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Lettres de confirmation et de prolongation pour une durée de neuf années, accordées par Henri IV aux Cordeliers d'Évreux, « du don et aumosne que leur avons cy-devant fait du nombre et quantité de trente cordes de boys mort, tant hestre que chesne, à prendre et avoir en nostre forest dudit Évreux, Haye-Le-Conte et Haye-Richer, pour leur chauffage et provision, le tout ainsi que le contiennent nos lettres dudit don et aumosne données à Mantes le troisiesme de febvrier Ve IIII M quatorze » (1600) ; – mandements de délivrance des trente cordes de bois de chauffage que les Cordeliers avaient le droit de prendre chaque année dans la forêt d'Évreux (1607-1687).

H1157 , 1596-1687 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Evreux (Abbayes) : Cordeliers (Couvent des) ; Haye-le-Comte (Forêt de la) ; Haye-Richer (La) ; Mantes  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Cordeliers d'Évreux

Lettres de confirmation et de prolongation pour une durée de neuf années, accordées par Henri IV aux Cordeliers d'Évreux, « du don et aumosne que leur avons cy-devant fait du nombre et quantité de trente cordes de boys mort, tant hestre que chesne, à prendre et avoir en nostre forest dudit Évreux, Haye-Le-Conte et Haye-Richer, pour leur chauffage et provision, le tout ainsi que le contiennent nos lettres dudit don et aumosne données à Mantes le troisiesme de febvrier Ve IIII M quatorze » (1600) ; – mandements de délivrance des trente cordes de bois de chauffage que les Cordeliers avaient le droit de prendre chaque année dans la forêt d'Évreux (1607-1687).

H1157 , 1596-1687 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Evreux (Abbayes) : Cordeliers (Couvent des) ; Haye-le-Comte (Forêt de la) ; Haye-Richer (La) ; Mantes  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Cordeliers d'Évreux

Copies collationnées (XVIIe siècle) de la confirmation des biens du prieuré des Deux-Amants par Hugues III d'Amiens, archevêque de Rouen (s.d. 1146-1150) ; – confirmation générale des biens du prieuré par Gautier de Coutances, archevêque de Rouen (1207) ; – copies collationnées (XVIIe siècle) des lettres patentes de Henri IV, du 17 janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, autorisant le retrait des biens du prieuré autrefois aliénés, donnés à fieffe ou à bail emphytéotique, « ce qui a grandement diminué le revenu dudit prieuré, avec l'incendie et bruslement des bastimens d'iceluy advenus en l'année 1593 », – des lettres du même roi, de janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, confirmant les droits, franchises et libertés du prieuré : «... D'autant que par la violence et confusion tant des premiers troubles et sièges de nostre ville de Rouen de l'année mil cinq cens soixante et deux, que les derniers advenus en ce royaume, et mesme par l'incendie et bruslement dudit lieu des Deux Amans en l'année mil cinq cens quatre vingt traize, seroit arrivé perte de la plus grande et meilleure partie de leurs Chartres, tiltres, papiers et enseignemens, outre celle des bastimens et autres choses dépendantes du dit prieuré, estimé à dix mille escus et plus,... Nous avons les dits prieur, religieux et couvent continuez et confirmez, continuons et confirmons par ces présentes en touts les dits droits, franchises et libertés qu'ils monstreront tant par les dites Chartres, tiltres et enseignemens qui leur peuvent rester que par les anciens baux à ferme, papiers, journaux de recepte et autrement, avoir appartenu à leurs prédécesseurs prieurs et religieux à cause de leur dit prieuré des Deux Amans. ».

H846 , XIIe-1603 , Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré des Deux-Amants

Copies collationnées (XVIIe siècle) de la confirmation des biens du prieuré des Deux-Amants par Hugues III d'Amiens, archevêque de Rouen (s.d. 1146-1150) ; – confirmation générale des biens du prieuré par Gautier de Coutances, archevêque de Rouen (1207) ; – copies collationnées (XVIIe siècle) des lettres patentes de Henri IV, du 17 janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, autorisant le retrait des biens du prieuré autrefois aliénés, donnés à fieffe ou à bail emphytéotique, « ce qui a grandement diminué le revenu dudit prieuré, avec l'incendie et bruslement des bastimens d'iceluy advenus en l'année 1593 », – des lettres du même roi, de janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, confirmant les droits, franchises et libertés du prieuré : «... D'autant que par la violence et confusion tant des premiers troubles et sièges de nostre ville de Rouen de l'année mil cinq cens soixante et deux, que les derniers advenus en ce royaume, et mesme par l'incendie et bruslement dudit lieu des Deux Amans en l'année mil cinq cens quatre vingt traize, seroit arrivé perte de la plus grande et meilleure partie de leurs Chartres, tiltres, papiers et enseignemens, outre celle des bastimens et autres choses dépendantes du dit prieuré, estimé à dix mille escus et plus,... Nous avons les dits prieur, religieux et couvent continuez et confirmez, continuons et confirmons par ces présentes en touts les dits droits, franchises et libertés qu'ils monstreront tant par les dites Chartres, tiltres et enseignemens qui leur peuvent rester que par les anciens baux à ferme, papiers, journaux de recepte et autrement, avoir appartenu à leurs prédécesseurs prieurs et religieux à cause de leur dit prieuré des Deux Amans. ».

H846 , XIIe-1603 , Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré des Deux-Amants

Déclarations des biens et des revenus de la Chartreuse : –« déclaration du temporel de la Chartreuse de Bourbon lez Gaillon, sous le titre de Notre Dame de Bonne Espérance et fondation royalle, diocèse d'Évreux, scituée dans le comté de Gisors, en la châtellenie et haute-justice de Gaillon, que donnent au Roy et à nos seigneurs de la Chambre des Comptes les prieur et religieux de ladite Chartreuse, tant au droit de leur fondation faite en l'année 1571 par haut et puissant prince Charles de Bourbon, cardinal légat d'Avignon et archevêque de Rouen que comme possédant, par la concession du roy Henry quatrième, conjointement avec la Chartreuse de Saint Julien lez Rouen, les biens de l'abbaye de Sainte-Catherine, sçavoir, ladite Chartreuse de Bourbon la manse abbatiale de ladite abbaye, et ladite chartreuse de Saint-Julien la manse conventuelle, la présente déclaration suivant et conformément à l'Arrest du Conseil d'État de Sa Majesté du 19 décembre 1673, ainsy qu'il ensuit,... » etc.

H1085 , 1674-1689 , Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Sainte-Catherine (abbaye de) sise à Rouen ; Saint-Julien-les-Rouen (Chartreuse de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Déclarations des biens et des revenus de la Chartreuse : –« déclaration du temporel de la Chartreuse de Bourbon lez Gaillon, sous le titre de Notre Dame de Bonne Espérance et fondation royalle, diocèse d'Évreux, scituée dans le comté de Gisors, en la châtellenie et haute-justice de Gaillon, que donnent au Roy et à nos seigneurs de la Chambre des Comptes les prieur et religieux de ladite Chartreuse, tant au droit de leur fondation faite en l'année 1571 par haut et puissant prince Charles de Bourbon, cardinal légat d'Avignon et archevêque de Rouen que comme possédant, par la concession du roy Henry quatrième, conjointement avec la Chartreuse de Saint Julien lez Rouen, les biens de l'abbaye de Sainte-Catherine, sçavoir, ladite Chartreuse de Bourbon la manse abbatiale de ladite abbaye, et ladite chartreuse de Saint-Julien la manse conventuelle, la présente déclaration suivant et conformément à l'Arrest du Conseil d'État de Sa Majesté du 19 décembre 1673, ainsy qu'il ensuit,... » etc.

H1085 , 1674-1689 , Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Sainte-Catherine (abbaye de) sise à Rouen ; Saint-Julien-les-Rouen (Chartreuse de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Attestation délivrée par les maire, échevins et principaux bourgeois et habitants de la ville de Verneuil pour constater « que le monastère et abbeye instituée et bastie en la parroisse et église de Sainct Nicolas de ladicte ville depuis le vingt-cinquiesme mars 1627 de filles de l'ordre de Sainct Benoist, à présent composée de quarante quatre à quarante cinq filles, tant de chœur que sœurs laicques consacrées au service de Dieu et vivant pieusement dans ladicte abbaye soubs la direction de la dame leur abbesse, sœur Scholastique de Rouxel de Médavy, très-digne sœur de Monsieur l'Évesque de Sées et de Monseigneur de Grançay, mareschal de France, ne possède pour faire subsister temporellement ledict nombre de quarante-cinq religieuses, les entretenir de chapellains, confesseurs et prédicateurs selon leur reigle et tenir les édifices de ladicte abbaye en suffisante réparation que environ mil livres de rente en plusieurs petites parties constituées et affermées, desquelles en la plus part ne se perçoit aucun payement par ladicte abbeye, avec la jouissance du revenu du domaine royal en ladicte vicomté de Vernueil, en la portion seulement qui a esté engagée par feu d'heureuse mémoire le roy Henri quattrième au sieur baron de Médavy, père de ladicte dame abbesse de Sainct-Nicolas de Vernueil... Etc. » (1650) ; — requête adressée à l'évêque d'Évreux par sœur Scolastique de Rouxel de Médavy, abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil, et autorisation conforme de l'évêque : « veu la susdite requeste et la fondation faite par Me Michel Allart, prebtre de nostre diocèse, avons permis à Madame l'abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil d'exposer le Saint-Sacrement de l'autel pendant la messe et pendant la litanie qui se dira tous les jeudis dans l'église de Saint-Nicolas dudit Verneuil, suivant et conformément à l'intention du fondateur. Fait à Condé ce quatriesme novembre 1657 ». Signé : « Gilles, E. d'Évreux ».

H1340 , 1650-1657 , Condé-sur-Iton ; Pacy (abbaye de N.-D. de) ; Séez ; Verneuil-sur-Avre (Abbaye de Saint-Nicolas) ; Verneuil-sur-Avre (Paroisse Saint-Nicolas de)  

Attestation délivrée par les maire, échevins et principaux bourgeois et habitants de la ville de Verneuil pour constater « que le monastère et abbeye instituée et bastie en la parroisse et église de Sainct Nicolas de ladicte ville depuis le vingt-cinquiesme mars 1627 de filles de l'ordre de Sainct Benoist, à présent composée de quarante quatre à quarante cinq filles, tant de chœur que sœurs laicques consacrées au service de Dieu et vivant pieusement dans ladicte abbaye soubs la direction de la dame leur abbesse, sœur Scholastique de Rouxel de Médavy, très-digne sœur de Monsieur l'Évesque de Sées et de Monseigneur de Grançay, mareschal de France, ne possède pour faire subsister temporellement ledict nombre de quarante-cinq religieuses, les entretenir de chapellains, confesseurs et prédicateurs selon leur reigle et tenir les édifices de ladicte abbaye en suffisante réparation que environ mil livres de rente en plusieurs petites parties constituées et affermées, desquelles en la plus part ne se perçoit aucun payement par ladicte abbeye, avec la jouissance du revenu du domaine royal en ladicte vicomté de Vernueil, en la portion seulement qui a esté engagée par feu d'heureuse mémoire le roy Henri quattrième au sieur baron de Médavy, père de ladicte dame abbesse de Sainct-Nicolas de Vernueil... Etc. » (1650) ; — requête adressée à l'évêque d'Évreux par sœur Scolastique de Rouxel de Médavy, abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil, et autorisation conforme de l'évêque : « veu la susdite requeste et la fondation faite par Me Michel Allart, prebtre de nostre diocèse, avons permis à Madame l'abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil d'exposer le Saint-Sacrement de l'autel pendant la messe et pendant la litanie qui se dira tous les jeudis dans l'église de Saint-Nicolas dudit Verneuil, suivant et conformément à l'intention du fondateur. Fait à Condé ce quatriesme novembre 1657 ». Signé : « Gilles, E. d'Évreux ».

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil et Abbaye de Notre-Dame de Pacy, y réunie (Ordre de Saint-Benoît)

Attestation délivrée par les maire, échevins et principaux bourgeois et habitants de la ville de Verneuil pour constater « que le monastère et abbeye instituée et bastie en la parroisse et église de Sainct Nicolas de ladicte ville depuis le vingt-cinquiesme mars 1627 de filles de l'ordre de Sainct Benoist, à présent composée de quarante quatre à quarante cinq filles, tant de chœur que sœurs laicques consacrées au service de Dieu et vivant pieusement dans ladicte abbaye soubs la direction de la dame leur abbesse, sœur Scholastique de Rouxel de Médavy, très-digne sœur de Monsieur l'Évesque de Sées et de Monseigneur de Grançay, mareschal de France, ne possède pour faire subsister temporellement ledict nombre de quarante-cinq religieuses, les entretenir de chapellains, confesseurs et prédicateurs selon leur reigle et tenir les édifices de ladicte abbaye en suffisante réparation que environ mil livres de rente en plusieurs petites parties constituées et affermées, desquelles en la plus part ne se perçoit aucun payement par ladicte abbeye, avec la jouissance du revenu du domaine royal en ladicte vicomté de Vernueil, en la portion seulement qui a esté engagée par feu d'heureuse mémoire le roy Henri quattrième au sieur baron de Médavy, père de ladicte dame abbesse de Sainct-Nicolas de Vernueil... Etc. » (1650) ; — requête adressée à l'évêque d'Évreux par sœur Scolastique de Rouxel de Médavy, abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil, et autorisation conforme de l'évêque : « veu la susdite requeste et la fondation faite par Me Michel Allart, prebtre de nostre diocèse, avons permis à Madame l'abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil d'exposer le Saint-Sacrement de l'autel pendant la messe et pendant la litanie qui se dira tous les jeudis dans l'église de Saint-Nicolas dudit Verneuil, suivant et conformément à l'intention du fondateur. Fait à Condé ce quatriesme novembre 1657 ». Signé : « Gilles, E. d'Évreux ».

H1340 , 1650-1657 , Condé-sur-Iton ; Pacy (abbaye de N.-D. de) ; Séez ; Verneuil-sur-Avre (Abbaye de Saint-Nicolas) ; Verneuil-sur-Avre (Paroisse Saint-Nicolas de)  

Attestation délivrée par les maire, échevins et principaux bourgeois et habitants de la ville de Verneuil pour constater « que le monastère et abbeye instituée et bastie en la parroisse et église de Sainct Nicolas de ladicte ville depuis le vingt-cinquiesme mars 1627 de filles de l'ordre de Sainct Benoist, à présent composée de quarante quatre à quarante cinq filles, tant de chœur que sœurs laicques consacrées au service de Dieu et vivant pieusement dans ladicte abbaye soubs la direction de la dame leur abbesse, sœur Scholastique de Rouxel de Médavy, très-digne sœur de Monsieur l'Évesque de Sées et de Monseigneur de Grançay, mareschal de France, ne possède pour faire subsister temporellement ledict nombre de quarante-cinq religieuses, les entretenir de chapellains, confesseurs et prédicateurs selon leur reigle et tenir les édifices de ladicte abbaye en suffisante réparation que environ mil livres de rente en plusieurs petites parties constituées et affermées, desquelles en la plus part ne se perçoit aucun payement par ladicte abbeye, avec la jouissance du revenu du domaine royal en ladicte vicomté de Vernueil, en la portion seulement qui a esté engagée par feu d'heureuse mémoire le roy Henri quattrième au sieur baron de Médavy, père de ladicte dame abbesse de Sainct-Nicolas de Vernueil... Etc. » (1650) ; — requête adressée à l'évêque d'Évreux par sœur Scolastique de Rouxel de Médavy, abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil, et autorisation conforme de l'évêque : « veu la susdite requeste et la fondation faite par Me Michel Allart, prebtre de nostre diocèse, avons permis à Madame l'abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil d'exposer le Saint-Sacrement de l'autel pendant la messe et pendant la litanie qui se dira tous les jeudis dans l'église de Saint-Nicolas dudit Verneuil, suivant et conformément à l'intention du fondateur. Fait à Condé ce quatriesme novembre 1657 ». Signé : « Gilles, E. d'Évreux ».

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil et Abbaye de Notre-Dame de Pacy, y réunie (Ordre de Saint-Benoît)

Cartulaire de la Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon. Ce cartulaire comprend deux parties distinctes. La première, subdivisée elle-même en trois parties, occupe les feuillets 1 à 357 et porte le titre suivant : « Cartulaire de la Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon contenant les titres de sa fondation, dotation et augmentation, divisé en trois parties dont la première contient les titres de sa fondation et des acquisitions faites avant l'union. De l'abbaye de Sainte-Catherine, c'est-à-dire depuis 1571 jusqu'à 1591, durant 20 ans ; la seconde partie est divisée en deux chapitres, dont le premier contient les titres de l'union de laditte abaye et le second les titres des biens de la mense abbatiale demeurez à ladite Chartreuse, qui sont les biens de la dotation ; la troisième partie contient les titres des acquisitions faites depuis laditte union jusqu'à présent, qui sont les titres de son augmentation ; avec deux tables, dont la première est celle des titres rengez selon qu'ils sont dans ce livre, qui est l'ordre de la chronologie, autant qu'on a pu le garder (on n'a pas jugé à propos de faire cette table, parce que l'on a trouvé plus commode de suivre l'ordre que l'on a gardé dans la déclaration générale des biens de la Chartreuse donnée à la Chambre des comptes le 11 mars 1675) ; la seconde table, par ordre alphabétique, est celle des héritages, droits, privilèges et autres biens contenus dans ces mêmes titres. Commencé par le soussigné, religieux, coadjutateur et garde des archives de la ditte Chartreuse, le 7 juillet 1705. Frère Calliste Clarentin ». Cette première partie contient deux rédactions différentes, la compilation de dom Calliste, interrompue à la page 464, ayant été poursuivie après sa mort par un continuateur anonyme qui a inscrit à la fin de son travail, terminé en 1718, la réflexion suivante (p. 644) : « Cum feceritis omnia quae pracepta sunt vobis, dicite : servi inutiles sumus ; quod debuimus facere fecimus. » La seconde partie du Cartulaire et la plus ancienne comme date de rédaction occupe les feuillets 365 à 390 et comprend les transcriptions de quinze documents, de 1571 à 1579, intéressant la fondation et la première dotation de la Chartreuse. Dom Calliste Clarentin a fait précéder cette seconde partie de la note suivante : « Le R. P. D. Ogier commença ce cartulaire le 16 May 1576, estant procureur, comme il paroist cy-après. Mais quoy qu'il ait demeuré encore quinze ans dans la même charge, il n'en a fait que fort peu de chose, empesché apparemment par les grandes et difficiles affaires de ce temps-là. J'avois dessein de le continuer pour me servir de ce qui estoit desjà fait. Mais j'ay trouvé plus à propos d'en commencer un nouveau. Et parce que n'y mettray pas la pluspart des titres qui sont dans celuy-cy, j'en ay fait la table suivante, afin qu'on les puisse trouver plus facilement... » Les principales divisions du cartulaire de Dom Calliste sont les suivantes : Première partie : « Titres de la fondation de la Chartreuse (p. 5) ; union du prieuré de Saint-Pierre-de-Launay (p. 15) ; Saint-Germain-de-Paulbourg, hameau de la paroisse de Morgny, dans le bailliage de Gisors, vicomté et doyenné de Lions (p. 33) ; union du prieuré de Saint-Pierre de Geneville, membre dépendant de l'abbaye de Jumièges, situé dans l'archevesché de Rouen, grand vicariat de Pontoise, doyenné de Magny (p. 48) ; union de la chapelle Saint-Fiacre, située dans la paroisse d'Aubevoye, diocèse d'É-veux, doyenné de la Croix, et pour le temporel dans la justice seigneuriale de Gaillon et par appel aux Grands-Jours à Rouen, qui est la justice de l'Archevesché, dont on appelle ensuite au Parlement (p. 92) ; église et vignes de Bethléem à Aubevoye (p. 101) ; union du prieuré de la chapelle de Sainte-Austreberte-en-Bray, membre dépendant de l'abbaye de Sainte-Catherine, ladite chapelle fondée à l'honneur de la Sainte-Trinité dans l'évesché et comté de Beauvais et le vidamé de Gerberoy, au quartier du Bray, dont on l'appelle la Chapelle-en-Bray, et plus communément la Capelle-aux-Pots à cause de la quantité de poterie de grets que l'on y fait (p. 125) ; union du prieuré de Sainte-Catherine de Bisi, membre dépendant de la mense abbatiale de l'abbaye de Sainte-Catherine, situé au village de Bisi près Vernon (p. 152) ; dons et privilèges accordez à la Chartreuse par les rois de France (p. 166) ; titres du don du bois du Breuil (le bois du Breuil est dans les paroisses de Courcelles et de Bouafles, maîtrise de Vernon et Andeli) (p. 173) ; acquisition du Bois-Jean (p. 186) ; bois de la Chartreuse en général (p. 188) ; amortissement des biens de la Chartreuse (p. 194) ; droits et privilèges divers (p. 206) ; titres de l'acquisition de la seigneurie de Courcelles (p. 240) ; Port-Mort et la Rocque (pré de l'Ile-aux-Vaches, etc. (p. 273). Seconde partie : Union de l'abbaye de Sainte-Catherine (pourquoy l'on a si peu d'anciens papiers de l'abbaye de Sainte-Catherine, c'est que, en 1562, le fort de Sainte-Catherine qui estoit sur la montagne proche de Rouen, aussi bien que le monastère, furent assiégez et pris sur les protestants par l'armée royale. Dans les troubles suivans qui durèrent sous les règnes de Charles IX, Henry III et Henry IV, laditte abbaye ainsi que la ville furent occupées par les parties contraires et ce fut dans ce temps que les biens et les papiers furent pillez et dissipez (p. 288) ; titres généraux (le plus ancien titre que nous ayons de la fondation de l'abbaye de Sainte-Catherine est un cahier en parchemin in-folio, en latin, contenant 40 pages, couvert d'une estofe de soye jaune ouvragée d'une manière fort antique, qui contient en 93 articles toutes les donations faites à ladite abbaye depuis l'an 1030 jusqu'en l'an 1100, avec toutes les acquisitions faites par les abbez de Sainte-Catherine pendant le mesme temps (p. 305) ; Auteverne (p. 314) ; Cahaignes, Requiécourt et Fours (p. 337) ; Gisancourt (p. 345) ; Chauvincourt (p. 347) ; Bretonville (p. 351) ; Boisemont-1'Abbaye (p. 355) : Bourbaudouin (p. 375) ; Bois-l'Évesque (p. 377) ; Anceaumeville (p. 380) ; baronie de Gruchy (p. 385) ; le Tot (p. 391) ; Monville (p. 395) ; Ellètes (p. 403) Saussay (p. 406) ; Ronfugère (p. 411) ; Auzonville (p. 413) ; Limesi (p. 417) ; Pavilly (p. 420) ; Boiguillaume (p. 421) ; maison de Rouen (p. 424) ; Caudecoste, Dieppe, Appeville (p. 426) ; Muchedent (p. 443) ; Anglesqueville-sur-Sanne (p. 445) ; Cannehen (p. 449) ; Saint-Sulpice-le-Gaillard (p. 459) ; Sanroy, hameau de Touffreville (p. 460) ; Fontaine-le-Dun (p. 460) ; Carville, Limanville et Boscadam (p. 463) ; Blacqueville (p. 483) ; Flamenville (p. 492) ; Criquetot-L'Esneval et Anglesqueville (p. 497) ; Saint-Vincent-de-Nogent près le Neufchâtel (p. 505) ; Montcanchy (p. 526) ; Gravigny (p. 532) ; Giverville (p. 543) ; Branville (p. 556) ; Manne-ville-l'Egarée (p. 563). Troisième partie : (acquisitions faites depuis l'union de l'abbaye de Sainte-Catherine) : droit de pêche sous la grande arche du pont de Vernon (p. 567) ; acquisition des héritages de M. Jean Bruneval dans la vicomté de Montivilliers (p. 572) ; Fontenay et Rolleville (p. 577) ; Sainle-Marie-au-Bosc (p. 578) ; Beaurepaire (p. 582) ; Angerville, Graimbouville (p. 583) ; Le Tilleul (p. 585) ; Boisemont et Frenelles (p. 591) ; titres des patronages » (p. 624).

H1144 , XVIe-XVIIIe siècles , Anceumeville ; Andelys (Les) ; Angerville-l'Orcher ; Anglesqueville-sur-Saone ; Appeville, dit ; Authevernes ; Auzonville ; Beaurepaire ; Beauvais ; Bethéem (égise en vigne de) sises à Aubevoye ; Bisy, près Vernon ; Blacqueville ; Boisemont (Abbaye de) ; Bois-Guillaume ; Bois-Jean (Le) ; Bois-l'Evêque ; Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Bourg-Baudoin (Le) ; Bramville-en-Auge ; Bretonville ; Breuil (le Bois du), sis à Courcelles-en-Bouafles ; Cahaignes ; Capelle-aux-Pots (au Pays de Bray) ; Carville ; Caudecoste ; Chauvincourt ; Courcelles ; Criquetot-l'Esneval ; Dieppe ; Ellètes ; Flamenville ; Fontaine-le-Oury ; Fontenay ; Fours ; Frenelles (hameau de), situé à Boisemont ; Gerberoy-en-Bray (fief de) ; Gisancourt ; Gisors ; Giverville ; Graimbouville ; Gravigny ; Gruchy ; Ile-aux-Vaches (Pré de l') ; Junnièges (Abbaye de) ; Limanville ; Limési ; Lyons-la-Forêt ; Manneville-l'Egarée ; Mont-Canchy ; Montivilliers ; Monville ; Mouchedent ou Muchedent ; Pavilly ; Pontoise ; Requiécourt ; Rocque (fief de la) ; Rolleville ; Ronfugère ; Rouen (Parlement de) ; Rouen, Abbaye de Sainte-Catherine ; Sainte-Austreberte-en-Bray (Chapelle de) ; Sainte-Marie-au-Bosc (triège de), sis au Tilleul ; Saint-Fiacre (Chapelle), située à Aubevoye ; Saint-Pierre-de-Geneville (Prieuré de), près Magny ; Saint-Pierre-de-Launay (Prieuré de) ; Saint-Sulpice-le-Gaillard ; Saint-Vincent-de-Nogent, près Neufchâtel ; Sanroy (hameau de), sis à Touffreville ; Saussay (Le) ; Tilleul (Le) ; Tot (Le) ; Touffreville ; Vernon (Ville de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Cartulaire de la Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon. Ce cartulaire comprend deux parties distinctes. La première, subdivisée elle-même en trois parties, occupe les feuillets 1 à 357 et porte le titre suivant : « Cartulaire de la Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon contenant les titres de sa fondation, dotation et augmentation, divisé en trois parties dont la première contient les titres de sa fondation et des acquisitions faites avant l'union. De l'abbaye de Sainte-Catherine, c'est-à-dire depuis 1571 jusqu'à 1591, durant 20 ans ; la seconde partie est divisée en deux chapitres, dont le premier contient les titres de l'union de laditte abaye et le second les titres des biens de la mense abbatiale demeurez à ladite Chartreuse, qui sont les biens de la dotation ; la troisième partie contient les titres des acquisitions faites depuis laditte union jusqu'à présent, qui sont les titres de son augmentation ; avec deux tables, dont la première est celle des titres rengez selon qu'ils sont dans ce livre, qui est l'ordre de la chronologie, autant qu'on a pu le garder (on n'a pas jugé à propos de faire cette table, parce que l'on a trouvé plus commode de suivre l'ordre que l'on a gardé dans la déclaration générale des biens de la Chartreuse donnée à la Chambre des comptes le 11 mars 1675) ; la seconde table, par ordre alphabétique, est celle des héritages, droits, privilèges et autres biens contenus dans ces mêmes titres. Commencé par le soussigné, religieux, coadjutateur et garde des archives de la ditte Chartreuse, le 7 juillet 1705. Frère Calliste Clarentin ». Cette première partie contient deux rédactions différentes, la compilation de dom Calliste, interrompue à la page 464, ayant été poursuivie après sa mort par un continuateur anonyme qui a inscrit à la fin de son travail, terminé en 1718, la réflexion suivante (p. 644) : « Cum feceritis omnia quae pracepta sunt vobis, dicite : servi inutiles sumus ; quod debuimus facere fecimus. » La seconde partie du Cartulaire et la plus ancienne comme date de rédaction occupe les feuillets 365 à 390 et comprend les transcriptions de quinze documents, de 1571 à 1579, intéressant la fondation et la première dotation de la Chartreuse. Dom Calliste Clarentin a fait précéder cette seconde partie de la note suivante : « Le R. P. D. Ogier commença ce cartulaire le 16 May 1576, estant procureur, comme il paroist cy-après. Mais quoy qu'il ait demeuré encore quinze ans dans la même charge, il n'en a fait que fort peu de chose, empesché apparemment par les grandes et difficiles affaires de ce temps-là. J'avois dessein de le continuer pour me servir de ce qui estoit desjà fait. Mais j'ay trouvé plus à propos d'en commencer un nouveau. Et parce que n'y mettray pas la pluspart des titres qui sont dans celuy-cy, j'en ay fait la table suivante, afin qu'on les puisse trouver plus facilement... » Les principales divisions du cartulaire de Dom Calliste sont les suivantes : Première partie : « Titres de la fondation de la Chartreuse (p. 5) ; union du prieuré de Saint-Pierre-de-Launay (p. 15) ; Saint-Germain-de-Paulbourg, hameau de la paroisse de Morgny, dans le bailliage de Gisors, vicomté et doyenné de Lions (p. 33) ; union du prieuré de Saint-Pierre de Geneville, membre dépendant de l'abbaye de Jumièges, situé dans l'archevesché de Rouen, grand vicariat de Pontoise, doyenné de Magny (p. 48) ; union de la chapelle Saint-Fiacre, située dans la paroisse d'Aubevoye, diocèse d'É-veux, doyenné de la Croix, et pour le temporel dans la justice seigneuriale de Gaillon et par appel aux Grands-Jours à Rouen, qui est la justice de l'Archevesché, dont on appelle ensuite au Parlement (p. 92) ; église et vignes de Bethléem à Aubevoye (p. 101) ; union du prieuré de la chapelle de Sainte-Austreberte-en-Bray, membre dépendant de l'abbaye de Sainte-Catherine, ladite chapelle fondée à l'honneur de la Sainte-Trinité dans l'évesché et comté de Beauvais et le vidamé de Gerberoy, au quartier du Bray, dont on l'appelle la Chapelle-en-Bray, et plus communément la Capelle-aux-Pots à cause de la quantité de poterie de grets que l'on y fait (p. 125) ; union du prieuré de Sainte-Catherine de Bisi, membre dépendant de la mense abbatiale de l'abbaye de Sainte-Catherine, situé au village de Bisi près Vernon (p. 152) ; dons et privilèges accordez à la Chartreuse par les rois de France (p. 166) ; titres du don du bois du Breuil (le bois du Breuil est dans les paroisses de Courcelles et de Bouafles, maîtrise de Vernon et Andeli) (p. 173) ; acquisition du Bois-Jean (p. 186) ; bois de la Chartreuse en général (p. 188) ; amortissement des biens de la Chartreuse (p. 194) ; droits et privilèges divers (p. 206) ; titres de l'acquisition de la seigneurie de Courcelles (p. 240) ; Port-Mort et la Rocque (pré de l'Ile-aux-Vaches, etc. (p. 273). Seconde partie : Union de l'abbaye de Sainte-Catherine (pourquoy l'on a si peu d'anciens papiers de l'abbaye de Sainte-Catherine, c'est que, en 1562, le fort de Sainte-Catherine qui estoit sur la montagne proche de Rouen, aussi bien que le monastère, furent assiégez et pris sur les protestants par l'armée royale. Dans les troubles suivans qui durèrent sous les règnes de Charles IX, Henry III et Henry IV, laditte abbaye ainsi que la ville furent occupées par les parties contraires et ce fut dans ce temps que les biens et les papiers furent pillez et dissipez (p. 288) ; titres généraux (le plus ancien titre que nous ayons de la fondation de l'abbaye de Sainte-Catherine est un cahier en parchemin in-folio, en latin, contenant 40 pages, couvert d'une estofe de soye jaune ouvragée d'une manière fort antique, qui contient en 93 articles toutes les donations faites à ladite abbaye depuis l'an 1030 jusqu'en l'an 1100, avec toutes les acquisitions faites par les abbez de Sainte-Catherine pendant le mesme temps (p. 305) ; Auteverne (p. 314) ; Cahaignes, Requiécourt et Fours (p. 337) ; Gisancourt (p. 345) ; Chauvincourt (p. 347) ; Bretonville (p. 351) ; Boisemont-1'Abbaye (p. 355) : Bourbaudouin (p. 375) ; Bois-l'Évesque (p. 377) ; Anceaumeville (p. 380) ; baronie de Gruchy (p. 385) ; le Tot (p. 391) ; Monville (p. 395) ; Ellètes (p. 403) Saussay (p. 406) ; Ronfugère (p. 411) ; Auzonville (p. 413) ; Limesi (p. 417) ; Pavilly (p. 420) ; Boiguillaume (p. 421) ; maison de Rouen (p. 424) ; Caudecoste, Dieppe, Appeville (p. 426) ; Muchedent (p. 443) ; Anglesqueville-sur-Sanne (p. 445) ; Cannehen (p. 449) ; Saint-Sulpice-le-Gaillard (p. 459) ; Sanroy, hameau de Touffreville (p. 460) ; Fontaine-le-Dun (p. 460) ; Carville, Limanville et Boscadam (p. 463) ; Blacqueville (p. 483) ; Flamenville (p. 492) ; Criquetot-L'Esneval et Anglesqueville (p. 497) ; Saint-Vincent-de-Nogent près le Neufchâtel (p. 505) ; Montcanchy (p. 526) ; Gravigny (p. 532) ; Giverville (p. 543) ; Branville (p. 556) ; Manne-ville-l'Egarée (p. 563). Troisième partie : (acquisitions faites depuis l'union de l'abbaye de Sainte-Catherine) : droit de pêche sous la grande arche du pont de Vernon (p. 567) ; acquisition des héritages de M. Jean Bruneval dans la vicomté de Montivilliers (p. 572) ; Fontenay et Rolleville (p. 577) ; Sainle-Marie-au-Bosc (p. 578) ; Beaurepaire (p. 582) ; Angerville, Graimbouville (p. 583) ; Le Tilleul (p. 585) ; Boisemont et Frenelles (p. 591) ; titres des patronages » (p. 624).

H1144 , XVIe-XVIIIe siècles , Anceumeville ; Andelys (Les) ; Angerville-l'Orcher ; Anglesqueville-sur-Saone ; Appeville, dit ; Authevernes ; Auzonville ; Beaurepaire ; Beauvais ; Bethéem (égise en vigne de) sises à Aubevoye ; Bisy, près Vernon ; Blacqueville ; Boisemont (Abbaye de) ; Bois-Guillaume ; Bois-Jean (Le) ; Bois-l'Evêque ; Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Bourg-Baudoin (Le) ; Bramville-en-Auge ; Bretonville ; Breuil (le Bois du), sis à Courcelles-en-Bouafles ; Cahaignes ; Capelle-aux-Pots (au Pays de Bray) ; Carville ; Caudecoste ; Chauvincourt ; Courcelles ; Criquetot-l'Esneval ; Dieppe ; Ellètes ; Flamenville ; Fontaine-le-Oury ; Fontenay ; Fours ; Frenelles (hameau de), situé à Boisemont ; Gerberoy-en-Bray (fief de) ; Gisancourt ; Gisors ; Giverville ; Graimbouville ; Gravigny ; Gruchy ; Ile-aux-Vaches (Pré de l') ; Junnièges (Abbaye de) ; Limanville ; Limési ; Lyons-la-Forêt ; Manneville-l'Egarée ; Mont-Canchy ; Montivilliers ; Monville ; Mouchedent ou Muchedent ; Pavilly ; Pontoise ; Requiécourt ; Rocque (fief de la) ; Rolleville ; Ronfugère ; Rouen (Parlement de) ; Rouen, Abbaye de Sainte-Catherine ; Sainte-Austreberte-en-Bray (Chapelle de) ; Sainte-Marie-au-Bosc (triège de), sis au Tilleul ; Saint-Fiacre (Chapelle), située à Aubevoye ; Saint-Pierre-de-Geneville (Prieuré de), près Magny ; Saint-Pierre-de-Launay (Prieuré de) ; Saint-Sulpice-le-Gaillard ; Saint-Vincent-de-Nogent, près Neufchâtel ; Sanroy (hameau de), sis à Touffreville ; Saussay (Le) ; Tilleul (Le) ; Tot (Le) ; Touffreville ; Vernon (Ville de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon
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