Toutes les ressources Saint Maclou 12 résultats (9ms)

Copie de la donation faite « au trésor de l'église de Chauvincourt, au chapelain et à ses successeurs en ladite qualité et aux pauvres malades de ladite paroisse » par Marie-Marthe de Biencourt, « dame et patronne à moitié de Chauvincourt » d'une rente annuelle de 400 livres, à charge de divers services religieux (1676) ; – copie du testament de Marie-Marthe de Bien-court (13 février 1694) : « Je désire mon corps estre enterré en l'église de Saint-Maclou de Chauvincourt, dans la chapelle que je fais bastir... » ; – compte passé entre les trésoriers de la fabrique et Charles d'Orléans, abbé de Rothelin, à la suite du décès du comte de Rothelin, seigneur de Chauvincourt (1728) : « Nous avons trouvé que la terre de Chauvincourt étoit chargée par différentes parties de rentes de la somme de 577 livres 8 sols par an » envers la fabrique ; –états des rentes appartenant à la fabrique.

G501 , 1600-1762  
Contexte :
Églises paroissiales > Chauvincourt

Copie de la donation faite « au trésor de l'église de Chauvincourt, au chapelain et à ses successeurs en ladite qualité et aux pauvres malades de ladite paroisse » par Marie-Marthe de Biencourt, « dame et patronne à moitié de Chauvincourt » d'une rente annuelle de 400 livres, à charge de divers services religieux (1676) ; – copie du testament de Marie-Marthe de Bien-court (13 février 1694) : « Je désire mon corps estre enterré en l'église de Saint-Maclou de Chauvincourt, dans la chapelle que je fais bastir... » ; – compte passé entre les trésoriers de la fabrique et Charles d'Orléans, abbé de Rothelin, à la suite du décès du comte de Rothelin, seigneur de Chauvincourt (1728) : « Nous avons trouvé que la terre de Chauvincourt étoit chargée par différentes parties de rentes de la somme de 577 livres 8 sols par an » envers la fabrique ; –états des rentes appartenant à la fabrique.

G501 , 1600-1762  
Contexte :
Églises paroissiales > Chauvincourt

Pont-Saint-Pierre.

H467 , 1258-1722 , Lyons-la-Forêt (Abbaye de) ; Pont-Saint-Pierre ; Romilly-sur-Andelle  

Bail à ferme passé par l'abbaye à Robert de Bonneval, curé de la paroisse Saint-Nicolas de Pont-Saint-Pierre, pour la durée de sa vie, d'un emplacement avec les constructions y édifiées, sis à Pont-Saint-Pierre, moyennant une rente de 12 sous tournois par an (1258) ; bail du même emplacement consenti par l'abbaye à Simon, curé de Pont-Saint-Pierre, moyennant une rente de 15 sous (1276) ; — acquisition par l'abbaye de 14 sous de rente assignés sur des terres sises à Pont-Saint-Pierre et à Romilly (1264) ; — baux à fieffe de deux masures situées à Pont-Saint-Pierre et appartenant à l'abbaye (1330-1364) ; — cqpie imprimée d'une sentence de la Table de marbre du palais à Rouen, permettant au marquis de Pont-Saint-Pierre de faire assigner audit siège « les chasseurs, affûteurs et pescheurs » qui tuaient son gibier et prenaient son poisson dans l'étendue de ses terres et seigneuries situées en Normandie (1701). — (Dixième chapitre, article 4, de l'inventaire de 1738.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Lyre (Ordre de Saint-Benoît)

Pont-Saint-Pierre.

H467 , 1258-1722 , Lyons-la-Forêt (Abbaye de) ; Pont-Saint-Pierre ; Romilly-sur-Andelle  

Bail à ferme passé par l'abbaye à Robert de Bonneval, curé de la paroisse Saint-Nicolas de Pont-Saint-Pierre, pour la durée de sa vie, d'un emplacement avec les constructions y édifiées, sis à Pont-Saint-Pierre, moyennant une rente de 12 sous tournois par an (1258) ; bail du même emplacement consenti par l'abbaye à Simon, curé de Pont-Saint-Pierre, moyennant une rente de 15 sous (1276) ; — acquisition par l'abbaye de 14 sous de rente assignés sur des terres sises à Pont-Saint-Pierre et à Romilly (1264) ; — baux à fieffe de deux masures situées à Pont-Saint-Pierre et appartenant à l'abbaye (1330-1364) ; — cqpie imprimée d'une sentence de la Table de marbre du palais à Rouen, permettant au marquis de Pont-Saint-Pierre de faire assigner audit siège « les chasseurs, affûteurs et pescheurs » qui tuaient son gibier et prenaient son poisson dans l'étendue de ses terres et seigneuries situées en Normandie (1701). — (Dixième chapitre, article 4, de l'inventaire de 1738.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Lyre (Ordre de Saint-Benoît)

Saint-Maclou.

H1316 , 1496-1760 , Grestain (abbaye de) ; Lisieux ; Préaux (Abbaye de Saint-Léger de) ; Sainte-Trinité (Chapelle de la), sise à Préaux ; Saint-Maclou  

Sentence interlocutoire rendue par l'official de Lisieux entre Jean du Moustier, prêtre, d'une part, Marguerite du Bosc, abbesse, et le couvent de Saint-Léger de Préaux, d'autre part, dans le procès engagé entre les parties au sujet des dîmes des fiefs appartenant aux religieuses dans la paroisse Saint-Maclou (1496) ; — accord entre l'abbesse de Préaux, d'une part, Jean Frontin, curé de Saint-Maclou, et Jean-François de Prestreville, prêtre, titulaire de la chapelle de la Sainte-Trinité de Préaux, d'autres parts, au sujet des réparations du chancel de l'église de Saint-Maclou. Les parties, en leur qualité de gros décimateurs de la paroisse, s'engagent à faire exécuter à leurs frais les réparations nécessaires, sauf à y faire contribuer M. l'abbé de Malherbe, ci-devant abbé de Grestain, pour la part qui lui incomberait (1747).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Léger de Préaux (Ordre de Saint-Benoît)

Saint-Maclou.

H1316 , 1496-1760 , Grestain (abbaye de) ; Lisieux ; Préaux (Abbaye de Saint-Léger de) ; Sainte-Trinité (Chapelle de la), sise à Préaux ; Saint-Maclou  

Sentence interlocutoire rendue par l'official de Lisieux entre Jean du Moustier, prêtre, d'une part, Marguerite du Bosc, abbesse, et le couvent de Saint-Léger de Préaux, d'autre part, dans le procès engagé entre les parties au sujet des dîmes des fiefs appartenant aux religieuses dans la paroisse Saint-Maclou (1496) ; — accord entre l'abbesse de Préaux, d'une part, Jean Frontin, curé de Saint-Maclou, et Jean-François de Prestreville, prêtre, titulaire de la chapelle de la Sainte-Trinité de Préaux, d'autres parts, au sujet des réparations du chancel de l'église de Saint-Maclou. Les parties, en leur qualité de gros décimateurs de la paroisse, s'engagent à faire exécuter à leurs frais les réparations nécessaires, sauf à y faire contribuer M. l'abbé de Malherbe, ci-devant abbé de Grestain, pour la part qui lui incomberait (1747).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Léger de Préaux (Ordre de Saint-Benoît)

Rouen.

H1128 , 1196-1772 , Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Rouen (ville) ; Rouen, Abbaye Sainte-Trinité-du-Mont ; Rouen, Paroisse Saint-Maclou  

Confirmation par Gauthier de Coutances, archevêque de Rouen, d'une sentence de son Officialité qui avait reconnu à l'abbaye de la Sainte-Trinité-du-Mont de Rouen, contrairement aux prétentions de Mathieu du Bec, fils d'Eustache du Bec, chevalier, la propriété d'une maison, sise à Rouen, ayant appartenu aux fils de Renaud de Châtillon, chanoine de Rouen, et donnée par l'un d'eux à ladite abbaye (s. d. vers 1196) ; — bail passé par les Chartreux à Jacques de la Rivière, Robert et Jean Mahieu, frères, d'« une des deux maisons à eulx appartenant, nouvellement construite et édiffiée, seize rue Nostre-Dame, parroisse Saint-Maclou de Rouen », pour le prix de quatre-vingt-onze livres quinze sous par an (1610) ; — autre bail de ladite maison, consenti à Thomas Massue, tapissier en haute lice, pour le prix annuel de 86 livres tournois (1630) ; — plan par terre et élévation « de la maison de Rouen, dans la rue de Notre-Dame, derrière Saint-Maclou », et devis de la construction de ladite maison, entreprise par Noël d'Yvetôt, maître maçon à Rouen (1640) ; — déclaration fournie au bureau de la recette générale des Domaines par Bernard Maître, procureur de la Chartreuse, « d'un tènement de maisons scises à Rouen, rue Notre-Dame, paroisse Saint-Maclou, consistant en deux petits corps de logis, des deux costés de la grande porte de la maison du fond servant d'hospice aux religieux de ladite Chartreuse » (1772).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Rouen.

H858 , 1435-1720 , Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Rouen (Hôtel de l' « Ecuelle d'Etain ») ; Rouen (Hôtel des « Deux-Amants », rue Martainville) ; Rouen (ville)  

Vente aux religieux du prieuré des Deux-Amants par Drouet de Binguemare et Jeanne, sa femme, d'une portion de jardin sise à Rouen, paroisse Saint-Maclou, « joignant d'un costé aux diz religieux et à l'ostel où pent l'ensengne de l'Escuelle d'Estain, d'un bout au grand chimentière de Saint-Maclou », pour le prix de 61 saluts d'or (1435) ; — baux à loyer de la maison dite l'Hôtel des Deux-Amans, sise à Rouen, rue Martainville, passés par les religieux du prieuré à noble homme François Darendel, pour le prix annuel de 40 écus (1594), à Etienne Haquebart, bourgeois et marchand (1609-1613), et à René Dufour, marchand de draps (1622), pour le prix de 270 livres, à Marin Marie, marchand, pour le prix de 400 livres (1670), à Jean Piel, marchand, pour le prix de 300 livres et pour une durée de 99 ans (1720) ; — procès-verbal de visite et d'état de lieux de la maison dite l'Hôtel des Deux-Amants, occupée par Marin Marie (1670).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré des Deux-Amants

Rouen.

H858 , 1435-1720 , Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Rouen (Hôtel de l' « Ecuelle d'Etain ») ; Rouen (Hôtel des « Deux-Amants », rue Martainville) ; Rouen (ville)  

Vente aux religieux du prieuré des Deux-Amants par Drouet de Binguemare et Jeanne, sa femme, d'une portion de jardin sise à Rouen, paroisse Saint-Maclou, « joignant d'un costé aux diz religieux et à l'ostel où pent l'ensengne de l'Escuelle d'Estain, d'un bout au grand chimentière de Saint-Maclou », pour le prix de 61 saluts d'or (1435) ; — baux à loyer de la maison dite l'Hôtel des Deux-Amans, sise à Rouen, rue Martainville, passés par les religieux du prieuré à noble homme François Darendel, pour le prix annuel de 40 écus (1594), à Etienne Haquebart, bourgeois et marchand (1609-1613), et à René Dufour, marchand de draps (1622), pour le prix de 270 livres, à Marin Marie, marchand, pour le prix de 400 livres (1670), à Jean Piel, marchand, pour le prix de 300 livres et pour une durée de 99 ans (1720) ; — procès-verbal de visite et d'état de lieux de la maison dite l'Hôtel des Deux-Amants, occupée par Marin Marie (1670).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré des Deux-Amants

Rouen.

H1128 , 1196-1772 , Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Rouen (ville) ; Rouen, Abbaye Sainte-Trinité-du-Mont ; Rouen, Paroisse Saint-Maclou  

Confirmation par Gauthier de Coutances, archevêque de Rouen, d'une sentence de son Officialité qui avait reconnu à l'abbaye de la Sainte-Trinité-du-Mont de Rouen, contrairement aux prétentions de Mathieu du Bec, fils d'Eustache du Bec, chevalier, la propriété d'une maison, sise à Rouen, ayant appartenu aux fils de Renaud de Châtillon, chanoine de Rouen, et donnée par l'un d'eux à ladite abbaye (s. d. vers 1196) ; — bail passé par les Chartreux à Jacques de la Rivière, Robert et Jean Mahieu, frères, d'« une des deux maisons à eulx appartenant, nouvellement construite et édiffiée, seize rue Nostre-Dame, parroisse Saint-Maclou de Rouen », pour le prix de quatre-vingt-onze livres quinze sous par an (1610) ; — autre bail de ladite maison, consenti à Thomas Massue, tapissier en haute lice, pour le prix annuel de 86 livres tournois (1630) ; — plan par terre et élévation « de la maison de Rouen, dans la rue de Notre-Dame, derrière Saint-Maclou », et devis de la construction de ladite maison, entreprise par Noël d'Yvetôt, maître maçon à Rouen (1640) ; — déclaration fournie au bureau de la recette générale des Domaines par Bernard Maître, procureur de la Chartreuse, « d'un tènement de maisons scises à Rouen, rue Notre-Dame, paroisse Saint-Maclou, consistant en deux petits corps de logis, des deux costés de la grande porte de la maison du fond servant d'hospice aux religieux de ladite Chartreuse » (1772).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Vente par André Boittevilain à Jean de Mansigny (de Mancegniaco) d'une rente de 8 sous tournois et 2 chapons assignés à Romilly (apud Romelli), pour le prix de 100 sous tournois (1226) ; – confirmation par François, du Mont-au-Berger (de Montebergerio), chevalier, des donations faites par Jean, son père, à l'abbé de la Sainte-Trinité et à l'abbaye de Bonport ; donation par le même d'une somme de 1,000 livres à l'église Saint-Maclou de Rouen et de 200 écus à l'église de Saint-Eloi-des-Près (1258 ; copie collationnée du XVIIe siècle) ; – accord entre les religieux de Bonport, « seigneurs de la terre et sieurie des Deux-Amands, dicte de Bonport », d'une part, et Jacques Durand, « sieur du Montauberger et Beauséjour », fils et héritier de feu Henri Durand et de Marguerite Viel, d'autre part, pour le règlement des rentes et des devoirs seigneuriaux dus à l'abbaye par ledit sieur du Mont-au-Berger à cause de la seigneurie des Deux-Amants (1574). – (Quatre-vingtième liasse de l'inventaire de 1784.).

H219 , 1226-1673 , Beauséjour (fief de) ; Bonport (Abbaye Saint-Pierre de) ; Mont-au-Berger (le), lieu-dit ; Romilly-sur-Andelle ; Rouen, Abbaye Sainte-Trinité-du-Mont ; Rouen, Paroisse Saint-Maclou ; Saint-Eloi-des-Prés  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Bonport (Ordre de Cîteaux)

Vente par André Boittevilain à Jean de Mansigny (de Mancegniaco) d'une rente de 8 sous tournois et 2 chapons assignés à Romilly (apud Romelli), pour le prix de 100 sous tournois (1226) ; – confirmation par François, du Mont-au-Berger (de Montebergerio), chevalier, des donations faites par Jean, son père, à l'abbé de la Sainte-Trinité et à l'abbaye de Bonport ; donation par le même d'une somme de 1,000 livres à l'église Saint-Maclou de Rouen et de 200 écus à l'église de Saint-Eloi-des-Près (1258 ; copie collationnée du XVIIe siècle) ; – accord entre les religieux de Bonport, « seigneurs de la terre et sieurie des Deux-Amands, dicte de Bonport », d'une part, et Jacques Durand, « sieur du Montauberger et Beauséjour », fils et héritier de feu Henri Durand et de Marguerite Viel, d'autre part, pour le règlement des rentes et des devoirs seigneuriaux dus à l'abbaye par ledit sieur du Mont-au-Berger à cause de la seigneurie des Deux-Amants (1574). – (Quatre-vingtième liasse de l'inventaire de 1784.).

H219 , 1226-1673 , Beauséjour (fief de) ; Bonport (Abbaye Saint-Pierre de) ; Mont-au-Berger (le), lieu-dit ; Romilly-sur-Andelle ; Rouen, Abbaye Sainte-Trinité-du-Mont ; Rouen, Paroisse Saint-Maclou ; Saint-Eloi-des-Prés  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Bonport (Ordre de Cîteaux)
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