Toutes les ressources Roncherolles, Claude de 4 résultats (44ms)

Donation par Claude de Roncherolles, chevalier marquis de Pont-Saint-Pierre et de Mainneville, premier baron de Normandie, pour répondre à l'intention de feu Michel de Roncherolles, son père, aux églises de Longchamps et de Mainneville, d'une rente annuelle de 700 livres, dont 600 seront affectées à l'entretien de deux prêtres nommés par le fondateur et ses représentants à perpétuité, « lesquelz prestres pourront estre destituez pour raison de mauvaise conduitteet manquement de leurs debvoirs et quy seront aussy obligez de vacquer continuellement à l'instruction de la jeunesse, sçavoir celluyde Mainneville, d'instruire la jeunesse dudit lieu et des hameaux en despendant, ensemble de la paroisse du Mesnil-Soulz-Vienne, et celluy de Longchamps, d'instruire la jeunesse de laditte parroisse et des hameaux en despendant pour y enseigner et apprendre à lire et escrire le cathéchisme, mesme la langue latinne, gratuittement à l'esgard des pauvres ».

G847 , 1686 , Longchamps ; Mainneville ; Mainneville ; Mesnil-sous-Vienne ; Pont-Saint-Pierre ; Saint-Pierre (Pont)  
Contexte :
Églises paroissiales > Longchamps

Donation par Claude de Roncherolles, chevalier marquis de Pont-Saint-Pierre et de Mainneville, premier baron de Normandie, pour répondre à l'intention de feu Michel de Roncherolles, son père, aux églises de Longchamps et de Mainneville, d'une rente annuelle de 700 livres, dont 600 seront affectées à l'entretien de deux prêtres nommés par le fondateur et ses représentants à perpétuité, « lesquelz prestres pourront estre destituez pour raison de mauvaise conduitteet manquement de leurs debvoirs et quy seront aussy obligez de vacquer continuellement à l'instruction de la jeunesse, sçavoir celluyde Mainneville, d'instruire la jeunesse dudit lieu et des hameaux en despendant, ensemble de la paroisse du Mesnil-Soulz-Vienne, et celluy de Longchamps, d'instruire la jeunesse de laditte parroisse et des hameaux en despendant pour y enseigner et apprendre à lire et escrire le cathéchisme, mesme la langue latinne, gratuittement à l'esgard des pauvres ».

G847 , 1686 , Longchamps ; Mainneville ; Mainneville ; Mesnil-sous-Vienne ; Pont-Saint-Pierre ; Saint-Pierre (Pont)  
Contexte :
Églises paroissiales > Longchamps

Hôpital d'Écouis.

G241 , 1683 , Ecouis (collégiale) ; Ecouis (Hôpital) ; Ecouis (Maison de la fleur-de-Lys) ; Méneville ; Mussegros ; Paris (Ville) ; Pont-Saint-Pierre ; Saint-Pierre (Pont)  

Nomination par messire Claude de Roncherolles, chevalier, marquis du Pont-Saint-Pierre et de Méneville, seigneur baron el haut justicier d'Écouis, de Pierre Guersant, curé de Mussegros, Guillaume Picquet, chanoine d'Ëcouis, et Pierre Gobert, bailli d'Écouis, en qualité d'administrateurs de l'hôpital d'Écouis, « lesquels continueront ladicte administration pendant trois ans sans interruption à commencer du jour que les deux filles mentionnez en l'acte du 7 mai 1680 auront esté reçeues et establies pour, sous la conduite desdits administrateurs, avoir soin des pauvres mallades, qui seront de la qualité de ceux qui doivent y être reçus, et pour estre employées à l'instruction et éducation chrestienne et gratuitte des pauvres filles tant dudit bourg que des environs, par la permission et du consentement de Monseigneur l'archevesque de Rouen, et applicquer aux autres soins qu'elles pourront prendre et qui concerneront le bon ordre, entretien et augmentation dudit hôpital, sous la conduite desdits administrateurs » ; – copie informe du « mémoire que monsieur Le Febvre, chanoine, trésorier honoraire de l'église collégiale d'Escouys, a mis entre les mains de monsieur le curé d'Escouys pour luy en rendre response : monsieur Le Febvre offre de donner à l'hospital d'Escouys la somme de 10,300 livres en trois contrats sur la ville de Paris, fesant quatre cents douze livres de rente sur le pied du denier vingt-cinq, aux charges et conditions suivantes, scavoir : 1° d'entrenir à perpétuité, du jour de son déceds que la fondation aura Heu, trois places de sœurs qui ayent tous les talents et les qualités tant de nature que de grâce pour aller instruire en forme de missions les personnes de leur sexe dans les lieux du Vexin où il y en aura un plus grand besoin et où Monseigneur l'archevesque de Rouen et ses successeurs croyeront qu'elles pourront contribuer davantage à la gloire de Dieu, au salut du prochain, en sorte qu'il y aura toujours trois sœurs employées aux dittes fonctions et que s'il s'en trouve quelqu'une qui ne soit en estât de les remplir, soit par infirmité accidentelle ou par infirmité habituelle, la communauté sera obligée d'en envoyer une autre à sa place ; 2° que l'hospital acquérera de M. Le Roux de Villers la maison de la Fleur de Lys en sa totalité ou partie, autant qu'il conviendra pour l'establissement qu'on a en vue, et pour faciliter ladite acquisition, ledit sieur Le Febvre offre de donner en oultre des dix mille trois cents livres cy-dessus la somme de sept cents livres argent comptant lors de laditte acquisition, etc. ».

Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

Hôpital d'Écouis.

G241 , 1683 , Ecouis (collégiale) ; Ecouis (Hôpital) ; Ecouis (Maison de la fleur-de-Lys) ; Méneville ; Mussegros ; Paris (Ville) ; Pont-Saint-Pierre ; Saint-Pierre (Pont)  

Nomination par messire Claude de Roncherolles, chevalier, marquis du Pont-Saint-Pierre et de Méneville, seigneur baron el haut justicier d'Écouis, de Pierre Guersant, curé de Mussegros, Guillaume Picquet, chanoine d'Ëcouis, et Pierre Gobert, bailli d'Écouis, en qualité d'administrateurs de l'hôpital d'Écouis, « lesquels continueront ladicte administration pendant trois ans sans interruption à commencer du jour que les deux filles mentionnez en l'acte du 7 mai 1680 auront esté reçeues et establies pour, sous la conduite desdits administrateurs, avoir soin des pauvres mallades, qui seront de la qualité de ceux qui doivent y être reçus, et pour estre employées à l'instruction et éducation chrestienne et gratuitte des pauvres filles tant dudit bourg que des environs, par la permission et du consentement de Monseigneur l'archevesque de Rouen, et applicquer aux autres soins qu'elles pourront prendre et qui concerneront le bon ordre, entretien et augmentation dudit hôpital, sous la conduite desdits administrateurs » ; – copie informe du « mémoire que monsieur Le Febvre, chanoine, trésorier honoraire de l'église collégiale d'Escouys, a mis entre les mains de monsieur le curé d'Escouys pour luy en rendre response : monsieur Le Febvre offre de donner à l'hospital d'Escouys la somme de 10,300 livres en trois contrats sur la ville de Paris, fesant quatre cents douze livres de rente sur le pied du denier vingt-cinq, aux charges et conditions suivantes, scavoir : 1° d'entrenir à perpétuité, du jour de son déceds que la fondation aura Heu, trois places de sœurs qui ayent tous les talents et les qualités tant de nature que de grâce pour aller instruire en forme de missions les personnes de leur sexe dans les lieux du Vexin où il y en aura un plus grand besoin et où Monseigneur l'archevesque de Rouen et ses successeurs croyeront qu'elles pourront contribuer davantage à la gloire de Dieu, au salut du prochain, en sorte qu'il y aura toujours trois sœurs employées aux dittes fonctions et que s'il s'en trouve quelqu'une qui ne soit en estât de les remplir, soit par infirmité accidentelle ou par infirmité habituelle, la communauté sera obligée d'en envoyer une autre à sa place ; 2° que l'hospital acquérera de M. Le Roux de Villers la maison de la Fleur de Lys en sa totalité ou partie, autant qu'il conviendra pour l'establissement qu'on a en vue, et pour faciliter ladite acquisition, ledit sieur Le Febvre offre de donner en oultre des dix mille trois cents livres cy-dessus la somme de sept cents livres argent comptant lors de laditte acquisition, etc. ».

Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis
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