugues III d'Amiens, archevêque de Rouen, des biens possédés par l'abbaye dans l'étendue de son diocèse. Cette charte, datée de 1145 et adressée à l'abbé de Lyre Bildier, porte, outre la souscription de l'archevêque, celles de Gautier, abbé de Saint-Wandrille, de Fraterne, abbé de Saint-Ouen, et des dignitaires suivants de l'archevêché et du chapitre : les archidiacres Fulbert, Hugues, Osmond et Geoffroi, le doyen Galeran, le sacriste Nicolas, l'écolâtre (magister scolaris) Laurent, le chantre Gilbert ; – lettres de Gautier de Coutances, archevêque de Rouen, adressées à Raoul de Varneville, évêque de Lisieux, et au clergé de son diocèse, pour leur prescrire de recommander aux fidèles de faire des aumônes aux religieux de Lyre qui se présenteraient dans les églises du diocèse afin de recueillir des offrandes pour reconstruire leur monastère récemment incendié (1188) ; – confirmation par Garin de Cierrey, évêque d'Évreux, des donations faites à l'abbaye par Arnaud du Bois, Gilbert des Essarts, Guillaume de Chanteloup, Eustache de Renneville, Guillaume de Séez-Moulins (s. d., en présence des archidiacres Raoul et Gilles, de Raoul de Conches, de Robert du Bois-Normand et de Chrétien, prêtres, etc., 1193-1201) ; – nomination par Garin de Cierrey, évêque d'Évreux, des vicaires perpétuels présentés par l'abbaye de Lyre pour les églises de Breteuil, de Saint-Denis-du-Béhélan (de Brolioherlant), de Champ-Dominel, de Roman, de Corneuil, de la Vieille-Lyre et de Glos-la-Ferrière (s. d.) ; – vidimus et confirmation (1209) par Luc, évêque d'Évreux, de la charte de Robert IV, comte de Leicester, confirmant à l'abbaye de Lyre les biens et les privilèges qu'elle possédait dans l'étendue de ses fiefs, à la charge de lui fournir le service de deux chevaliers pour sa garde à Breteuil (s. d., vers 1200) ; – confirmation par Luc, évêque d'Évreux, des donations faites à l'abbaye par Roger des Essarts, Guillaume Chevroel et Gilbert Chevroel, son fils, Guillaume Burnel, Guillaume et Gilbert du Chesne, Hubert de Nagel (de Nagelet) Baoul du Bois-Gencelin, Gilbert de Arsiciis, Bichard Laurent, Baoul, Simon et Galeran, ses frères (s. d.) ; – confirmation par le chapitre d'Evreux des biens et des droits de l'abbaye, déjà confirmés par Garin de Cierrey, ancien évêque d'Évreux (1210) ; – déclaration générale des biens et des revenus de l'abbaye de Lyre, fournie au Roi par Jacques Bretel de Gremonville, abbé commendataire (1648. Cahier de 8 feuillets parchemin. Incomplet) ; – mémoire sur les biens, revenus et possessions de l'abbaye (XVIIIe siècle). – (Chapitre premier de l'inventaire général de 1738, en quatre volumes in-folio.).

H438 , XVIIIe siècle , Alençon ; Argentan ; Bacqueville ; Breteuil ; Caën ; Champ-Dominel (Le) ; Champ-Motteux (Le), sis près de Breteuil ; Corneuil ; Evreux (Chanoines, signataires, doyens d') ; Evreux (Grands Chantres d') ; Frétils (Les) ; Glos-la-Ferrière ; Léry ; Lyons-la-Forêt (Abbaye de) ; Marmières ; Neuve-Lyre (La), dite aussi « la Jeune-Lyre » ; Pacy-sur-Eure ; Paris (Parlement de) ; Pont-Saint-Pierre ; Raucourt ; Roman ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Denis-du-Béhélan ; Sédan ; Vaudreuil (Le) ; Verneuil-sur-Avre ; Verrières (Les Moulins de), sis proche …) ; Vieille-Lyre (La)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Lyre (Ordre de Saint-Benoît)
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