Testaments de Gilles Tiberge et de Marion Voisine, sa femme (1610), de Marie Auvray (1611), de Toussaint Hue (1650), de Marguerite Fleurie (1664), de Charles Hauroy (1653) et de François Le Cauchois, curé de Saint-Éloi (1710), contenant des legs à la fabrique. (Par son testament, François Le Cauchois donne à la fabrique de Saint-Éloi un clos planté en vignes, sis au triège du Clos-Saint-Étienne, une vergée de terre située derrière le presbytère, deux acres de terre à Bézu-le-Long, près de l'église, en outre, 50 livres à l'Hôtel-Dieu de Gisors, 50 livres à la Charité de cette ville et 50 livres aux prisonniers dudit Gisors) ; – baux à ferme des terres de la fabrique situées à Saint-Éloi, trièges des Vignes, des Terres-Noires, du Home, et à Bezu-le-Long, trièges des Cornets et du Queuset.