Thil (Le).
Aveu rendu par les Bénédictines d'Andely à Jacques Jubert, chevalier, marquis du Thil, pour une acre de terre sise au Thil.
Aveu rendu par les Bénédictines d'Andely à Jacques Jubert, chevalier, marquis du Thil, pour une acre de terre sise au Thil.
États des abornements des terres appartenant à l'abbaye de Saint-Jean d'Andely, situées à Villers-en-Vexin (XVIIIe siècle) ; baux des terres de Villers-en-Vexin, passés par les Bénédictines d'Andely moyennant un prix de fermage annuel de 50 mines de blé (1701-1736), de 176 boisseaux de blé et de 34 livres d'argent (1756-1764).
Copie collationnée des lettres patentes de Louis XIV accordant aux Bénédictines de Lyons le droit de prendre gratuitement, pour leur chauffage, dix cordes de bois dans la forêt de Lyons, à la charge de faire dire tous les ans dans leur monastère, le jour anniversaire de la naissance du Roi, un service « pour demander à Dieu qu'il luy plaise nous départir sa sainte protection et faire jouir nos subjets de la paix que nous leur désirons ».
Baux à ferme de quatre acres et demie de terre, en six pièces, situées dans la paroisse de Mussegros, trièges de Huval et du Clos-de-1'Épine, passés par les Bénédictines d'Andely moyennant un prix de fermage annuel de huit mines de blé en 1678 et de 14 boisseaux en 1734.
Baux à ferme d'une pièce de terre contenant une vergée, sise au Grand-Andely, triège des Carrières, passés par l'abbaye de Saint-Jean d'Andely moyennant un prix de fermage annuel de 12 livres en 1746 et de 15 livres en 1755.
Aveux rendus par les Bénédictines d'Andely à Charles de Biencourt, chevalier (1642) et à Charlotte de Biencourt, veuve de François d'Orléans, chevalier (1701), pour des terres sises à Chauvincourt et relevant de la seigneurie dudit lieu ; bail à ferme de deux acres une vergée de terre à Chauvincourt, passé par les religieuses à Louis Lavoine, laboureur, moyennant un prix de fermage annuel de 20 livres (1682).
Bail à ferme d'une acre sept perches de terre sise à Provemont, passé par les Bénédictines d'Andely à Nicolas de Chaumont, moyennant un prix de fermage annuel de 10 livres (1686) ; aveux de la pièce de terre ci-dessus rendus par les religieuses à Jean de Belloy (1689), à Nicolas de Belloy (1736-1745) et à Claude-Nicolas de Belloy (1779), chevaliers, seigneurs de Provemont.
Copies de titres et procédures concernant dix acres de terre, dont huit situées à la campagne de Rosay et deux à la Villenaise, constituées en dot en 1654 par Jean-Jacques de la Mare, écuyer, sieur du Chesne-Varin, maître particulier des eaux et forêts du bailliage de Gisors, au profit de Jeanne de la Mare, l'une de ses filles, religieuse au couvent des Bénédictines de Lyons.
Vente par Charles Le Roux, sieur de Villers-sur-Andely, aux religieuses bénédictines de Saint-Jean d'Andely, de quatorze à quinze acres de terre en plusieurs pièces, situées à Fresnes-l'Archevêque, pour le prix de 4,225 livres (1667) ; aveux rendus par les Bénédictines, pour leurs terres de Fresnes-l'Archevêque, à Claude-Maur d'Aubigné (1717) et à Dominique de la Rochefoucauld (1776), archevêques de Rouen, barons et hauts justiciers de Fresnes-l'Archevêque.
Aveux rendus par les Bénédictines d'Andely à René de Presteval, chevalier (1671), à André Jubert de Bouville, chevalier (1714) et à Alexandre-Gabriel Jubert de Bouville, chevalier (1789), marquis de Panilleuse, pour des terres situées au hameau de Nezé, paroisse de Mézières, et relevant du marquisat de Panilleuse.
Baux à ferme de la ferme de Normanville, contenant environ trente-trois acres, sise au Mesnil-Lieubray et appartenant aux Bénédictines d'Andely par suite de la réunion faite à leur couvent des biens du prieuré des Bénédictines de Lyons par décret de l'Archevêque de Rouen en date du 25 juin 1742, passés moyennant un prix de fermage annuel de 180 livres en 1746 et 1752, de 200 livres en 1759 et de 250 livres en 1769 ; aveu rendu par les Bénédictines d'Andely, pour leurs terres de Normanville, à Nicolas-Louis Le Maître, écuyer, trésorier-général de France au bureau des Finances de la généralité de Rouen, seigneur de Normanville (1762).