Toutes les ressources Le Roulx, Claude 6 résultats (8ms)
Vente aux Ursulines d'Andely par Nicolas de la Porte, prêtre, curé de l'église collégiale Notre-Dame d'Andely, d'une maison sise au Grand-Andely, devant la place dudit lieu, pour le prix de 150 livres tournois et trente livres de vin (1653) ; – quittance délivrée par les religieuses du monastère royal Saint-Louis de Poissy aux religieuses ursulines d'Andely, de la somme de 1840 livres « pour les droits de vente, treiziesmes et indemnité qui leur sont dus par lesdites dames de Saincte Ursule à cause de l'acquisition qu'elles ont fait de Messire Claude Le Ruox, chevalier, seigneur de Combremont, conseiller au parlement de Normandie, d'une mazure plantée et bastie de plusieurs maisons clozes, et de vingt-neuf acres trois vergées trente perches de terre, le tout assis sur le dixmage de Noyers, de la mouvance desdites dames du monastère royal Saint-Louis de Poissy à cause de ladite terre de Noyers, moyennant la somme de sept mil quatre cents livres tournois » (1659) ; – vente aux Ursulines d'Andely par Jean-Baptiste Langlois, écuyer, fermier général, demeurant à Paris, rue de Tournon, à l'hôtel de Ventadour, d'une maison consistant en plusieurs corps de logis, cour et jardin, sise au Grand-Andely, rue de la Foullerie, pour le prix de 2.500 livres (1706) ; –baux à ferme des terres appartenant aux Ursulines d'Andely, situées sur les dîmages deVilliers et de Radeval (XVIIIe siècle).
Mesnil-Jourdain (le).
Donation par Artus de Hellenvillier, écuyer, seigneur du Mesnil-Jourdain, à « frère Jehan Berthon, prêtre, religieux de la tierce ordre Saint-François » et à ses successeurs, d'« une place et lieu assis ès bois de la dite seigneurie du Mesnil-Jourdain, nommé l'Ermitage, avec acre et demie de bois à prendre en l'environ d'icelui lieu et dix perques de terre au long de la rivière d'Eure, au bas et en l'endroit d'icelui hermitage », en considération de « la grant et affectueux désir que ledit frère Jehan Berthon avoit de vivre et finir ses jours, comme il disoit, en dévocion et en lieu hors la communauté du peuple » (1470) ; donation aux Pénitents de Sainte-Barbe-près-Louviers par « Claude Le Roux, chevalier, seigneur et baron haut justicier d'Acquigny, châtelain de Cambremont, Mesnil-Jourdain, Vivonne, seigneur de Becdal, la Métairie, Folleville et autres lieux, conseiller au parlement de Normandie, patron fondateur de la maison, couvent et monastère des révérends pères Pénitents establis à Sainte-Barbe-lès-Louviers en la paroisse du Mesnil-Jourdain, d'une pièce d'héritage en labour et pré, nommé d'antiquité le Clos-Miclot, close de haye, contenant trois vergées ou environ, sise au Mesnil-Jourdain, bornée d'un costé l'eau de la rivière d'Eure vulgairement appelée Mouillepain, d'autre costé le grand chemin tendant de Louviers à Évreux » et d'une rente annuelle de 13 livres 10 sous tournois, pour la fondation de messes dans la chapelle de son manoir seigneurial de Becdal (1667).
Mesnil-Jourdain (le).
Donation par Artus de Hellenvillier, écuyer, seigneur du Mesnil-Jourdain, à « frère Jehan Berthon, prêtre, religieux de la tierce ordre Saint-François » et à ses successeurs, d'« une place et lieu assis ès bois de la dite seigneurie du Mesnil-Jourdain, nommé l'Ermitage, avec acre et demie de bois à prendre en l'environ d'icelui lieu et dix perques de terre au long de la rivière d'Eure, au bas et en l'endroit d'icelui hermitage », en considération de « la grant et affectueux désir que ledit frère Jehan Berthon avoit de vivre et finir ses jours, comme il disoit, en dévocion et en lieu hors la communauté du peuple » (1470) ; donation aux Pénitents de Sainte-Barbe-près-Louviers par « Claude Le Roux, chevalier, seigneur et baron haut justicier d'Acquigny, châtelain de Cambremont, Mesnil-Jourdain, Vivonne, seigneur de Becdal, la Métairie, Folleville et autres lieux, conseiller au parlement de Normandie, patron fondateur de la maison, couvent et monastère des révérends pères Pénitents establis à Sainte-Barbe-lès-Louviers en la paroisse du Mesnil-Jourdain, d'une pièce d'héritage en labour et pré, nommé d'antiquité le Clos-Miclot, close de haye, contenant trois vergées ou environ, sise au Mesnil-Jourdain, bornée d'un costé l'eau de la rivière d'Eure vulgairement appelée Mouillepain, d'autre costé le grand chemin tendant de Louviers à Évreux » et d'une rente annuelle de 13 livres 10 sous tournois, pour la fondation de messes dans la chapelle de son manoir seigneurial de Becdal (1667).