Toutes les ressources Henri IV (roi) 10 résultats (9ms)
Lettres de confirmation et de prolongation pour une durée de neuf années, accordées par Henri IV aux Cordeliers d'Évreux, « du don et aumosne que leur avons cy-devant fait du nombre et quantité de trente cordes de boys mort, tant hestre que chesne, à prendre et avoir en nostre forest dudit Évreux, Haye-Le-Conte et Haye-Richer, pour leur chauffage et provision, le tout ainsi que le contiennent nos lettres dudit don et aumosne données à Mantes le troisiesme de febvrier Ve IIII M quatorze » (1600) ; – mandements de délivrance des trente cordes de bois de chauffage que les Cordeliers avaient le droit de prendre chaque année dans la forêt d'Évreux (1607-1687).
Copies collationnées (XVIIe siècle) de la confirmation des biens du prieuré des Deux-Amants par Hugues III d'Amiens, archevêque de Rouen (s.d. 1146-1150) ; – confirmation générale des biens du prieuré par Gautier de Coutances, archevêque de Rouen (1207) ; – copies collationnées (XVIIe siècle) des lettres patentes de Henri IV, du 17 janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, autorisant le retrait des biens du prieuré autrefois aliénés, donnés à fieffe ou à bail emphytéotique, « ce qui a grandement diminué le revenu dudit prieuré, avec l'incendie et bruslement des bastimens d'iceluy advenus en l'année 1593 », – des lettres du même roi, de janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, confirmant les droits, franchises et libertés du prieuré : «... D'autant que par la violence et confusion tant des premiers troubles et sièges de nostre ville de Rouen de l'année mil cinq cens soixante et deux, que les derniers advenus en ce royaume, et mesme par l'incendie et bruslement dudit lieu des Deux Amans en l'année mil cinq cens quatre vingt traize, seroit arrivé perte de la plus grande et meilleure partie de leurs Chartres, tiltres, papiers et enseignemens, outre celle des bastimens et autres choses dépendantes du dit prieuré, estimé à dix mille escus et plus,... Nous avons les dits prieur, religieux et couvent continuez et confirmez, continuons et confirmons par ces présentes en touts les dits droits, franchises et libertés qu'ils monstreront tant par les dites Chartres, tiltres et enseignemens qui leur peuvent rester que par les anciens baux à ferme, papiers, journaux de recepte et autrement, avoir appartenu à leurs prédécesseurs prieurs et religieux à cause de leur dit prieuré des Deux Amans. ».
Copies collationnées (XVIIe siècle) de la confirmation des biens du prieuré des Deux-Amants par Hugues III d'Amiens, archevêque de Rouen (s.d. 1146-1150) ; – confirmation générale des biens du prieuré par Gautier de Coutances, archevêque de Rouen (1207) ; – copies collationnées (XVIIe siècle) des lettres patentes de Henri IV, du 17 janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, autorisant le retrait des biens du prieuré autrefois aliénés, donnés à fieffe ou à bail emphytéotique, « ce qui a grandement diminué le revenu dudit prieuré, avec l'incendie et bruslement des bastimens d'iceluy advenus en l'année 1593 », – des lettres du même roi, de janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, confirmant les droits, franchises et libertés du prieuré : «... D'autant que par la violence et confusion tant des premiers troubles et sièges de nostre ville de Rouen de l'année mil cinq cens soixante et deux, que les derniers advenus en ce royaume, et mesme par l'incendie et bruslement dudit lieu des Deux Amans en l'année mil cinq cens quatre vingt traize, seroit arrivé perte de la plus grande et meilleure partie de leurs Chartres, tiltres, papiers et enseignemens, outre celle des bastimens et autres choses dépendantes du dit prieuré, estimé à dix mille escus et plus,... Nous avons les dits prieur, religieux et couvent continuez et confirmez, continuons et confirmons par ces présentes en touts les dits droits, franchises et libertés qu'ils monstreront tant par les dites Chartres, tiltres et enseignemens qui leur peuvent rester que par les anciens baux à ferme, papiers, journaux de recepte et autrement, avoir appartenu à leurs prédécesseurs prieurs et religieux à cause de leur dit prieuré des Deux Amans. ».
Déclarations des biens et des revenus de la Chartreuse : –« déclaration du temporel de la Chartreuse de Bourbon lez Gaillon, sous le titre de Notre Dame de Bonne Espérance et fondation royalle, diocèse d'Évreux, scituée dans le comté de Gisors, en la châtellenie et haute-justice de Gaillon, que donnent au Roy et à nos seigneurs de la Chambre des Comptes les prieur et religieux de ladite Chartreuse, tant au droit de leur fondation faite en l'année 1571 par haut et puissant prince Charles de Bourbon, cardinal légat d'Avignon et archevêque de Rouen que comme possédant, par la concession du roy Henry quatrième, conjointement avec la Chartreuse de Saint Julien lez Rouen, les biens de l'abbaye de Sainte-Catherine, sçavoir, ladite Chartreuse de Bourbon la manse abbatiale de ladite abbaye, et ladite chartreuse de Saint-Julien la manse conventuelle, la présente déclaration suivant et conformément à l'Arrest du Conseil d'État de Sa Majesté du 19 décembre 1673, ainsy qu'il ensuit,... » etc.
Déclarations des biens et des revenus de la Chartreuse : –« déclaration du temporel de la Chartreuse de Bourbon lez Gaillon, sous le titre de Notre Dame de Bonne Espérance et fondation royalle, diocèse d'Évreux, scituée dans le comté de Gisors, en la châtellenie et haute-justice de Gaillon, que donnent au Roy et à nos seigneurs de la Chambre des Comptes les prieur et religieux de ladite Chartreuse, tant au droit de leur fondation faite en l'année 1571 par haut et puissant prince Charles de Bourbon, cardinal légat d'Avignon et archevêque de Rouen que comme possédant, par la concession du roy Henry quatrième, conjointement avec la Chartreuse de Saint Julien lez Rouen, les biens de l'abbaye de Sainte-Catherine, sçavoir, ladite Chartreuse de Bourbon la manse abbatiale de ladite abbaye, et ladite chartreuse de Saint-Julien la manse conventuelle, la présente déclaration suivant et conformément à l'Arrest du Conseil d'État de Sa Majesté du 19 décembre 1673, ainsy qu'il ensuit,... » etc.
Attestation délivrée par les maire, échevins et principaux bourgeois et habitants de la ville de Verneuil pour constater « que le monastère et abbeye instituée et bastie en la parroisse et église de Sainct Nicolas de ladicte ville depuis le vingt-cinquiesme mars 1627 de filles de l'ordre de Sainct Benoist, à présent composée de quarante quatre à quarante cinq filles, tant de chœur que sœurs laicques consacrées au service de Dieu et vivant pieusement dans ladicte abbaye soubs la direction de la dame leur abbesse, sœur Scholastique de Rouxel de Médavy, très-digne sœur de Monsieur l'Évesque de Sées et de Monseigneur de Grançay, mareschal de France, ne possède pour faire subsister temporellement ledict nombre de quarante-cinq religieuses, les entretenir de chapellains, confesseurs et prédicateurs selon leur reigle et tenir les édifices de ladicte abbaye en suffisante réparation que environ mil livres de rente en plusieurs petites parties constituées et affermées, desquelles en la plus part ne se perçoit aucun payement par ladicte abbeye, avec la jouissance du revenu du domaine royal en ladicte vicomté de Vernueil, en la portion seulement qui a esté engagée par feu d'heureuse mémoire le roy Henri quattrième au sieur baron de Médavy, père de ladicte dame abbesse de Sainct-Nicolas de Vernueil... Etc. » (1650) ; requête adressée à l'évêque d'Évreux par sœur Scolastique de Rouxel de Médavy, abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil, et autorisation conforme de l'évêque : « veu la susdite requeste et la fondation faite par Me Michel Allart, prebtre de nostre diocèse, avons permis à Madame l'abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil d'exposer le Saint-Sacrement de l'autel pendant la messe et pendant la litanie qui se dira tous les jeudis dans l'église de Saint-Nicolas dudit Verneuil, suivant et conformément à l'intention du fondateur. Fait à Condé ce quatriesme novembre 1657 ». Signé : « Gilles, E. d'Évreux ».
Attestation délivrée par les maire, échevins et principaux bourgeois et habitants de la ville de Verneuil pour constater « que le monastère et abbeye instituée et bastie en la parroisse et église de Sainct Nicolas de ladicte ville depuis le vingt-cinquiesme mars 1627 de filles de l'ordre de Sainct Benoist, à présent composée de quarante quatre à quarante cinq filles, tant de chœur que sœurs laicques consacrées au service de Dieu et vivant pieusement dans ladicte abbaye soubs la direction de la dame leur abbesse, sœur Scholastique de Rouxel de Médavy, très-digne sœur de Monsieur l'Évesque de Sées et de Monseigneur de Grançay, mareschal de France, ne possède pour faire subsister temporellement ledict nombre de quarante-cinq religieuses, les entretenir de chapellains, confesseurs et prédicateurs selon leur reigle et tenir les édifices de ladicte abbaye en suffisante réparation que environ mil livres de rente en plusieurs petites parties constituées et affermées, desquelles en la plus part ne se perçoit aucun payement par ladicte abbeye, avec la jouissance du revenu du domaine royal en ladicte vicomté de Vernueil, en la portion seulement qui a esté engagée par feu d'heureuse mémoire le roy Henri quattrième au sieur baron de Médavy, père de ladicte dame abbesse de Sainct-Nicolas de Vernueil... Etc. » (1650) ; requête adressée à l'évêque d'Évreux par sœur Scolastique de Rouxel de Médavy, abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil, et autorisation conforme de l'évêque : « veu la susdite requeste et la fondation faite par Me Michel Allart, prebtre de nostre diocèse, avons permis à Madame l'abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil d'exposer le Saint-Sacrement de l'autel pendant la messe et pendant la litanie qui se dira tous les jeudis dans l'église de Saint-Nicolas dudit Verneuil, suivant et conformément à l'intention du fondateur. Fait à Condé ce quatriesme novembre 1657 ». Signé : « Gilles, E. d'Évreux ».
Attestation délivrée par les maire, échevins et principaux bourgeois et habitants de la ville de Verneuil pour constater « que le monastère et abbeye instituée et bastie en la parroisse et église de Sainct Nicolas de ladicte ville depuis le vingt-cinquiesme mars 1627 de filles de l'ordre de Sainct Benoist, à présent composée de quarante quatre à quarante cinq filles, tant de chœur que sœurs laicques consacrées au service de Dieu et vivant pieusement dans ladicte abbaye soubs la direction de la dame leur abbesse, sœur Scholastique de Rouxel de Médavy, très-digne sœur de Monsieur l'Évesque de Sées et de Monseigneur de Grançay, mareschal de France, ne possède pour faire subsister temporellement ledict nombre de quarante-cinq religieuses, les entretenir de chapellains, confesseurs et prédicateurs selon leur reigle et tenir les édifices de ladicte abbaye en suffisante réparation que environ mil livres de rente en plusieurs petites parties constituées et affermées, desquelles en la plus part ne se perçoit aucun payement par ladicte abbeye, avec la jouissance du revenu du domaine royal en ladicte vicomté de Vernueil, en la portion seulement qui a esté engagée par feu d'heureuse mémoire le roy Henri quattrième au sieur baron de Médavy, père de ladicte dame abbesse de Sainct-Nicolas de Vernueil... Etc. » (1650) ; requête adressée à l'évêque d'Évreux par sœur Scolastique de Rouxel de Médavy, abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil, et autorisation conforme de l'évêque : « veu la susdite requeste et la fondation faite par Me Michel Allart, prebtre de nostre diocèse, avons permis à Madame l'abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil d'exposer le Saint-Sacrement de l'autel pendant la messe et pendant la litanie qui se dira tous les jeudis dans l'église de Saint-Nicolas dudit Verneuil, suivant et conformément à l'intention du fondateur. Fait à Condé ce quatriesme novembre 1657 ». Signé : « Gilles, E. d'Évreux ».
Attestation délivrée par les maire, échevins et principaux bourgeois et habitants de la ville de Verneuil pour constater « que le monastère et abbeye instituée et bastie en la parroisse et église de Sainct Nicolas de ladicte ville depuis le vingt-cinquiesme mars 1627 de filles de l'ordre de Sainct Benoist, à présent composée de quarante quatre à quarante cinq filles, tant de chœur que sœurs laicques consacrées au service de Dieu et vivant pieusement dans ladicte abbaye soubs la direction de la dame leur abbesse, sœur Scholastique de Rouxel de Médavy, très-digne sœur de Monsieur l'Évesque de Sées et de Monseigneur de Grançay, mareschal de France, ne possède pour faire subsister temporellement ledict nombre de quarante-cinq religieuses, les entretenir de chapellains, confesseurs et prédicateurs selon leur reigle et tenir les édifices de ladicte abbaye en suffisante réparation que environ mil livres de rente en plusieurs petites parties constituées et affermées, desquelles en la plus part ne se perçoit aucun payement par ladicte abbeye, avec la jouissance du revenu du domaine royal en ladicte vicomté de Vernueil, en la portion seulement qui a esté engagée par feu d'heureuse mémoire le roy Henri quattrième au sieur baron de Médavy, père de ladicte dame abbesse de Sainct-Nicolas de Vernueil... Etc. » (1650) ; requête adressée à l'évêque d'Évreux par sœur Scolastique de Rouxel de Médavy, abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil, et autorisation conforme de l'évêque : « veu la susdite requeste et la fondation faite par Me Michel Allart, prebtre de nostre diocèse, avons permis à Madame l'abbesse de Saint-Nicolas de Verneuil d'exposer le Saint-Sacrement de l'autel pendant la messe et pendant la litanie qui se dira tous les jeudis dans l'église de Saint-Nicolas dudit Verneuil, suivant et conformément à l'intention du fondateur. Fait à Condé ce quatriesme novembre 1657 ». Signé : « Gilles, E. d'Évreux ».