Identifiez-vous
Menu
Identifiez-vous
Accueil

Actualités Chercher... Aide à la recherche Enseigner En pratique Expositions Grande collecte sport 2024 FAQ

Commentaire (0)

0 / 512 caractères

Soyez le premier à réagir sur cette ressource!

Plan de classement

Archives ecclésiastiques : clergé séculier (série G)

Églises paroissiales

Saint-Mards-sur-Risle

• Aveux rendus par la fabrique à François Du Quesne (1693), à François-Antoine Du Quesne (1748), chevaliers, « seigneurs de Desneval » et à Louis-Sébastien-Hyacinthe Des Douits, écuyer (1776), pour une pièce de prairie contenant trois vergées, relevant de la seigneurie de Saint-Mards-sur-Risle.

• Quittances des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts payés par la fabrique ; procès-verbal d'adjudication devant le subdélégué de Pont-Audemer, de la levée, dans l'étendue de la paroisse de Saint-Mards-sur-Risle, du cinquantième denier imposé sur tous les fruits et revenus de la terre en conséquence de la déclaration du Roi du 5 juin 1725 (Charles Caplain, adjudicataire au prix de 145 livres). Exploit de signification de ladite adjudication aux habitants de la paroisse, à la requête dudit Charles Caplain : « leur faisant deffence de par le Roy de procéder à l'emport et récolte d'aucune levée en grains ou fruits qu'en avertissant ledit requérant » (1726).

• Baux à ferme d'une pièce de terre en labour appartenant à la fabrique et contenant une vergée, sise à Saint-Mards-sur-Risle, « d'un bout la sente aux Épines et d'autre bout le chemin Moullant ».

• Testament de Jean Le Sourd, léguant à la fabrique une rente de 7 livres tournois (1666) ; – lettres de M. Jamard, curé de L'Isle-Marie près Carentan, adressées au curé de Saint-Mards-sur-Risle au sujet de la succession de Jérémie Jamard, son oncle, ancien curé de cette paroisse : « J'ay enfin reçeu votre lettre, à la faveur d'un petit batteau qui est venu à notre port, que j'ay communiquée à un de mes frères qui n'est pas dans la pensée de faire un marché tel que vous le proposés, mais il se trouve dans la résolution de faire un traitté plus glorieux devant Dieu, plus édifiant devant le monde et plus reconnaissant à l'église dont feu notre oncle a esté curé... ». La minute, rédigée par le curé de Saint-Mards en réponse à cette lettre et à une suivante, débute ainsi : « J'ay reçeu, monsieur, les lettres que vous m'avait fait l'honneur d'écrire. Comme je n'ai point trouvé que le traitté que vous vouliez faire avec notre thrésorier fût autant glorieux devant Dieu, édifiant devant le monde et autant reconnessant à l'église que vous le dites, je n'ay point cru devoir vous répondre » (1712-1713).

• Délibérations des trésoriers et des habitants de la paroisse pour la nomination des trésoriers et des syndics.

• Comptes des trésoriers de la fabrique et procès-verbaux de visite de l'église par les délégués de l'archevêque de Rouen. « Sur l'avis que nous avons eu que l'église a un petit pré et que le seigneur de la paroisse, qui est de la religion prétendue réformée, despouille ladite pièce et en donne à l'église beaucoup moins qu'il ne vault, mesme empesche que d'autres ne la prennent à son préjudice, nous avons faict deffence au sieur curé, sous peine de suspense, et au thrésaurier, sous peine d'excommunication, de permettre audit seigneur l'occuper davantage et avons ordonné qu'elle sera proclamée par troys diverses foys et baillée au plus offrant à la réserve toutes fois dudit seigneur de la paroisse. » (Procès-verbal de visite de R. Le Confier, grand archidiacre de Rouen, le 25 juin 1659.).

• Comptes des trésoriers de la fabrique ; – marché passé par Marc-Antoine Hellot, curé de Saint-Mards, avec Joseph Simonneau et Jean-Baptiste Charton, maîtres fondeurs, « de présent à Pont-Audemer », pour la refonte de la grosse cloche de l'église au prix de 100 livres (1753).

• Comptes des trésoriers de la fabrique. Pièces justificatives. –« Pour avoir faitre construire le grand autel, l'avoir fait décorer et avoir fait mettre une croix au cimetière... 312 livres 15 sous » (1769) ; – marché passé avec le sieur Cardet pour la construction de deux piliers en brique, de cinq pieds de hauteur, « à la barrière du cimetière » (1777), – id., avec Nicolas Callé, maître-menuisier à Pont-Audemer, pour la fourniture d'une grande porte en bois de chêne, à deux battants, au prix de 60 livres, – id., avec Jean-Baptiste Gouin, maçon, pour les réparations de l'église et la construction d'un perron « de trois grandes marches de pierre » devant la porte principale de l'église (1788).

• Pièces de procédure et transactions entre la communauté des habitants et la fabrique de Saint-Mards, d'une part, et Pierre Denise, fermier de M. de Camilly, d'autre part. (Ce dernier se reconnaît « taillable et demeurant en ladite paroisse de Saint-Mards et abondonné entièrement l'effet de sa prétendue translation dans la paroisse de Blacarville comme nulle » ; il consent, en outre, à rembourser la somme de 9 sous avancée par le trésorier de la fabrique pour l'offrande du pain bénit, faite en son nom, ainsi que les frais résultant des procès engagés (1739) ; – nomination par l'assemblée des habitants (Philippe Thirel, écuyer, seigneur de Siglas, Charles-Toussaint Lefèvre, officier des côtes, etc.), d'un mandataire chargé de soutenir devant le bureau des finances de Rouen « le procès intenté sous le nom de M. Pierre Laffiteau, évêque de Sisteron, abbé commendataire de l'abbaye de Corneville, seigneur du fief et seigneurie de dame Jullienne de Neuville, autrement nommé le petit fief de Saint-Mards, touchant les communes appelées les Côtes-de-Risle » (1761) ; – procès-verbal de nomination des sieurs Pollard et Leconte en qualité de députés de la paroisse à l'assemblée du bailliage de Pont-Audemer (1789).

• Inventaire des contrats de fondation, de 1594 à 1645, conservés dans les archives de la fabrique.

Partager la ressource
Lien permanent :

Saint-Mards-sur-Risle

Date :
1638-1792
Identifiant :
G1198-1207
Autres identifiants :
Cotes extrêmes : G1198-1207