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Titres concernant la fondation d'une messe basse chaque jour de l'année faite en 1683 par Jean Le Tellier, écuyer, seigneur d'Aussonville, conseiller secrétaire du Roi, maison, couronne de France et de ses finances, et Marie Bourse, sa femme, moyennant la constitution au profit des Cordeliers d'une rente de 150 livres assignée sur leurs biens.
Contrat d'acquisition et baux à ferme de plusieurs pièces de terre sises à Gisors, à Courcelles, à Bazincourt, à Villerets et à Éragny. – Bail à ferme de « cinquante un arpents ou environ, tant en terre labourable que prés, en plusieurs pièces, ainsi que le tout s'étend et comporte, scis sur le dixmage d'Éragny, Gisors, Boisgeloup, Trie-Château, Grinville et au très terroirs voisins », passé par les Mathurins de Gisors à Pierre Cartier, marchand et laboureur à Gisors, moyennant un prix de fermage annuel de 836 livres (1782) ; –« plans figurés de plusieurs pièces de terre appartenants à Messieurs les Mathurins de Gisors, scizes sur le terroir dudit Gisors, le Boisgelout et Courcelles, levés par le sieur Pierre Louvet, arpenteur royal, en avril 1758 ».
Gisors.
Donation aux Mathurins de Gisors par Françoise Gosse, veuve de Guillaume Géraud, sieur de Fruges, d'une maison sise à Gisors, rue Saint-Antoine, pour la fondation de treize messes basses chaque année (1698) ; baux à ferme de deux maisons appartenant aux Mathurins, sises à Gisors, faubourg de Neaufles, lieu dit Les Bornes (1692-1739) ; id. D'un arpent de pré situé à Gisors dans la prairie des Argilliers, vers le chemin d'Éragny (1719-1735) ; aveux rendus par les Mathurins de Gisors à la seigneurie du Boisgeloup pour deux arpents quarante perches de terre sis audit Boisgeloup, lieu dit Le Caillou (1714-1725) ; vente aux Mathurins par Jacques Tessier, marchand-mégissier à Gisors, de cinq quartiers de terre labourable, situés à Gisors, sur le chemin d'Éragny, pour le prix de 240 livres tournois (1668) ; bail à ferme d'un demi-arpent de pré, sis à Gisors, lieu dit lePré-du-Gant, passé par les Mathurins à Mathieu Le Roux, jardinier à Gisors, moyennant un fermage annuel de 30 livres (1724) ; aveu rendu par les Mathurins à Joseph-Jean-Baptiste de la Boissière, chevalier, « seigneur de Chambors-en-Vexin-Le-François, des Essarts et de La-Grange-Cercelle, ci-devant capitaine au régiment de Bretagne et écuyer ordinaire du Roy », pour une pièce de terre contenant douze arpents ou environ, « seize hors le fauxbourg de la porte de Neaufle, terroir dudit Gisors, au lieu anciennement nommé Les Trois-Chesnes ».