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Rentes et fondations diverses.

G216 , 1528-XVIIIe siècle , Ecouis ; Madeleine (hameau de la), aux trièges ; Muids  

Obligation de 25 sous de rente foncière assignée par Vincent Le Roy en faveur du chapitre collégial d'Andely sur une maison située à La Madeleine, « bornée d'un bout la rue des Poullies, d'autre bout la ruelle des Poullies ou remparts de la ville » (1702) ; – testament de Marion Le Chéron, veuve de défunt maître Jean Le Coq, en son vivant vicomte d'Écouis ; la testatrice choisit sa sépulture dans l'église collégiale d'Écouis, auprès de feu son mari ; elle lègue au chapitre diverses rentes et dispose en faveur de plusieurs personnes de « sa bonne robbe fourrée de roseaux, d'une robbe fourrée de noir, de sa robbe ronde de tous les jours et de son petit corset » (1559) ; – constitution par noble demoiselle Geneviève Le Grand, veuve de feu noble homme Nicolas Fatin, au profit du chapitre collégial d'Andely, d'une rente annuelle de 100 sous tournois, évalués à l'écu 2/3, pour le prix de 50 livres, évaluées à 16 écus 2/3 (1591) ; – fondation par Marguerite Tisseran, veuve de « noble homme Georges Tournebus, vivant lieutenant particulier au siège présidial d'Andely », d'un office de Sainte-Agathe en l'église collégiale d'Andely (1659) ; – obligation de 9 livres de rente passée par Etienne Duval, conseiller du Roi et son avocat au bailliage et siège présidial d'Andely, en faveur du chapitre collégial (1673) ; – accord passé entre M. Houel, doyen du chapitre d'Andely et M. Crommelin, seigneur marquis de Muids ; le sieur Crommelin s'engage à payer au chapitre la somme de 15 livres par an « pour tous droits de dîme que les sieurs du chapitre pourront prétendre dans les enclos dudit seigneur en son manoir seigneurial de Muids, comme propriétaires et gros décimateurs de ladite paroisse ; ces 15 livres seront diminuées sur les 90 livres par an que lesdits sieurs du chapitre doivent audit seigneur Crommelin à cause de son marquisat de Muids, suivant le contrat passé entre le chapitre et messire François Thevin, chevalier, seigneur de Muids, le 4 août 1634 (1716) ».

Contexte :
Chapitre collégial d'Andely

Rentes et fondations diverses.

G216 , 1528-XVIIIe siècle , Ecouis ; Madeleine (hameau de la), aux trièges ; Muids  

Obligation de 25 sous de rente foncière assignée par Vincent Le Roy en faveur du chapitre collégial d'Andely sur une maison située à La Madeleine, « bornée d'un bout la rue des Poullies, d'autre bout la ruelle des Poullies ou remparts de la ville » (1702) ; – testament de Marion Le Chéron, veuve de défunt maître Jean Le Coq, en son vivant vicomte d'Écouis ; la testatrice choisit sa sépulture dans l'église collégiale d'Écouis, auprès de feu son mari ; elle lègue au chapitre diverses rentes et dispose en faveur de plusieurs personnes de « sa bonne robbe fourrée de roseaux, d'une robbe fourrée de noir, de sa robbe ronde de tous les jours et de son petit corset » (1559) ; – constitution par noble demoiselle Geneviève Le Grand, veuve de feu noble homme Nicolas Fatin, au profit du chapitre collégial d'Andely, d'une rente annuelle de 100 sous tournois, évalués à l'écu 2/3, pour le prix de 50 livres, évaluées à 16 écus 2/3 (1591) ; – fondation par Marguerite Tisseran, veuve de « noble homme Georges Tournebus, vivant lieutenant particulier au siège présidial d'Andely », d'un office de Sainte-Agathe en l'église collégiale d'Andely (1659) ; – obligation de 9 livres de rente passée par Etienne Duval, conseiller du Roi et son avocat au bailliage et siège présidial d'Andely, en faveur du chapitre collégial (1673) ; – accord passé entre M. Houel, doyen du chapitre d'Andely et M. Crommelin, seigneur marquis de Muids ; le sieur Crommelin s'engage à payer au chapitre la somme de 15 livres par an « pour tous droits de dîme que les sieurs du chapitre pourront prétendre dans les enclos dudit seigneur en son manoir seigneurial de Muids, comme propriétaires et gros décimateurs de ladite paroisse ; ces 15 livres seront diminuées sur les 90 livres par an que lesdits sieurs du chapitre doivent audit seigneur Crommelin à cause de son marquisat de Muids, suivant le contrat passé entre le chapitre et messire François Thevin, chevalier, seigneur de Muids, le 4 août 1634 (1716) ».

Contexte :
Chapitre collégial d'Andely

Aveux rendus par les trésoriers de la fabrique à Jean Le Coq, seigneur du Foynel (1571), à Antoine de Boullant, sieur de Hermencourt, prieur commendataire de Notre-Dame de Beaumont-le-Péreulx, à François de Sébouville, chevalier, seigneur de Hennezis et du Foynel en partie (1600), à Louis de Mornay, abbé de Marchelou et prieur commendataire de Beaumont (1600), à Louis de Sébouville, seigneur de Bernouville et des Marais (1618), à Charles Daubour, « chevalier de l'ordre du Roi, seigneur de Porcheux, Bézu-le-Long et Saint-Éloi, capitaine au régiment des gardes et maître d'hôtel ordinaire de Sa Majesté » (1642), à Charles de Sébouville, chevalier, seigneur d'Aumont et du Foynel (1658), à François de Sébouville, seigneur des Marais (1701), à Ponce-Auguste Sublet, chevalier, seigneur marquis de Heudicourt, seigneur et patron de Bézu-le-Long (1732), à Alexandrine Sublet de Heudicourt, sa fille, veuve d'Antoine-Armand, comte de Belzunce (1747), à Jean-Joseph, comte de Lageard, prieur commendataire du prieuré de Notre-Dame de Beaumont-le-Perreux (1765), pour des terres appartenant à la fabrique.

G407 , 1571-1765 , Beaumont-le-Perreulx (Prieuré de Notre-Dame de) ; Bernouville ; Bézu-le-Long ; Foynel (Le) ; Hennezis ; Hermencourt ; Heudicourt ; Marchelou (Prieuré de) ; Porcheux (fief de) ; Saint-Eloi-près-Gisors  
Contexte :
Églises paroissiales > Bézu-le-Long

Aveux rendus par les trésoriers de la fabrique à Jean Le Coq, seigneur du Foynel (1571), à Antoine de Boullant, sieur de Hermencourt, prieur commendataire de Notre-Dame de Beaumont-le-Péreulx, à François de Sébouville, chevalier, seigneur de Hennezis et du Foynel en partie (1600), à Louis de Mornay, abbé de Marchelou et prieur commendataire de Beaumont (1600), à Louis de Sébouville, seigneur de Bernouville et des Marais (1618), à Charles Daubour, « chevalier de l'ordre du Roi, seigneur de Porcheux, Bézu-le-Long et Saint-Éloi, capitaine au régiment des gardes et maître d'hôtel ordinaire de Sa Majesté » (1642), à Charles de Sébouville, chevalier, seigneur d'Aumont et du Foynel (1658), à François de Sébouville, seigneur des Marais (1701), à Ponce-Auguste Sublet, chevalier, seigneur marquis de Heudicourt, seigneur et patron de Bézu-le-Long (1732), à Alexandrine Sublet de Heudicourt, sa fille, veuve d'Antoine-Armand, comte de Belzunce (1747), à Jean-Joseph, comte de Lageard, prieur commendataire du prieuré de Notre-Dame de Beaumont-le-Perreux (1765), pour des terres appartenant à la fabrique.

G407 , 1571-1765 , Beaumont-le-Perreulx (Prieuré de Notre-Dame de) ; Bernouville ; Bézu-le-Long ; Foynel (Le) ; Hennezis ; Hermencourt ; Heudicourt ; Marchelou (Prieuré de) ; Porcheux (fief de) ; Saint-Eloi-près-Gisors  
Contexte :
Églises paroissiales > Bézu-le-Long

Donations de terres à la fabrique par Eustache Le Tort, prêtre, de la paroisse de Surville (1514), Guillemin Le Coq, Robyne, veuve de Robin Cocquerel, Jeanne, veuve de Philippot Le Tourneur, Jean Marie, Christophe Cocquerel, les héritiers de Nicolas Marie, Jean Le Coq, Jean Marie Du Parc, « contrôleur du régallement des tailles de la paroisse de Surville » (1635-1641), Jean Mouard, prêtre, de ladite paroisse (1660), Marie « de Conihoult », veuve de Robert Marie, Marguerite Foucher, veuve de François Liégard, Jean Mascrier, Claude Dehon et Marie Dehon, sa fille. Suzanne Foucher, Jeanne Le Fortier, veuve de François Convenant, Anne Lucas et François Cocquerel ; – acceptation par les trésoriers du legs de 600 livres fait à la fabrique par Louis Châtelain, ancien curé de Surville, suivant son testament du 7 juillet 1694, et convention passée pour l'exécution des charges avec M. Châtelain, « intendant de S. A. Mgr le duc d'Elbeuf », cousin du testateur (1695) ; – remise à la fabrique par François Flavigny, chirurgien à Elbeuf, d'une somme de 600 livres que lui avait léguée à charge de services religieux feu François Flavigny, curé de Surville, son fils (1738).

G1303 , 1514-1738 , Elbeuf ; Surville  
Contexte :
Églises paroissiales > Surville

Donations de terres à la fabrique par Eustache Le Tort, prêtre, de la paroisse de Surville (1514), Guillemin Le Coq, Robyne, veuve de Robin Cocquerel, Jeanne, veuve de Philippot Le Tourneur, Jean Marie, Christophe Cocquerel, les héritiers de Nicolas Marie, Jean Le Coq, Jean Marie Du Parc, « contrôleur du régallement des tailles de la paroisse de Surville » (1635-1641), Jean Mouard, prêtre, de ladite paroisse (1660), Marie « de Conihoult », veuve de Robert Marie, Marguerite Foucher, veuve de François Liégard, Jean Mascrier, Claude Dehon et Marie Dehon, sa fille. Suzanne Foucher, Jeanne Le Fortier, veuve de François Convenant, Anne Lucas et François Cocquerel ; – acceptation par les trésoriers du legs de 600 livres fait à la fabrique par Louis Châtelain, ancien curé de Surville, suivant son testament du 7 juillet 1694, et convention passée pour l'exécution des charges avec M. Châtelain, « intendant de S. A. Mgr le duc d'Elbeuf », cousin du testateur (1695) ; – remise à la fabrique par François Flavigny, chirurgien à Elbeuf, d'une somme de 600 livres que lui avait léguée à charge de services religieux feu François Flavigny, curé de Surville, son fils (1738).

G1303 , 1514-1738 , Elbeuf ; Surville  
Contexte :
Églises paroissiales > Surville
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