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Mesnil-Jourdain (le).

H1209 , 1470-1668 , Acquigny ; Becdal (fief de) ; Cambremont (fief de) ; Clos-Miclot (Le), triège situé au Mesnil-Jourdain ; Ermitage (L'), triège sis au Mesnil-Jourdain ; Follenville (fief de) ; Mesnil-Jourdain (Le) ; Métairie (fief de la) ; Mouillepain (surnom de la Rivière en Eure, à Becdal près Louviers) ; Rouen (Parlement de) ; Vivonne (fief de)  

Donation par Artus de Hellenvillier, écuyer, seigneur du Mesnil-Jourdain, à « frère Jehan Berthon, prêtre, religieux de la tierce ordre Saint-François » et à ses successeurs, d'« une place et lieu assis ès bois de la dite seigneurie du Mesnil-Jourdain, nommé l'Ermitage, avec acre et demie de bois à prendre en l'environ d'icelui lieu et dix perques de terre au long de la rivière d'Eure, au bas et en l'endroit d'icelui hermitage », en considération de « la grant et affectueux désir que ledit frère Jehan Berthon avoit de vivre et finir ses jours, comme il disoit, en dévocion et en lieu hors la communauté du peuple » (1470) ; — donation aux Pénitents de Sainte-Barbe-près-Louviers par « Claude Le Roux, chevalier, seigneur et baron haut justicier d'Acquigny, châtelain de Cambremont, Mesnil-Jourdain, Vivonne, seigneur de Becdal, la Métairie, Folleville et autres lieux, conseiller au parlement de Normandie, patron fondateur de la maison, couvent et monastère des révérends pères Pénitents establis à Sainte-Barbe-lès-Louviers en la paroisse du Mesnil-Jourdain, d'une pièce d'héritage en labour et pré, nommé d'antiquité le Clos-Miclot, close de haye, contenant trois vergées ou environ, sise au Mesnil-Jourdain, bornée d'un costé l'eau de la rivière d'Eure vulgairement appelée Mouillepain, d'autre costé le grand chemin tendant de Louviers à Évreux » et d'une rente annuelle de 13 livres 10 sous tournois, pour la fondation de messes dans la chapelle de son manoir seigneurial de Becdal (1667).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Pénitents de Louviers

Bail à fieffe passé par Robinet Larchevêque et Jeanne, sa femme, à Vincenot Langlois et à Raullecte, sa femme, bourgeois d'Andely, d'une maison et d'un jardin sis à Andely, rue de la Foullerie, bornés d'un côté la rue qui conduit à la fontaine Saint-Jean, d'un bout le chemin du Roi, moyennant une rente annuelle de 28 sous parisis (1357) ; – reconnaissance par la sous-prieure des Ursulines d'Andely au profit de Claude Le Roux, sieur de Cambremont, conseiller au parlement de Rouen, d'une rente annuelle de 20 sous « pour fieffe d'un jardin contenant demi-acre ou environ », sis au Grand-Andely, rue Sainte-Clotide, borné d'un bout la rivière de Gambon et d'autre bout la fontaine Sainte-Clotide » (1645) ; – mémoires et pièces de procédures pour les Ursulines d'Andely contre MM. De la Blandinière, conseiller à la cour, Puchot, trésorier de France, Richomme, auditeur des Comptes, et Le Roy, avocat, adjudicataires par décret des héritages ayant appartenu à Vincent, François et Robert Dieupart, desquels lesdites religieuses avaient précédemment acquis une maison et des terres sises à Andely et comprises audit décret (1657-1679).

H1729 , 1357-1695 , Andelys (Les) ; Andelys (Les), Fontaine Saint-Jean (sise aux Andelys) ; Andelys (Les), Les Ursulines ; Bellemare (fief de) sis à Plaiville ; Cambremont (fief de) ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Ursulines d'Andely
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