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Aveu rendu par la fabrique à Jean Hue, seigneur de La Roque, chanoine de Rouen, pour deux pièces de terre relevant de la seigneurie de Connelles.

Aveu rendu par la fabrique à Jean Hue, seigneur de La Roque, chanoine de Rouen, pour deux pièces de terre relevant de la seigneurie de Connelles.

Comptes des trésoriers de la fabrique. Procès-verbaux de vérification. Délibérations des trésoriers et des habitants. (La fabrique accepte le don de 800 livres qui lui est fait par M. de La Boque, propriétaire de la paroisse, « à charge de faire célébrer un annuel et un service pour feu Monsieur Louis Augustin de la Roque, du Lieuvin, et pareil service pour feu Monsieur Clément de la Roque, ses frères », la plus grande partie de cette somme étant destinée aux répara-lions et aux embellissements de l'église, 1768. – L'assemblée des habitants proteste contre les prétentions élevées par « Guillaume Scott, chevalier, baronnet d'Angleterre, seigneur et patron des paroisses de Bouquelon, de Saint-Ouen-des-Champs et en partie de Toutainville, seigneur des nobles fiefs, terres et seigneuries de Boys, le Plessis, Bouquelon et en cette qualité se disant « propriétaire des terres, des bruyères, côtes de Finneville et Pelée, marais et de toute terre inculte située dans ladite paroisse », et nomme des députés pour soutenir ses droits sur les biens communaux de la paroisse, 1775.).

Comptes des trésoriers de la fabrique. Procès-verbaux de vérification. Délibérations des trésoriers et des habitants. (La fabrique accepte le don de 800 livres qui lui est fait par M. de La Boque, propriétaire de la paroisse, « à charge de faire célébrer un annuel et un service pour feu Monsieur Louis Augustin de la Roque, du Lieuvin, et pareil service pour feu Monsieur Clément de la Roque, ses frères », la plus grande partie de cette somme étant destinée aux répara-lions et aux embellissements de l'église, 1768. – L'assemblée des habitants proteste contre les prétentions élevées par « Guillaume Scott, chevalier, baronnet d'Angleterre, seigneur et patron des paroisses de Bouquelon, de Saint-Ouen-des-Champs et en partie de Toutainville, seigneur des nobles fiefs, terres et seigneuries de Boys, le Plessis, Bouquelon et en cette qualité se disant « propriétaire des terres, des bruyères, côtes de Finneville et Pelée, marais et de toute terre inculte située dans ladite paroisse », et nomme des députés pour soutenir ses droits sur les biens communaux de la paroisse, 1775.).