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Chapelle de Saint-Augustin ou de Saint-Autin, située dans la forêt de Longboël.

H462 , 1420-1692 , Longboël (les forêts de) ; Lyons-la-Forêt (Abbaye de) ; Rome ; Saint-Augustin (Chapelle)  

Transaction passée entre l'abbé de Lyre et les vicaires généraux de l'archevêque de Rouen relativement au droit de nomination à ladite chapelle (1420) ; — attribution à l'office d'infirmier de l'abbaye de Lyre de la dîme de la paroisse Saint-Martin de Laigle en échange des revenus de la chapelle de Saint-Autin, que l'infirmier ne pouvait desservir à cause de son éloignement (1427) ; — lettres de provision en cour de Rome de la chapelle de Saint-Autin en faveur de Mathurin d'Espagne, clerc, religieux de la congrégation de Saint-Maur (1683) ; — notes sur les titulaires de ladite chapelle et extrait de la déclaration du temporel de l'abbaye de Lyre, de 1692 : « nous avions dans la forêt de Lomboil la chapelle ou hermitage de St Augustin, vulgairement appelée Saint-Autin, dépendante de l'office d'infirmier, et le revenu d'icelle chappelle, qui consiste environ dix-huit acres de terre tout en un rond-point et tout autour de laditte chapelle, où il y a manoir, grange, colombier et autres bâtimens ; et est le chef du fief de Saint-Autin dépendant de laditte chappelle, le tout présentement possédé par Mr Feron, sieur de Saint-Autin, plutôt par usurpation que par fief ». — (Sixième chapitre, article 4, de l'inventaire de 1738.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Lyre (Ordre de Saint-Benoît)

Chapelle de Saint-Augustin ou de Saint-Autin, située dans la forêt de Longboël.

H462 , 1420-1692 , Longboël (les forêts de) ; Lyons-la-Forêt (Abbaye de) ; Rome ; Saint-Augustin (Chapelle)  

Transaction passée entre l'abbé de Lyre et les vicaires généraux de l'archevêque de Rouen relativement au droit de nomination à ladite chapelle (1420) ; — attribution à l'office d'infirmier de l'abbaye de Lyre de la dîme de la paroisse Saint-Martin de Laigle en échange des revenus de la chapelle de Saint-Autin, que l'infirmier ne pouvait desservir à cause de son éloignement (1427) ; — lettres de provision en cour de Rome de la chapelle de Saint-Autin en faveur de Mathurin d'Espagne, clerc, religieux de la congrégation de Saint-Maur (1683) ; — notes sur les titulaires de ladite chapelle et extrait de la déclaration du temporel de l'abbaye de Lyre, de 1692 : « nous avions dans la forêt de Lomboil la chapelle ou hermitage de St Augustin, vulgairement appelée Saint-Autin, dépendante de l'office d'infirmier, et le revenu d'icelle chappelle, qui consiste environ dix-huit acres de terre tout en un rond-point et tout autour de laditte chapelle, où il y a manoir, grange, colombier et autres bâtimens ; et est le chef du fief de Saint-Autin dépendant de laditte chappelle, le tout présentement possédé par Mr Feron, sieur de Saint-Autin, plutôt par usurpation que par fief ». — (Sixième chapitre, article 4, de l'inventaire de 1738.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Lyre (Ordre de Saint-Benoît)

Copies (fin du XVIIe et commencement du XVIIIe siècles) des titres de fondation et de donation concernant le couvent des Carmes de la Garde-Châtel. –. Donation par le Roi Louis XIV « aux pères Carmes déchaussés de la province de Paris, des deniers revenans bons par chacun an du domaine à nous rétrocédé du bailliage et vicomté de Bayeux, consistant en rentes de grains, poulies, chappons et oyseaux, deues par plusieurs particuliers à la recepte dudit domaine de Bayeux, le revenu desquelles choses monte à présent par chacun an à la somme de 1,710 livres 12 sols 10 deniers » (1656) ; – donation par le même aux mêmes « du lieu, bosquet et place appellée Garde-Châtel », pour y établir une maison de leur ordre (1658) ; – lettres de cachet adressées par le roi Louis XIV à Gilles Boutault, évêque d'Évreux, pour l'inviter à aller sans retard poser en son nom la première pierre du couvent : «... Vous avez receu ordre de moi et de la Reine madame ma mère de vous transporter au dit bois de Garde-Châtel pour y mettre la première pierre en mon nom en la fondation dudit Désert, et comme je désire que cet ouvrage qui regarde le service et la gloire de Dieu ne soit pas plus longtemps différé, je vous faits encore celle-cy pour vous dire que vous ayez incessamment et sans aucun délay à mettre en mon nom laditte première pierre à cette fondation... » (11 août 1660) ; – lettres de cachet adressées par la Reine mère à « Monsieur de Motteville, conseiller du Roy monsieur mon fils, son conseiller d'Estat et premier président en sa Chambre des Comptes de Rouen, au sujet de l'enregistrement des lettres de fondation de la Garde-Châtel : «... Je vous fais celle-cy pour vous dire qu'affectionnant ces bons religieux comme je fais pour la vie exemplaire qu'ils font, vous me ferés plaisir bien agréable d'employer l'authorité que vous donne vostre charge dans vostre Compagnie pour faire rendre à ces bons pères tous les meilleurs offices que vous pourrès en faisant procéder à l'enregistrement des dittes lettres patentes suivant la volonté du Roy, vous asseurant outre que vous ferès une œuvre bien agréable à Dieu ; je vous en sçauray gré, dont je me souviendray envers vous et les vostres, que je prie Dieu avoir, Monsieur de Motteville, en sa sainte et digne garde » (20 novembre 1660) ; –« procès-verbal de la bénédiction du Désert des Carmes déchaussés, faite par Monseigneur l'Évesque d'Évreux (Gilles Boutault) et de la première pierre par luy posée au nom du Roy le 20 aoust 1660 » ; – copies et extraits des fondations faites en faveur du couvent de la Garde-Châtel par Françoise d'Offigny, femme d'Anne Le Rlanc du Raulet, chevalier, seigneur de la Croisette, lieutenant pour Sa Majesté en Normandie pour le bailliage de Caen et gouverneur des villes et château de Caen et de Louviers (1660), Marie Touchard, fille de feu Pierre Touchard, marchand grossier, et de Jeanne Blossier (1664), Anne du Moutier, veuve de Marin Langlois, procureur en la Cour des Aides de Normandie (1665), Suzanne Raverdy, veuve de Martin des Mares, juré porteur de blé et bourgeois de Paris (1666), Jean de Cabazas, écuyer, fils et héritier en partie de Jean de Cabazas, écuyer, sieur de la Roque, originaire de la ville de Bayeux (1667), Antoine Mallet, bourgeois de Louviers (1668), Marie Bridau, M. Le Tanneur, ancien conseiller du Roi au Parlement de Metz, Antoine Varillon, chevalier, seigneur de Morangis, directeur des finances du Roi, Pierre Tiville, bourgeois de Paris, et Madeleine Simon, sa femme (1671), Jacques Barrin, conseiller du Roi, marquis de la Galissonnière, Alexandre Le Ragois de Bretonvillers, supérieur du séminaire de Saint-Sulpice (1672), Jacques Le Doux de Melleville, haut doyen de la cathédrale d'Évreux, Marie de Compans, veuve en premières noces de Charles Quatre-Hommes, sieur de Thionville, et en secondes noces de Guillaume Boucher, greffier en chef de la Cour des Aides de Paris, Nicolas-René Boucher, écuyer, greffier en chef de la Cour des Aides, et Marie Bannelier, sa femme, Jean Bannelier, commissaire honoraire au Châtelet de Paris, et Marguerite Bannelier, sa fille aînée (1673), Jean Levé, beau-père de M. Féron, grand-maître des Eaux-et-Forêts de Normandie (1687-1696), Catherine de Heudebert, veuve d'Isambert Sauer, écuyer, sieur de la Houssaye, trésorier de France à Rouen (1704), François Le Febvre, prêtre, chanoine et trésorier honoraire d'Écouis, demeurant à Paris (1705), « haute et puissante damoiselle » Pulchérie de Rrouilly de Wartigny (1706), etc.. – copies de titres concernant les droits des seigneurs d'Écrosville dans la forêt de Bord (1326-1639).

H1059 , 1326-1706 , Caën ; Croisette (fief de la) ; Ecouis (Collégiale d') ; Ecrosville (fief d') ; Evreux (Chapitre d') ; Galissonnière (La), Marquisat ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Houssaye (fief de la) ; Louviers ; Metz ; Paris (Séminaire Saint-Sulpice de) ; Paris (ville) ; Rouen (ville) ; Thionville  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Carmes de la Garde-Châtel

Copies (fin du XVIIe et commencement du XVIIIe siècles) des titres de fondation et de donation concernant le couvent des Carmes de la Garde-Châtel. –. Donation par le Roi Louis XIV « aux pères Carmes déchaussés de la province de Paris, des deniers revenans bons par chacun an du domaine à nous rétrocédé du bailliage et vicomté de Bayeux, consistant en rentes de grains, poulies, chappons et oyseaux, deues par plusieurs particuliers à la recepte dudit domaine de Bayeux, le revenu desquelles choses monte à présent par chacun an à la somme de 1,710 livres 12 sols 10 deniers » (1656) ; – donation par le même aux mêmes « du lieu, bosquet et place appellée Garde-Châtel », pour y établir une maison de leur ordre (1658) ; – lettres de cachet adressées par le roi Louis XIV à Gilles Boutault, évêque d'Évreux, pour l'inviter à aller sans retard poser en son nom la première pierre du couvent : «... Vous avez receu ordre de moi et de la Reine madame ma mère de vous transporter au dit bois de Garde-Châtel pour y mettre la première pierre en mon nom en la fondation dudit Désert, et comme je désire que cet ouvrage qui regarde le service et la gloire de Dieu ne soit pas plus longtemps différé, je vous faits encore celle-cy pour vous dire que vous ayez incessamment et sans aucun délay à mettre en mon nom laditte première pierre à cette fondation... » (11 août 1660) ; – lettres de cachet adressées par la Reine mère à « Monsieur de Motteville, conseiller du Roy monsieur mon fils, son conseiller d'Estat et premier président en sa Chambre des Comptes de Rouen, au sujet de l'enregistrement des lettres de fondation de la Garde-Châtel : «... Je vous fais celle-cy pour vous dire qu'affectionnant ces bons religieux comme je fais pour la vie exemplaire qu'ils font, vous me ferés plaisir bien agréable d'employer l'authorité que vous donne vostre charge dans vostre Compagnie pour faire rendre à ces bons pères tous les meilleurs offices que vous pourrès en faisant procéder à l'enregistrement des dittes lettres patentes suivant la volonté du Roy, vous asseurant outre que vous ferès une œuvre bien agréable à Dieu ; je vous en sçauray gré, dont je me souviendray envers vous et les vostres, que je prie Dieu avoir, Monsieur de Motteville, en sa sainte et digne garde » (20 novembre 1660) ; –« procès-verbal de la bénédiction du Désert des Carmes déchaussés, faite par Monseigneur l'Évesque d'Évreux (Gilles Boutault) et de la première pierre par luy posée au nom du Roy le 20 aoust 1660 » ; – copies et extraits des fondations faites en faveur du couvent de la Garde-Châtel par Françoise d'Offigny, femme d'Anne Le Rlanc du Raulet, chevalier, seigneur de la Croisette, lieutenant pour Sa Majesté en Normandie pour le bailliage de Caen et gouverneur des villes et château de Caen et de Louviers (1660), Marie Touchard, fille de feu Pierre Touchard, marchand grossier, et de Jeanne Blossier (1664), Anne du Moutier, veuve de Marin Langlois, procureur en la Cour des Aides de Normandie (1665), Suzanne Raverdy, veuve de Martin des Mares, juré porteur de blé et bourgeois de Paris (1666), Jean de Cabazas, écuyer, fils et héritier en partie de Jean de Cabazas, écuyer, sieur de la Roque, originaire de la ville de Bayeux (1667), Antoine Mallet, bourgeois de Louviers (1668), Marie Bridau, M. Le Tanneur, ancien conseiller du Roi au Parlement de Metz, Antoine Varillon, chevalier, seigneur de Morangis, directeur des finances du Roi, Pierre Tiville, bourgeois de Paris, et Madeleine Simon, sa femme (1671), Jacques Barrin, conseiller du Roi, marquis de la Galissonnière, Alexandre Le Ragois de Bretonvillers, supérieur du séminaire de Saint-Sulpice (1672), Jacques Le Doux de Melleville, haut doyen de la cathédrale d'Évreux, Marie de Compans, veuve en premières noces de Charles Quatre-Hommes, sieur de Thionville, et en secondes noces de Guillaume Boucher, greffier en chef de la Cour des Aides de Paris, Nicolas-René Boucher, écuyer, greffier en chef de la Cour des Aides, et Marie Bannelier, sa femme, Jean Bannelier, commissaire honoraire au Châtelet de Paris, et Marguerite Bannelier, sa fille aînée (1673), Jean Levé, beau-père de M. Féron, grand-maître des Eaux-et-Forêts de Normandie (1687-1696), Catherine de Heudebert, veuve d'Isambert Sauer, écuyer, sieur de la Houssaye, trésorier de France à Rouen (1704), François Le Febvre, prêtre, chanoine et trésorier honoraire d'Écouis, demeurant à Paris (1705), « haute et puissante damoiselle » Pulchérie de Rrouilly de Wartigny (1706), etc.. – copies de titres concernant les droits des seigneurs d'Écrosville dans la forêt de Bord (1326-1639).

H1059 , 1326-1706 , Caën ; Croisette (fief de la) ; Ecouis (Collégiale d') ; Ecrosville (fief d') ; Evreux (Chapitre d') ; Galissonnière (La), Marquisat ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Houssaye (fief de la) ; Louviers ; Metz ; Paris (Séminaire Saint-Sulpice de) ; Paris (ville) ; Rouen (ville) ; Thionville  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Carmes de la Garde-Châtel
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