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Confirmation par Roger de Bémécourt de la vente faite à l'abbaye par la veuve de Guillaume de Guernanville (Gamevilla), de la vavassorie de La Bretèche, pour le prix de 8 livres d'angevins. Roger de Bémécourt confirme cette vente et déclare renoncer à tous ses droits sur ladite vavassorie, moyennant une somme de 50 sous d'angevins (s. d. Vers 1200) ; — accord entre Thomas de la Bretèche et les religieux de Lyre, contenant des conventions au sujet du service de la sergenterie à verge de l'abbaye, et, à défaut, de celui de la porte de l'abbaye, que ledit Thomas de la Bretèche s'engageait à remplir, sa vie durant, moyennant certains avantages accordés à lui et à sa famille (1279) ; — aveu du fief de la Bretèche, contenant 30 acres en un seul tenant, rendu à l'abbaye par Jean Aussour et Perrin Henry (1452) ; — autres aveux des terres de la Bretèche, rendus à l'abbaye par Eudes Le Roux, prêtre (1475), Renaud, Pierre et Mathieu Le Roux (1506), Henri Le Roux, prêtre (1565), Jacques de Chastigny, fils de Gilles (1664). — (Dix-huitième chapitre, article 20, lettre T, de l'inventaire de 1738.).

H509 , 1200-1664 , Bretèche (Vanerie de la) ; Lyons-la-Forêt (Abbaye de) ; Neaufles-sur-Risle  

Confirmation par Roger de Bémécourt de la vente faite à l'abbaye par la veuve de Guillaume de Guernanville (Gamevilla), de la vavassorie de La Bretèche, pour le prix de 8 livres d'angevins. Roger de Bémécourt confirme cette vente et déclare renoncer à tous ses droits sur ladite vavassorie, moyennant une somme de 50 sous d'angevins (s. d. Vers 1200) ; — accord entre Thomas de la Bretèche et les religieux de Lyre, contenant des conventions au sujet du service de la sergenterie à verge de l'abbaye, et, à défaut, de celui de la porte de l'abbaye, que ledit Thomas de la Bretèche s'engageait à remplir, sa vie durant, moyennant certains avantages accordés à lui et à sa famille (1279) ; — aveu du fief de la Bretèche, contenant 30 acres en un seul tenant, rendu à l'abbaye par Jean Aussour et Perrin Henry (1452) ; — autres aveux des terres de la Bretèche, rendus à l'abbaye par Eudes Le Roux, prêtre (1475), Renaud, Pierre et Mathieu Le Roux (1506), Henri Le Roux, prêtre (1565), Jacques de Chastigny, fils de Gilles (1664). — (Dix-huitième chapitre, article 20, lettre T, de l'inventaire de 1738.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Lyre (Ordre de Saint-Benoît)

Confirmation par Roger de Bémécourt de la vente faite à l'abbaye par la veuve de Guillaume de Guernanville (Gamevilla), de la vavassorie de La Bretèche, pour le prix de 8 livres d'angevins. Roger de Bémécourt confirme cette vente et déclare renoncer à tous ses droits sur ladite vavassorie, moyennant une somme de 50 sous d'angevins (s. d. Vers 1200) ; — accord entre Thomas de la Bretèche et les religieux de Lyre, contenant des conventions au sujet du service de la sergenterie à verge de l'abbaye, et, à défaut, de celui de la porte de l'abbaye, que ledit Thomas de la Bretèche s'engageait à remplir, sa vie durant, moyennant certains avantages accordés à lui et à sa famille (1279) ; — aveu du fief de la Bretèche, contenant 30 acres en un seul tenant, rendu à l'abbaye par Jean Aussour et Perrin Henry (1452) ; — autres aveux des terres de la Bretèche, rendus à l'abbaye par Eudes Le Roux, prêtre (1475), Renaud, Pierre et Mathieu Le Roux (1506), Henri Le Roux, prêtre (1565), Jacques de Chastigny, fils de Gilles (1664). — (Dix-huitième chapitre, article 20, lettre T, de l'inventaire de 1738.).

H509 , 1200-1664 , Bretèche (Vanerie de la) ; Lyons-la-Forêt (Abbaye de) ; Neaufles-sur-Risle  

Confirmation par Roger de Bémécourt de la vente faite à l'abbaye par la veuve de Guillaume de Guernanville (Gamevilla), de la vavassorie de La Bretèche, pour le prix de 8 livres d'angevins. Roger de Bémécourt confirme cette vente et déclare renoncer à tous ses droits sur ladite vavassorie, moyennant une somme de 50 sous d'angevins (s. d. Vers 1200) ; — accord entre Thomas de la Bretèche et les religieux de Lyre, contenant des conventions au sujet du service de la sergenterie à verge de l'abbaye, et, à défaut, de celui de la porte de l'abbaye, que ledit Thomas de la Bretèche s'engageait à remplir, sa vie durant, moyennant certains avantages accordés à lui et à sa famille (1279) ; — aveu du fief de la Bretèche, contenant 30 acres en un seul tenant, rendu à l'abbaye par Jean Aussour et Perrin Henry (1452) ; — autres aveux des terres de la Bretèche, rendus à l'abbaye par Eudes Le Roux, prêtre (1475), Renaud, Pierre et Mathieu Le Roux (1506), Henri Le Roux, prêtre (1565), Jacques de Chastigny, fils de Gilles (1664). — (Dix-huitième chapitre, article 20, lettre T, de l'inventaire de 1738.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Lyre (Ordre de Saint-Benoît)

Gisors.

H1179 , 1546-1780 , Argilliers (triège des), situé à Gisors ; Bernay, Cordeliers (Les) ; Boisgeloup (fief de) ; Bornes (Les), lieu-dit à Gisors ; Caillou (Le), lieu-dit à Boisgeloup ; Chambords-en-Vexin-le-François (fief de) ; Eragny ; Essarts (Les) près Brionne ; Fruge (fief de), Fruges ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Grange-Cercelle (La), fief sis à Gisors ; Neaufles-sur-Risle ; Pré-du-Gant (Le), lieu-dit à Gisors ; Trois-Chênes (Les), lieu-dit, à Gisors  

Donation aux Mathurins de Gisors par Françoise Gosse, veuve de Guillaume Géraud, sieur de Fruges, d'une maison sise à Gisors, rue Saint-Antoine, pour la fondation de treize messes basses chaque année (1698) ; — baux à ferme de deux maisons appartenant aux Mathurins, sises à Gisors, faubourg de Neaufles, lieu dit Les Bornes (1692-1739) ; — id. D'un arpent de pré situé à Gisors dans la prairie des Argilliers, vers le chemin d'Éragny (1719-1735) ; — aveux rendus par les Mathurins de Gisors à la seigneurie du Boisgeloup pour deux arpents quarante perches de terre sis audit Boisgeloup, lieu dit Le Caillou (1714-1725) ; — vente aux Mathurins par Jacques Tessier, marchand-mégissier à Gisors, de cinq quartiers de terre labourable, situés à Gisors, sur le chemin d'Éragny, pour le prix de 240 livres tournois (1668) ; —bail à ferme d'un demi-arpent de pré, sis à Gisors, lieu dit lePré-du-Gant, passé par les Mathurins à Mathieu Le Roux, jardinier à Gisors, moyennant un fermage annuel de 30 livres (1724) ; — aveu rendu par les Mathurins à Joseph-Jean-Baptiste de la Boissière, chevalier, « seigneur de Chambors-en-Vexin-Le-François, des Essarts et de La-Grange-Cercelle, ci-devant capitaine au régiment de Bretagne et écuyer ordinaire du Roy », pour une pièce de terre contenant douze arpents ou environ, « seize hors le fauxbourg de la porte de Neaufle, terroir dudit Gisors, au lieu anciennement nommé Les Trois-Chesnes ».

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Gisors.

H1179 , 1546-1780 , Argilliers (triège des), situé à Gisors ; Bernay, Cordeliers (Les) ; Boisgeloup (fief de) ; Bornes (Les), lieu-dit à Gisors ; Caillou (Le), lieu-dit à Boisgeloup ; Chambords-en-Vexin-le-François (fief de) ; Eragny ; Essarts (Les) près Brionne ; Fruge (fief de), Fruges ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Grange-Cercelle (La), fief sis à Gisors ; Neaufles-sur-Risle ; Pré-du-Gant (Le), lieu-dit à Gisors ; Trois-Chênes (Les), lieu-dit, à Gisors  

Donation aux Mathurins de Gisors par Françoise Gosse, veuve de Guillaume Géraud, sieur de Fruges, d'une maison sise à Gisors, rue Saint-Antoine, pour la fondation de treize messes basses chaque année (1698) ; — baux à ferme de deux maisons appartenant aux Mathurins, sises à Gisors, faubourg de Neaufles, lieu dit Les Bornes (1692-1739) ; — id. D'un arpent de pré situé à Gisors dans la prairie des Argilliers, vers le chemin d'Éragny (1719-1735) ; — aveux rendus par les Mathurins de Gisors à la seigneurie du Boisgeloup pour deux arpents quarante perches de terre sis audit Boisgeloup, lieu dit Le Caillou (1714-1725) ; — vente aux Mathurins par Jacques Tessier, marchand-mégissier à Gisors, de cinq quartiers de terre labourable, situés à Gisors, sur le chemin d'Éragny, pour le prix de 240 livres tournois (1668) ; —bail à ferme d'un demi-arpent de pré, sis à Gisors, lieu dit lePré-du-Gant, passé par les Mathurins à Mathieu Le Roux, jardinier à Gisors, moyennant un fermage annuel de 30 livres (1724) ; — aveu rendu par les Mathurins à Joseph-Jean-Baptiste de la Boissière, chevalier, « seigneur de Chambors-en-Vexin-Le-François, des Essarts et de La-Grange-Cercelle, ci-devant capitaine au régiment de Bretagne et écuyer ordinaire du Roy », pour une pièce de terre contenant douze arpents ou environ, « seize hors le fauxbourg de la porte de Neaufle, terroir dudit Gisors, au lieu anciennement nommé Les Trois-Chesnes ».

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors
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