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Requête adressée par les Pénitents de la province de Saint-Yves en France au curé de Pont-de-l'Arche pour lui demander son consentement à l'établissement de leur couvent de Pont-de-l'Arche : « Comme il a pleu à Mesieurs les vénérables doyen et chanoines du chapitre de Cléry nous faire don à perpétuité du prieuré de l'hospital du Pont-de-l'Arche pour y prendre les soings nécessaires des paovres passans et leur rendre la charité conformément aux intentions des fondateurs dudit hospital, plusieurs bonnes âmes de ladicte ville nous auroient tesmoigné souhaiter qu'eussions estably une petite famille de trois ou quatre religieux en la maison dudit hospital tant pour le mieux acquiter des dictes charges que pour rendre à la ville les services ordinaires des personnes de nostre estat et institut religieux... » (1648) ; – copie des lettres patentes de Louis XIV, données à Compiègne au mois de juillet 1649, autorisant l'établissement du couvent des Pénitents de Pont-de-l'Arche et leur accordant l'amortissement pour tous leurs biens ; – requête adressée à l'évêque d'Évreux par le provincial de l'ordre des Pénitents pour lui demander l'autorisation de construire un oratoire ou une chapelle dans le couvent de Pont-de-l'Arche et d'y célébrer les offices religieux. Cette requête est suivie de l'autorisation conforme de Gilles Boutault, évêque d'Évreux, souscrite de sa signature autographe : « Egidius E. Ebroicensis » (1650) ; – requête adressée au Conseil du Roi par les Pénitents de Pont-de-l'Arche pour se plaindre des abus de pouvoir commis par « un certain prêtre nommé Du Lux, curé de Criqueboeuf-la-Rivière, soy disant et qualifiant doien du Pont-de-l'Arche », et par Louis Cyrot, curé de Saint-Vigor de Pont-de-l'Arche, qui avaient procédé sans droit à la visite de leur couvent (1655).

H1216 , 1648-1655 , Cléry ; Compiègne ; Pont-de-l'Arche (Couvent de Pénitents de) ; Saint-Yves (fief de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Pénitents de Pont-de-l'Arche

Requête adressée par les Pénitents de la province de Saint-Yves en France au curé de Pont-de-l'Arche pour lui demander son consentement à l'établissement de leur couvent de Pont-de-l'Arche : « Comme il a pleu à Mesieurs les vénérables doyen et chanoines du chapitre de Cléry nous faire don à perpétuité du prieuré de l'hospital du Pont-de-l'Arche pour y prendre les soings nécessaires des paovres passans et leur rendre la charité conformément aux intentions des fondateurs dudit hospital, plusieurs bonnes âmes de ladicte ville nous auroient tesmoigné souhaiter qu'eussions estably une petite famille de trois ou quatre religieux en la maison dudit hospital tant pour le mieux acquiter des dictes charges que pour rendre à la ville les services ordinaires des personnes de nostre estat et institut religieux... » (1648) ; – copie des lettres patentes de Louis XIV, données à Compiègne au mois de juillet 1649, autorisant l'établissement du couvent des Pénitents de Pont-de-l'Arche et leur accordant l'amortissement pour tous leurs biens ; – requête adressée à l'évêque d'Évreux par le provincial de l'ordre des Pénitents pour lui demander l'autorisation de construire un oratoire ou une chapelle dans le couvent de Pont-de-l'Arche et d'y célébrer les offices religieux. Cette requête est suivie de l'autorisation conforme de Gilles Boutault, évêque d'Évreux, souscrite de sa signature autographe : « Egidius E. Ebroicensis » (1650) ; – requête adressée au Conseil du Roi par les Pénitents de Pont-de-l'Arche pour se plaindre des abus de pouvoir commis par « un certain prêtre nommé Du Lux, curé de Criqueboeuf-la-Rivière, soy disant et qualifiant doien du Pont-de-l'Arche », et par Louis Cyrot, curé de Saint-Vigor de Pont-de-l'Arche, qui avaient procédé sans droit à la visite de leur couvent (1655).

H1216 , 1648-1655 , Cléry ; Compiègne ; Pont-de-l'Arche (Couvent de Pénitents de) ; Saint-Yves (fief de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Pénitents de Pont-de-l'Arche

« Livre des délibérations et actes capitulaires du monastère de Saint-Taurin lez Évreux uny à la congrégation de Saint-Maur », du ler mars 1612 au 26 mars 1711. – Procès-verbal d'installation dans l'abbaye de Saint-Taurin des religieux réformés de la congrégation de Saint-Maur, par François de Péricard, évêque d'Évreux, en présence de Jacques du Perron, évêque d'Angoulême et abbé commendataire de Saint-Taurin, les 1er et 2 mars 1642 (fol. 2 et suiv.) ; – délibérations relatives à un emprunt de 2,000 livres contracté par les religieux, attendu » qu'il a esté nécessaire de faire de grands frais pour mettre les lieux réguliers en réparation, comme dortoir, réfectoir, église et autres lieux, à l'effet de leur establissement nouvellement fait, comme aussi pour achepter plusieurs ameublemens nécessaires, pour à quoy satisfaire le revenu de la communauté n'est suffisant » (1er avril 1642. Fol. 9), – au retrait de « plusieurs terres et domaines aliénés de ladite abbaye, tant de la mense conventuelle que de la mense abbatiale, lesquels on peut retirer suivant le pouvoir que le Roi en a donné par sa déclaration du treizième juin 1741 » (fol. 12 et ss.), – au différend soulevé entre l'abbaye et le curé de Saint-Gilles relativement au droit prétendu par les religieux de Saint-Taurin de célébrer la grand'messe avec diacre et sous-diacre, le jour de la fête, de saint Gilles, « en l'église et paroisse dudit Saint Gilles size en l'enclos dudit monastère, pour marque de leur supériorité » (fol. 17, etc.) ; – enregistrement des lettres de nomination de dom Damien Lerminier en qualité de prieur de l'abbaye de Saint-Taurin (17 juillet 1645. Fol. 23 v°) ; – projet d'emprunt de 3,000 livres, attendu « que le monastère doit prez de la somme de deux mil cinq cens livres à divers marchands, dont on ne peut pas différer le paiement plus longtemps, et d'ailleurs que les bâtiments des métairies de la Moinerie, du Buisson et de l'Aumosnerie menacent ruine, si on n'y apporte un présent remède, qu'il y a encore quantité de réparations à faire au moulin de Louviers, à la maison de la Rochette et aux murailles et toicls des logis du monastère... » (1646. Fol. 26) ; – récit des funérailles de François de Péricard, évesque d'Èvreux : « Le dimanche dix-huitième jour de novembre 1646, Messire François de Péricard, évêque d'Évreux, estant décédé à Paris dez le 21° de juillet et son corps ayant reposé en la paroisse de Condé depuis ce temps-là, la cérémonie de l'inhumation a esté faite en l'ordre et la manière qui s'ensuit : le corps fut apporté de Condé dans un charriot, tiré par quatre chevaux, accompagné de quelques cavaliers et des frères de la Charité de Condé. Les chevaux estoient couverts de toile noire avec une grande croix blanche, les housses descendant jusqu'à terre. Le charriot couvert de cercles en guise de berceau, avoit aussi une croix noire croisée de blanc qui couvroit les roues. Le clergé avec les religieux mendians attendoit le corps au cimetière Dieu, lequel fust reçeu par monseigneur messire Jacques du Perron, évesque d'Angoulesme et nommé à l'évesché d'Évreux. La réception faite, on procéda à l'évesché, où le chariot fit seulement un tour dans la cour, et le convoy descendit par la porte de la Geole, passa par la porte au Febvre et continua jusque devant le cimetière de Saint-Gilles. Les religieux de Saint-Taurin attendoient le convoy à la barrière du cimetière... Le lendemain, sur les neuf heures, les corps de ville commencèrent à arriver. Messieurs du Présidial vinrent en corps jeter de l'eau béniste sur le cercueil et se retirèrent dans les chaires du chœur (de l'église Saint-Taurin), des deux costez ; les gens du Roy ensuite, qui se placèrent sur les bancs proche du grand autel du costé du dortoir, où se mirent aussi les eschevins de ville. Ceux de l'Élection n'y vindrent pas, à cause de leur débat pour la prœséance contre le Présidial... Il ne se trouva point de noblesse au convoy, d'autant que ceux du Présidial ne leur eussent pas voulu accorder le pas devant... Etc. » (Fol. 30-34) ; – enregistrement des lettres de nomination de dom Fabien Buteux en qualité de prieur de l'abbaye de Saint-Taurin (15 juin 1648) ; – id., de dom Joseph des Ormes, ancien prieur de l'abbaye de Bernay (16 août 1649) ; – protestation des religieux de Saint-Taurin contre le projet formé par Gilles Boutault, nommé évêque d'Évreux, de prendre possession de son évêché sans se conformer aux usages traditionnels : « Messire Gilles Boutault, évesque de cette ville d'Évreux, se dispose aujourd'huy sur les onze heures, contre les anciennes cérémonies et coustumes religieusement observées par tous ses prédécesseurs jusques à son prédécesseur immédiat, révérendissime Jacques Noël du Perron, décédé le 14° février 1649, de prendre possession de son évesché et faire son entrée en l'église cathédrale sans en avoir donné advis à ceux quiy ont intérêt et nommément aux religieux de cette abbaye de Saint-Taurin, qui ont droict suyvant leurs tiltres de le recevoir en cette abbaye la veille de son entrée solennelle, où il doibt coucher et estre défrayé avec sa suitte par monsieur l'abbé de ladite abbaye, pour le lendemain lui estre imposée la mitre de Saint-Taurin avec grandes cérémonies et prières et de là le conduire jusques près la porte de la grande église Nostre-Dame et le présenter et livrer avec harangue à Mrs les chanoines de ladite église assemblez en corps ; et la haquenée ou autre monture sur laquelle il doibt estre venu audit monastère, avec son anneau d'or, doibt demeurer au proffict de l'aumosnier de ladite abbaye, ou la somme de cinquante six escus, comme il est stipulé par les anciennes transactions ; toutes lesquelles cérémonies il veult obmettre et partir seulement de son évesché sans estre accompagné d'aucun... Etc. » (5 avril 1650. Fol. 50) ; – installation de dom Charles Robillard, prieur de l'abbaye (19 juillet 1651), – id., de dom Germain Friville, nouveau prieur (23 juin 1654) ; – délibération décidant de soumettre au supérieur général les propositions de la duchesse de Bouillon : « Son altesse madame de Bouillon avoit dessein de faire aporter le corps de feu monsieur le duc de Bouillon, son mari, en l'église dudit monastère et mesme vouloit y dresser un sepulchre pour ledit feu seigneur son mari, pour elle, messieurs ses enfans et toute leur postérité, ensemble de faire dresser une chapelle au dessus dudit sépulchre pour y mettre cinq corps sainctz que notre saint père le Pape luy a donné, estant à Rome... » (1655. Fol. 64). Acceptation par les religieux des propositions de la duchesse de Bouillon relatives à la sépulture de sa famille et à un don de 10,000 livres par elle fait à l'abbaye (1657. Fol. 71) ; – installations de dom Germain Ferrand (25 juin 1657) et de dom Laurens Hunault (15 juin 1660), nommés prieurs de l'abbaye ; – délibérations relatives aux difficultés survenues entre l'abbaye et le chapitre de la cathédrale à propos de la cérémonie des funérailles de Gilles Boutault, évêque d'Évreux, décédé à Paris le 11 mars (14-26 mars 1661. Fol. 82-84) ; – enregistrement des lettres de nomination de Claude Carrel (25juin 1667), de Charles Aubourg (26 mai 1670), de Pierre Richer (1l juin 1675), de Jacques Remy (28 mai 1681), de Pierre Lengigneur (31 mai 1682), d'Antoine Beaugendre (24 mai 1687), de Pierre Lengigneur (14 mai 1693), de Nicolas Asselin (15 juin 1696), de Gabriel Pouget (14juin 1699), de René Lâneau (1er juin 1708), prieurs de l'abbaye ; – délibération relative à un projet d'échange avec le duc de Bouillon, qui proposait « d'enclore dans l'enceinte du chasteau qu'il fait bastir à Navarre une espace de rivière appartenant à ce monastère, à condition de donner en échange cent livres de rente » (1682. Fol. 143) ; – projet d'un emprunt de 2,000 livres (15 juillet 1692) ; – consentement donné par les religieux à la translation des corps des membres de la famille de Bouillon inhumés dans l'église de l'abbaye : « Son Altesse éminentissime Monseigneur le cardinal de Bouillon estant venu quelques jours auparavant en ce monastère, où depuis environ quarante ans on avoit en depost les corps de feu monseigneur le duc de Bouillon, de madame la duchesse, ses père et mère, et ceux de plusieurs autres princes et princesses de leur famille, il avoit dit qu'il avoit pris résolution avec Monseigneur le duc de Bouillon, son frère aisné, de les transporter en l'abbaye de Cluny dont il estoit abbé et dont les comtes d'Auvergne, dont ils sont descendus, étoient les fondateurs ou bienfaiteurs insignes ; que pour cet effet, comme les corps n'étoient dans notre église qu'en dépost, ils prioient la communauté de souffrir qu'il les emportassent... » (14 septembre 1692. Fol. 175) ; – opposition formée par les religieux à l'établissement d'un tarif d'abonnement destiné à remplacer la taille et applicable aux privilégiés comme aux taillables de la ville d'Évreux, « les habitans manans taillables de la ville d'Évreux travaillans depuis quelque temps dans les assemblées de la maison de ville à régler » ledit tarif (31 août 1707. Fol. 206) ; – récit de la cérémonie des funérailles de Jacques Potier de Novion, évêque d'Évreux : [« Messire Jacques Potier de Novion, évesque d'Évreux, mourut le 14e d'octobre 1709, à 10 et demy du soir, dans son palais épiscopal ; il fut enlevé de ce monde par une fièvre violente qui ne dura que cinq jours. Comme il estoit fort et robuste, quoyqu'âgé de 64 ans ou environ, il creut que la bonté de son tempérament le tireroit d'affaire ; mais il fut trompé et mourut sans sacrements, au grand regret de tout son diocèse qu'il avoit gouverné pendant 27 ans dans une grande paix et avec beaucoup de vigilance... Toute la communauté (des religieux de Saint-Taurin) fut en procession avec la croix et l'eau bénite attendre le convoy à la porte de l'église, qu'on nomme la porte des Images... Les Capucins et Cordeliers estoient à la teste, les Jacobins suivoient, tous les curez de la ville avec le clergé marchoient après, et messieurs les chanoines, les derniers de tous, fermoient la marche ; ensuitte le corps de feu Mr l'Évesque estoit porté par les frères de la Charité, et les quatre coins du drap par quatre dignitez du chapitre. Le Présidial et toutes les justices de la ville marchoient en habits de cérémonie avec une infinité de peuple qui les suivoient.... (Fol. 211-212) ; – actes de profession de Martin Alleron et de Michel Orry, religieux profès de la congrégation de Cluny et de Saint-Maur (1645) ; – actes de réception et d'ajournements des postulants et des novices (1655-1657).

H809 , 1642-1711 , Auvergne (L') ; Cluny (abbaye de) ; Condé-sur-Iton ; Evreux (Abbayes) : ""La Porte-des-Images"", à l'église abbatiale de Saint-Taurin ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Evreux (Le Cimetière Dieu) ; Evreux (Paroisses d') : Saint-Gilles ; Saint-Maur (Congrégation de), à Saint-Taurin-d'Evreux  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

« Livre des délibérations et actes capitulaires du monastère de Saint-Taurin lez Évreux uny à la congrégation de Saint-Maur », du ler mars 1612 au 26 mars 1711. – Procès-verbal d'installation dans l'abbaye de Saint-Taurin des religieux réformés de la congrégation de Saint-Maur, par François de Péricard, évêque d'Évreux, en présence de Jacques du Perron, évêque d'Angoulême et abbé commendataire de Saint-Taurin, les 1er et 2 mars 1642 (fol. 2 et suiv.) ; – délibérations relatives à un emprunt de 2,000 livres contracté par les religieux, attendu » qu'il a esté nécessaire de faire de grands frais pour mettre les lieux réguliers en réparation, comme dortoir, réfectoir, église et autres lieux, à l'effet de leur establissement nouvellement fait, comme aussi pour achepter plusieurs ameublemens nécessaires, pour à quoy satisfaire le revenu de la communauté n'est suffisant » (1er avril 1642. Fol. 9), – au retrait de « plusieurs terres et domaines aliénés de ladite abbaye, tant de la mense conventuelle que de la mense abbatiale, lesquels on peut retirer suivant le pouvoir que le Roi en a donné par sa déclaration du treizième juin 1741 » (fol. 12 et ss.), – au différend soulevé entre l'abbaye et le curé de Saint-Gilles relativement au droit prétendu par les religieux de Saint-Taurin de célébrer la grand'messe avec diacre et sous-diacre, le jour de la fête, de saint Gilles, « en l'église et paroisse dudit Saint Gilles size en l'enclos dudit monastère, pour marque de leur supériorité » (fol. 17, etc.) ; – enregistrement des lettres de nomination de dom Damien Lerminier en qualité de prieur de l'abbaye de Saint-Taurin (17 juillet 1645. Fol. 23 v°) ; – projet d'emprunt de 3,000 livres, attendu « que le monastère doit prez de la somme de deux mil cinq cens livres à divers marchands, dont on ne peut pas différer le paiement plus longtemps, et d'ailleurs que les bâtiments des métairies de la Moinerie, du Buisson et de l'Aumosnerie menacent ruine, si on n'y apporte un présent remède, qu'il y a encore quantité de réparations à faire au moulin de Louviers, à la maison de la Rochette et aux murailles et toicls des logis du monastère... » (1646. Fol. 26) ; – récit des funérailles de François de Péricard, évesque d'Èvreux : « Le dimanche dix-huitième jour de novembre 1646, Messire François de Péricard, évêque d'Évreux, estant décédé à Paris dez le 21° de juillet et son corps ayant reposé en la paroisse de Condé depuis ce temps-là, la cérémonie de l'inhumation a esté faite en l'ordre et la manière qui s'ensuit : le corps fut apporté de Condé dans un charriot, tiré par quatre chevaux, accompagné de quelques cavaliers et des frères de la Charité de Condé. Les chevaux estoient couverts de toile noire avec une grande croix blanche, les housses descendant jusqu'à terre. Le charriot couvert de cercles en guise de berceau, avoit aussi une croix noire croisée de blanc qui couvroit les roues. Le clergé avec les religieux mendians attendoit le corps au cimetière Dieu, lequel fust reçeu par monseigneur messire Jacques du Perron, évesque d'Angoulesme et nommé à l'évesché d'Évreux. La réception faite, on procéda à l'évesché, où le chariot fit seulement un tour dans la cour, et le convoy descendit par la porte de la Geole, passa par la porte au Febvre et continua jusque devant le cimetière de Saint-Gilles. Les religieux de Saint-Taurin attendoient le convoy à la barrière du cimetière... Le lendemain, sur les neuf heures, les corps de ville commencèrent à arriver. Messieurs du Présidial vinrent en corps jeter de l'eau béniste sur le cercueil et se retirèrent dans les chaires du chœur (de l'église Saint-Taurin), des deux costez ; les gens du Roy ensuite, qui se placèrent sur les bancs proche du grand autel du costé du dortoir, où se mirent aussi les eschevins de ville. Ceux de l'Élection n'y vindrent pas, à cause de leur débat pour la prœséance contre le Présidial... Il ne se trouva point de noblesse au convoy, d'autant que ceux du Présidial ne leur eussent pas voulu accorder le pas devant... Etc. » (Fol. 30-34) ; – enregistrement des lettres de nomination de dom Fabien Buteux en qualité de prieur de l'abbaye de Saint-Taurin (15 juin 1648) ; – id., de dom Joseph des Ormes, ancien prieur de l'abbaye de Bernay (16 août 1649) ; – protestation des religieux de Saint-Taurin contre le projet formé par Gilles Boutault, nommé évêque d'Évreux, de prendre possession de son évêché sans se conformer aux usages traditionnels : « Messire Gilles Boutault, évesque de cette ville d'Évreux, se dispose aujourd'huy sur les onze heures, contre les anciennes cérémonies et coustumes religieusement observées par tous ses prédécesseurs jusques à son prédécesseur immédiat, révérendissime Jacques Noël du Perron, décédé le 14° février 1649, de prendre possession de son évesché et faire son entrée en l'église cathédrale sans en avoir donné advis à ceux quiy ont intérêt et nommément aux religieux de cette abbaye de Saint-Taurin, qui ont droict suyvant leurs tiltres de le recevoir en cette abbaye la veille de son entrée solennelle, où il doibt coucher et estre défrayé avec sa suitte par monsieur l'abbé de ladite abbaye, pour le lendemain lui estre imposée la mitre de Saint-Taurin avec grandes cérémonies et prières et de là le conduire jusques près la porte de la grande église Nostre-Dame et le présenter et livrer avec harangue à Mrs les chanoines de ladite église assemblez en corps ; et la haquenée ou autre monture sur laquelle il doibt estre venu audit monastère, avec son anneau d'or, doibt demeurer au proffict de l'aumosnier de ladite abbaye, ou la somme de cinquante six escus, comme il est stipulé par les anciennes transactions ; toutes lesquelles cérémonies il veult obmettre et partir seulement de son évesché sans estre accompagné d'aucun... Etc. » (5 avril 1650. Fol. 50) ; – installation de dom Charles Robillard, prieur de l'abbaye (19 juillet 1651), – id., de dom Germain Friville, nouveau prieur (23 juin 1654) ; – délibération décidant de soumettre au supérieur général les propositions de la duchesse de Bouillon : « Son altesse madame de Bouillon avoit dessein de faire aporter le corps de feu monsieur le duc de Bouillon, son mari, en l'église dudit monastère et mesme vouloit y dresser un sepulchre pour ledit feu seigneur son mari, pour elle, messieurs ses enfans et toute leur postérité, ensemble de faire dresser une chapelle au dessus dudit sépulchre pour y mettre cinq corps sainctz que notre saint père le Pape luy a donné, estant à Rome... » (1655. Fol. 64). Acceptation par les religieux des propositions de la duchesse de Bouillon relatives à la sépulture de sa famille et à un don de 10,000 livres par elle fait à l'abbaye (1657. Fol. 71) ; – installations de dom Germain Ferrand (25 juin 1657) et de dom Laurens Hunault (15 juin 1660), nommés prieurs de l'abbaye ; – délibérations relatives aux difficultés survenues entre l'abbaye et le chapitre de la cathédrale à propos de la cérémonie des funérailles de Gilles Boutault, évêque d'Évreux, décédé à Paris le 11 mars (14-26 mars 1661. Fol. 82-84) ; – enregistrement des lettres de nomination de Claude Carrel (25juin 1667), de Charles Aubourg (26 mai 1670), de Pierre Richer (1l juin 1675), de Jacques Remy (28 mai 1681), de Pierre Lengigneur (31 mai 1682), d'Antoine Beaugendre (24 mai 1687), de Pierre Lengigneur (14 mai 1693), de Nicolas Asselin (15 juin 1696), de Gabriel Pouget (14juin 1699), de René Lâneau (1er juin 1708), prieurs de l'abbaye ; – délibération relative à un projet d'échange avec le duc de Bouillon, qui proposait « d'enclore dans l'enceinte du chasteau qu'il fait bastir à Navarre une espace de rivière appartenant à ce monastère, à condition de donner en échange cent livres de rente » (1682. Fol. 143) ; – projet d'un emprunt de 2,000 livres (15 juillet 1692) ; – consentement donné par les religieux à la translation des corps des membres de la famille de Bouillon inhumés dans l'église de l'abbaye : « Son Altesse éminentissime Monseigneur le cardinal de Bouillon estant venu quelques jours auparavant en ce monastère, où depuis environ quarante ans on avoit en depost les corps de feu monseigneur le duc de Bouillon, de madame la duchesse, ses père et mère, et ceux de plusieurs autres princes et princesses de leur famille, il avoit dit qu'il avoit pris résolution avec Monseigneur le duc de Bouillon, son frère aisné, de les transporter en l'abbaye de Cluny dont il estoit abbé et dont les comtes d'Auvergne, dont ils sont descendus, étoient les fondateurs ou bienfaiteurs insignes ; que pour cet effet, comme les corps n'étoient dans notre église qu'en dépost, ils prioient la communauté de souffrir qu'il les emportassent... » (14 septembre 1692. Fol. 175) ; – opposition formée par les religieux à l'établissement d'un tarif d'abonnement destiné à remplacer la taille et applicable aux privilégiés comme aux taillables de la ville d'Évreux, « les habitans manans taillables de la ville d'Évreux travaillans depuis quelque temps dans les assemblées de la maison de ville à régler » ledit tarif (31 août 1707. Fol. 206) ; – récit de la cérémonie des funérailles de Jacques Potier de Novion, évêque d'Évreux : [« Messire Jacques Potier de Novion, évesque d'Évreux, mourut le 14e d'octobre 1709, à 10 et demy du soir, dans son palais épiscopal ; il fut enlevé de ce monde par une fièvre violente qui ne dura que cinq jours. Comme il estoit fort et robuste, quoyqu'âgé de 64 ans ou environ, il creut que la bonté de son tempérament le tireroit d'affaire ; mais il fut trompé et mourut sans sacrements, au grand regret de tout son diocèse qu'il avoit gouverné pendant 27 ans dans une grande paix et avec beaucoup de vigilance... Toute la communauté (des religieux de Saint-Taurin) fut en procession avec la croix et l'eau bénite attendre le convoy à la porte de l'église, qu'on nomme la porte des Images... Les Capucins et Cordeliers estoient à la teste, les Jacobins suivoient, tous les curez de la ville avec le clergé marchoient après, et messieurs les chanoines, les derniers de tous, fermoient la marche ; ensuitte le corps de feu Mr l'Évesque estoit porté par les frères de la Charité, et les quatre coins du drap par quatre dignitez du chapitre. Le Présidial et toutes les justices de la ville marchoient en habits de cérémonie avec une infinité de peuple qui les suivoient.... (Fol. 211-212) ; – actes de profession de Martin Alleron et de Michel Orry, religieux profès de la congrégation de Cluny et de Saint-Maur (1645) ; – actes de réception et d'ajournements des postulants et des novices (1655-1657).

H809 , 1642-1711 , Auvergne (L') ; Cluny (abbaye de) ; Condé-sur-Iton ; Evreux (Abbayes) : ""La Porte-des-Images"", à l'église abbatiale de Saint-Taurin ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Evreux (Le Cimetière Dieu) ; Evreux (Paroisses d') : Saint-Gilles ; Saint-Maur (Congrégation de), à Saint-Taurin-d'Evreux  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Copies (fin du XVIIe et commencement du XVIIIe siècles) des titres de fondation et de donation concernant le couvent des Carmes de la Garde-Châtel. –. Donation par le Roi Louis XIV « aux pères Carmes déchaussés de la province de Paris, des deniers revenans bons par chacun an du domaine à nous rétrocédé du bailliage et vicomté de Bayeux, consistant en rentes de grains, poulies, chappons et oyseaux, deues par plusieurs particuliers à la recepte dudit domaine de Bayeux, le revenu desquelles choses monte à présent par chacun an à la somme de 1,710 livres 12 sols 10 deniers » (1656) ; – donation par le même aux mêmes « du lieu, bosquet et place appellée Garde-Châtel », pour y établir une maison de leur ordre (1658) ; – lettres de cachet adressées par le roi Louis XIV à Gilles Boutault, évêque d'Évreux, pour l'inviter à aller sans retard poser en son nom la première pierre du couvent : «... Vous avez receu ordre de moi et de la Reine madame ma mère de vous transporter au dit bois de Garde-Châtel pour y mettre la première pierre en mon nom en la fondation dudit Désert, et comme je désire que cet ouvrage qui regarde le service et la gloire de Dieu ne soit pas plus longtemps différé, je vous faits encore celle-cy pour vous dire que vous ayez incessamment et sans aucun délay à mettre en mon nom laditte première pierre à cette fondation... » (11 août 1660) ; – lettres de cachet adressées par la Reine mère à « Monsieur de Motteville, conseiller du Roy monsieur mon fils, son conseiller d'Estat et premier président en sa Chambre des Comptes de Rouen, au sujet de l'enregistrement des lettres de fondation de la Garde-Châtel : «... Je vous fais celle-cy pour vous dire qu'affectionnant ces bons religieux comme je fais pour la vie exemplaire qu'ils font, vous me ferés plaisir bien agréable d'employer l'authorité que vous donne vostre charge dans vostre Compagnie pour faire rendre à ces bons pères tous les meilleurs offices que vous pourrès en faisant procéder à l'enregistrement des dittes lettres patentes suivant la volonté du Roy, vous asseurant outre que vous ferès une œuvre bien agréable à Dieu ; je vous en sçauray gré, dont je me souviendray envers vous et les vostres, que je prie Dieu avoir, Monsieur de Motteville, en sa sainte et digne garde » (20 novembre 1660) ; –« procès-verbal de la bénédiction du Désert des Carmes déchaussés, faite par Monseigneur l'Évesque d'Évreux (Gilles Boutault) et de la première pierre par luy posée au nom du Roy le 20 aoust 1660 » ; – copies et extraits des fondations faites en faveur du couvent de la Garde-Châtel par Françoise d'Offigny, femme d'Anne Le Rlanc du Raulet, chevalier, seigneur de la Croisette, lieutenant pour Sa Majesté en Normandie pour le bailliage de Caen et gouverneur des villes et château de Caen et de Louviers (1660), Marie Touchard, fille de feu Pierre Touchard, marchand grossier, et de Jeanne Blossier (1664), Anne du Moutier, veuve de Marin Langlois, procureur en la Cour des Aides de Normandie (1665), Suzanne Raverdy, veuve de Martin des Mares, juré porteur de blé et bourgeois de Paris (1666), Jean de Cabazas, écuyer, fils et héritier en partie de Jean de Cabazas, écuyer, sieur de la Roque, originaire de la ville de Bayeux (1667), Antoine Mallet, bourgeois de Louviers (1668), Marie Bridau, M. Le Tanneur, ancien conseiller du Roi au Parlement de Metz, Antoine Varillon, chevalier, seigneur de Morangis, directeur des finances du Roi, Pierre Tiville, bourgeois de Paris, et Madeleine Simon, sa femme (1671), Jacques Barrin, conseiller du Roi, marquis de la Galissonnière, Alexandre Le Ragois de Bretonvillers, supérieur du séminaire de Saint-Sulpice (1672), Jacques Le Doux de Melleville, haut doyen de la cathédrale d'Évreux, Marie de Compans, veuve en premières noces de Charles Quatre-Hommes, sieur de Thionville, et en secondes noces de Guillaume Boucher, greffier en chef de la Cour des Aides de Paris, Nicolas-René Boucher, écuyer, greffier en chef de la Cour des Aides, et Marie Bannelier, sa femme, Jean Bannelier, commissaire honoraire au Châtelet de Paris, et Marguerite Bannelier, sa fille aînée (1673), Jean Levé, beau-père de M. Féron, grand-maître des Eaux-et-Forêts de Normandie (1687-1696), Catherine de Heudebert, veuve d'Isambert Sauer, écuyer, sieur de la Houssaye, trésorier de France à Rouen (1704), François Le Febvre, prêtre, chanoine et trésorier honoraire d'Écouis, demeurant à Paris (1705), « haute et puissante damoiselle » Pulchérie de Rrouilly de Wartigny (1706), etc.. – copies de titres concernant les droits des seigneurs d'Écrosville dans la forêt de Bord (1326-1639).

H1059 , 1326-1706 , Caën ; Croisette (fief de la) ; Ecouis (Collégiale d') ; Ecrosville (fief d') ; Evreux (Chapitre d') ; Galissonnière (La), Marquisat ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Houssaye (fief de la) ; Louviers ; Metz ; Paris (Séminaire Saint-Sulpice de) ; Paris (ville) ; Rouen (ville) ; Thionville  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Carmes de la Garde-Châtel

Copies (fin du XVIIe et commencement du XVIIIe siècles) des titres de fondation et de donation concernant le couvent des Carmes de la Garde-Châtel. –. Donation par le Roi Louis XIV « aux pères Carmes déchaussés de la province de Paris, des deniers revenans bons par chacun an du domaine à nous rétrocédé du bailliage et vicomté de Bayeux, consistant en rentes de grains, poulies, chappons et oyseaux, deues par plusieurs particuliers à la recepte dudit domaine de Bayeux, le revenu desquelles choses monte à présent par chacun an à la somme de 1,710 livres 12 sols 10 deniers » (1656) ; – donation par le même aux mêmes « du lieu, bosquet et place appellée Garde-Châtel », pour y établir une maison de leur ordre (1658) ; – lettres de cachet adressées par le roi Louis XIV à Gilles Boutault, évêque d'Évreux, pour l'inviter à aller sans retard poser en son nom la première pierre du couvent : «... Vous avez receu ordre de moi et de la Reine madame ma mère de vous transporter au dit bois de Garde-Châtel pour y mettre la première pierre en mon nom en la fondation dudit Désert, et comme je désire que cet ouvrage qui regarde le service et la gloire de Dieu ne soit pas plus longtemps différé, je vous faits encore celle-cy pour vous dire que vous ayez incessamment et sans aucun délay à mettre en mon nom laditte première pierre à cette fondation... » (11 août 1660) ; – lettres de cachet adressées par la Reine mère à « Monsieur de Motteville, conseiller du Roy monsieur mon fils, son conseiller d'Estat et premier président en sa Chambre des Comptes de Rouen, au sujet de l'enregistrement des lettres de fondation de la Garde-Châtel : «... Je vous fais celle-cy pour vous dire qu'affectionnant ces bons religieux comme je fais pour la vie exemplaire qu'ils font, vous me ferés plaisir bien agréable d'employer l'authorité que vous donne vostre charge dans vostre Compagnie pour faire rendre à ces bons pères tous les meilleurs offices que vous pourrès en faisant procéder à l'enregistrement des dittes lettres patentes suivant la volonté du Roy, vous asseurant outre que vous ferès une œuvre bien agréable à Dieu ; je vous en sçauray gré, dont je me souviendray envers vous et les vostres, que je prie Dieu avoir, Monsieur de Motteville, en sa sainte et digne garde » (20 novembre 1660) ; –« procès-verbal de la bénédiction du Désert des Carmes déchaussés, faite par Monseigneur l'Évesque d'Évreux (Gilles Boutault) et de la première pierre par luy posée au nom du Roy le 20 aoust 1660 » ; – copies et extraits des fondations faites en faveur du couvent de la Garde-Châtel par Françoise d'Offigny, femme d'Anne Le Rlanc du Raulet, chevalier, seigneur de la Croisette, lieutenant pour Sa Majesté en Normandie pour le bailliage de Caen et gouverneur des villes et château de Caen et de Louviers (1660), Marie Touchard, fille de feu Pierre Touchard, marchand grossier, et de Jeanne Blossier (1664), Anne du Moutier, veuve de Marin Langlois, procureur en la Cour des Aides de Normandie (1665), Suzanne Raverdy, veuve de Martin des Mares, juré porteur de blé et bourgeois de Paris (1666), Jean de Cabazas, écuyer, fils et héritier en partie de Jean de Cabazas, écuyer, sieur de la Roque, originaire de la ville de Bayeux (1667), Antoine Mallet, bourgeois de Louviers (1668), Marie Bridau, M. Le Tanneur, ancien conseiller du Roi au Parlement de Metz, Antoine Varillon, chevalier, seigneur de Morangis, directeur des finances du Roi, Pierre Tiville, bourgeois de Paris, et Madeleine Simon, sa femme (1671), Jacques Barrin, conseiller du Roi, marquis de la Galissonnière, Alexandre Le Ragois de Bretonvillers, supérieur du séminaire de Saint-Sulpice (1672), Jacques Le Doux de Melleville, haut doyen de la cathédrale d'Évreux, Marie de Compans, veuve en premières noces de Charles Quatre-Hommes, sieur de Thionville, et en secondes noces de Guillaume Boucher, greffier en chef de la Cour des Aides de Paris, Nicolas-René Boucher, écuyer, greffier en chef de la Cour des Aides, et Marie Bannelier, sa femme, Jean Bannelier, commissaire honoraire au Châtelet de Paris, et Marguerite Bannelier, sa fille aînée (1673), Jean Levé, beau-père de M. Féron, grand-maître des Eaux-et-Forêts de Normandie (1687-1696), Catherine de Heudebert, veuve d'Isambert Sauer, écuyer, sieur de la Houssaye, trésorier de France à Rouen (1704), François Le Febvre, prêtre, chanoine et trésorier honoraire d'Écouis, demeurant à Paris (1705), « haute et puissante damoiselle » Pulchérie de Rrouilly de Wartigny (1706), etc.. – copies de titres concernant les droits des seigneurs d'Écrosville dans la forêt de Bord (1326-1639).

H1059 , 1326-1706 , Caën ; Croisette (fief de la) ; Ecouis (Collégiale d') ; Ecrosville (fief d') ; Evreux (Chapitre d') ; Galissonnière (La), Marquisat ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Houssaye (fief de la) ; Louviers ; Metz ; Paris (Séminaire Saint-Sulpice de) ; Paris (ville) ; Rouen (ville) ; Thionville  
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Couvents et communautés d'hommes > Carmes de la Garde-Châtel
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