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Blacqueville.

H1093 , 1253-1398 , Bellegarde (fief de) ; Blacqueville ; Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Clos-l'Abbé (Le), sis à Blacqueville ; Rouen, Abbaye de Sainte-Catherine  

Sentence arbitrale prononcée par l'abbé de Sainte-Catherine-du-Mont de Rouen dans le différend soulevé entre lui et l'abbaye, d'une part, et Pierre « Des Hiz », chevalier, d'autre part, au sujet de la grange des dîmes de Blacqueville. La sentence décide que ledit Pierre Des His n'a aucun droit sur la grange en question et le condamne à restituer à l'abbaye le montant de ses usurpations et à 100 livres de dommages-intérêts (1253) ; — abandon par Hugues de Verretot, écuyer, de tous ses droits prétendus sur les dîmes que l'abbaye de Sainte-Catherine-du-Mont de Rouen percevait sur les terres de son fief à Blacqueville (1277) ; — reconnaissance consentie devant l'Official de Rouen par Pierre, curé de Blacqueville, au profit des religieux de l'abbaye de Sainte-Catherine-du-Mont de Rouen, d'une rente de 20 sous tournois assignée sur son bénéfice-cure (1278) ; — abandon au profit des religieux de Sainte-Catherine par « Robert de Ys, chevalier et seignor des Ys», de tous ses droits seigneuriaux prétendus sur « le clos aus dis religieux qui est apelé le Clos-l'Abbé, assis en la paroisse de Blacqueville, là où eus ont acoustumé à metre en lor granche lor garbes dismans » (1294) ; — id., par Henri de Verretot, de tous ses droits seigneuriaux prétendus sur plusieurs pièces de terre appartenant à l'abbaye à Blacqueville (1306) ; — copie collationnée d'un accord passé entre l'abbaye de Sainte-Catherine, d'une part, et Geoffroi de Mainemare, chevalier, seigneur de Bellegarde, d'autre part, au sujet du patronage de l'église de Blacqueville. Geoffroi de Mainemare, renonçant à ses prétentions, reconnaît que ce droit appartient tout entier à l'abbaye (1398).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Blacqueville.

H1093 , 1253-1398 , Bellegarde (fief de) ; Blacqueville ; Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Clos-l'Abbé (Le), sis à Blacqueville ; Rouen, Abbaye de Sainte-Catherine  

Sentence arbitrale prononcée par l'abbé de Sainte-Catherine-du-Mont de Rouen dans le différend soulevé entre lui et l'abbaye, d'une part, et Pierre « Des Hiz », chevalier, d'autre part, au sujet de la grange des dîmes de Blacqueville. La sentence décide que ledit Pierre Des His n'a aucun droit sur la grange en question et le condamne à restituer à l'abbaye le montant de ses usurpations et à 100 livres de dommages-intérêts (1253) ; — abandon par Hugues de Verretot, écuyer, de tous ses droits prétendus sur les dîmes que l'abbaye de Sainte-Catherine-du-Mont de Rouen percevait sur les terres de son fief à Blacqueville (1277) ; — reconnaissance consentie devant l'Official de Rouen par Pierre, curé de Blacqueville, au profit des religieux de l'abbaye de Sainte-Catherine-du-Mont de Rouen, d'une rente de 20 sous tournois assignée sur son bénéfice-cure (1278) ; — abandon au profit des religieux de Sainte-Catherine par « Robert de Ys, chevalier et seignor des Ys», de tous ses droits seigneuriaux prétendus sur « le clos aus dis religieux qui est apelé le Clos-l'Abbé, assis en la paroisse de Blacqueville, là où eus ont acoustumé à metre en lor granche lor garbes dismans » (1294) ; — id., par Henri de Verretot, de tous ses droits seigneuriaux prétendus sur plusieurs pièces de terre appartenant à l'abbaye à Blacqueville (1306) ; — copie collationnée d'un accord passé entre l'abbaye de Sainte-Catherine, d'une part, et Geoffroi de Mainemare, chevalier, seigneur de Bellegarde, d'autre part, au sujet du patronage de l'église de Blacqueville. Geoffroi de Mainemare, renonçant à ses prétentions, reconnaît que ce droit appartient tout entier à l'abbaye (1398).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Donations et cessions faites à l'abbaye : par Bernard Le Forestier, d'une vigne située entre les vignes de Thomas de la Rocque et d'Hugues Largi (confirmée par Roger de la Place, seigneur du fief, 1221), – par Etienne des Vignes, d'une vigne et d'une masure à Pressagny-Ie-Val (1227), – par Aubrée, de tous les droits qu'elle pouvait prétendre sur les vignes de la Rocque (1229), – par Jean de la Rocque et Richard de Bodin, avec le consentement de Pierre de Hummez, leur seigneur, d'une pièce de terre située in l'Agou super Sequanam, juxta terram Sancti Martini (1230), – par Guillaume de la Rocque, d'un pré situé dans l'Ile-Mienne (in Insula Media, 1230), – par Jean de la Rocque, d'une partie de sa vigne d'Ailebert située près de celle de l'abbaye (1230), – par Jean, fils de Hugues de la Rocque, d'un pré situé dans l'Ile-Mienne (1230), – par Vincent et Vauquelin (Wafcelinus), fils de Burgèle, d'un pré et d'une vergée de terre située in Agou supra Secanam (1230), – par Gautier Rose, Hugues et Durand, ses frères, de toutes leurs tenures mouvantes du fief de l'abbaye à Courcelles (1231), – par Jean de la Rocque, de son clos aux noyers (noeria), situé au pied du Mont-Saint-Martin (desub pede montis Sancti Martini) et d'une rente annuelle de 8 deniers tournois (1233), – par Thierry Arraz, d'une pièce de terre située dans son domaine de Mousseaux (in planta sua apud Monceaus, 1234), – par Pierre, curé de Portmort, de ses droits de dîme sur les vignes de l'abbaye situées dans la paroisse de Portmort (1246), – par Martin des Vignes, fils d'Etienne des Vignes, avec le consentement de Jean Philippe, de Pressagny, d'une pièce de terre sise à Pressagny, entre le clos de l'abbaye appelé le Glos-de-Courcelles et la masure dudit Jean Philippe (1248), – par Philippe Tabari, d'un baril de vin à prendre sur sa vigne d'Ail-lenbert (1248) ; – confirmations : par Robert de Mauquenchy, de la donation d'une rente annuelle de 7 sous faite à l'abbaye par Mathilde, sa mère (1222), – par Jean, fils de Guillaume, chevalier, de la donation d'un demi-muid de vin assigné sur sa vigne située près du Moutier, sur la Rocque (1229) ; – reconnaissance par Mathieu de Crèvecœur, chevalier, d'un muid de vin blanc, mesure de Vernon, par lui dû à l'abbaye (1243).

H3 , 1221-1248 , Aillebert (La Vigne d') sise à Port-Mort ; Clos-de-Courcelles (Le), sis à Pressagny ; Ile-Mienne (L'), sise en Seine près de Pressagny ; Mont-Saint-Martin (Le), près Courcelles ; Mousseaux ; Vernon (Ville de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Beaubec (Ordre de Cîteaux)

Donations et cessions faites à l'abbaye : par Bernard Le Forestier, d'une vigne située entre les vignes de Thomas de la Rocque et d'Hugues Largi (confirmée par Roger de la Place, seigneur du fief, 1221), – par Etienne des Vignes, d'une vigne et d'une masure à Pressagny-Ie-Val (1227), – par Aubrée, de tous les droits qu'elle pouvait prétendre sur les vignes de la Rocque (1229), – par Jean de la Rocque et Richard de Bodin, avec le consentement de Pierre de Hummez, leur seigneur, d'une pièce de terre située in l'Agou super Sequanam, juxta terram Sancti Martini (1230), – par Guillaume de la Rocque, d'un pré situé dans l'Ile-Mienne (in Insula Media, 1230), – par Jean de la Rocque, d'une partie de sa vigne d'Ailebert située près de celle de l'abbaye (1230), – par Jean, fils de Hugues de la Rocque, d'un pré situé dans l'Ile-Mienne (1230), – par Vincent et Vauquelin (Wafcelinus), fils de Burgèle, d'un pré et d'une vergée de terre située in Agou supra Secanam (1230), – par Gautier Rose, Hugues et Durand, ses frères, de toutes leurs tenures mouvantes du fief de l'abbaye à Courcelles (1231), – par Jean de la Rocque, de son clos aux noyers (noeria), situé au pied du Mont-Saint-Martin (desub pede montis Sancti Martini) et d'une rente annuelle de 8 deniers tournois (1233), – par Thierry Arraz, d'une pièce de terre située dans son domaine de Mousseaux (in planta sua apud Monceaus, 1234), – par Pierre, curé de Portmort, de ses droits de dîme sur les vignes de l'abbaye situées dans la paroisse de Portmort (1246), – par Martin des Vignes, fils d'Etienne des Vignes, avec le consentement de Jean Philippe, de Pressagny, d'une pièce de terre sise à Pressagny, entre le clos de l'abbaye appelé le Glos-de-Courcelles et la masure dudit Jean Philippe (1248), – par Philippe Tabari, d'un baril de vin à prendre sur sa vigne d'Ail-lenbert (1248) ; – confirmations : par Robert de Mauquenchy, de la donation d'une rente annuelle de 7 sous faite à l'abbaye par Mathilde, sa mère (1222), – par Jean, fils de Guillaume, chevalier, de la donation d'un demi-muid de vin assigné sur sa vigne située près du Moutier, sur la Rocque (1229) ; – reconnaissance par Mathieu de Crèvecœur, chevalier, d'un muid de vin blanc, mesure de Vernon, par lui dû à l'abbaye (1243).

H3 , 1221-1248 , Aillebert (La Vigne d') sise à Port-Mort ; Clos-de-Courcelles (Le), sis à Pressagny ; Ile-Mienne (L'), sise en Seine près de Pressagny ; Mont-Saint-Martin (Le), près Courcelles ; Mousseaux ; Vernon (Ville de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Beaubec (Ordre de Cîteaux)
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