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Extrait de l'ordonnance de Jacques-Nicolas Colbert, coadjuteur de Rouen, rendue au cours de sa visite de la paroisse de Boisemont, le 3 mai 1688 : « sur la plainte qui nous auroit esté portée par le sieur curé touchant les assemblées nocturnes de femmes et de filles qui se font dans la paroisse, communément appelées les veilleries, dans lesquelles il se commet de grands désordres, s'y trouvant de jeunes hommes et mesme des joueurs de violons, pour empescher les abus et scandales qui pourraient en arriver, nous défendons aux femmes et filles d'admettre à l'advenir aucune personne de différent sexe dans lesdites assemblées et aux hommes ou garçons d'y aller, à peine d'estre privés de l'administration des sacrements ; deffendons sous pareilles peines à tous paroissiens de commettre aucuns abus au feu de la Saint-Jean, tels que les danses » ; –« mémoire présenté à M. le curé de Hacqueville, doyen de Gamaches, par le sieur curé de Boisemont, en exécution de l'ordonnance archidiaconale du 4 septembre 1692, au sujet de la célébration de la fête de Sainte-Anne dans la chapelle de Frenelles, hameau de Boisemont, objet d'une contestation entre les habitants de Frenelles et le curé dudit Boisemont ; copie des statuts de la confrérie de Sainte-Anne établie dans l'église de Boisemont (1690) ; – liste des curés de Boisemont, « tirée des archives de l'abbaye de Sainte-Catherine, de celles de la Chartreuse de Bourbon et de l'église dudit Boisemont » (de 1183 à 1736, avec de nombreuses lacunes).

G424 , 1183-1736 , Frenelles (hameau de), à Boisemont ; Gamaches ; Hacqueville  
Contexte :
Églises paroissiales > Boisemont

Aveux rendus par la fabrique à Georges Jubert, conseiller du Roi et trésorier général de ses finances (1614), à Catherine de Croismare, veuve de Guillaume Thorel (1619), à Jacques-Etienne Bouvel, fils du sieur Bouvel, procureur au baillage de Rouen (1713), et à Marie-Louise de Caqueray, veuve de René-David Béquet de Longmesnil (1741), pour des terres relevant des fiefs de Bonnemare et du Quesnay sis à Gamaches.

G600 , 1614-1741 , Gamaches  
Contexte :
Églises paroissiales > Étrépagny

Biens du chapitre situés à Gamaches.

G229 , 1315-1458 , Gamaches  

Vente par Guillaume Lenglois, de la paroisse de Gamaches, à monseigneur Pierre de Gamaches, chevalier, d'une acre et 29 perches de terre situées dans ladite paroisse, pour le prix de 44 sous et 6 deniers tournois (1315, n. s. ) ; – copie d'une donation par Jean Delamare, de la paroisse de Gamaches, au chapitre collégial d'Ëcouis, de tous ses biens situés dans ladite paroisse, pour en jouir après son décès et celui de sa femme, à la charge pour le chapitre de célébrer une messe de Requiem chaque année pour le repos de son âme (1369) ; – copie des lettres d'amortissement accordées au chapitre par Guillaume de Gamaches, écuyer, seigneur de Gamaches, pour les 28 sous de rente qu'il avait droit de percevoir, comme seigneur du fief, sur les seize acres et une vergée de terre données au chapitre par Jean de Marigny, chevalier, sire du Mesnil, et situées dans la paroisse de Gamaches (1380) ; – copie de la donation faite au chapitre par noble homme messire Jean de Puiseux, chevalier, et madame Jeanne de Dangu, sa femme, de 9 acres de terre situées en la ville et paroisse de Gamaches, tenues du fief de Bonnemare par 32 sols parisis de rente, à la charge pour le chapitre de « faire trois messes et anniversaires chacun an » pour les donateurs (1380).

Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

Chapelle de Saint-Denis, près Verneuil.

G1535 , 1697 , Ermenoville ; Gamaches ; Guerny ; Vesly (Chapelle de Saint-Thomas-de-Cantorbéry) ; Vesly (Maladrie, La), triège  

Copie de la déclaration des revenus de ladite chapelle présentée à la chambre des comptes de Normandie par Eustache Le Roux, curé de Guerny : « à savoir, un clos sur lequel est bâtie laditte chapelle de Saint-Thomas, contenant deux acres trois vergées et demie, sis en ladite paroisse de Vesly, au triège de la Maladrerie, borné d'un côté le chemin de Vély à Gamaches, d'autre côté, à cause de la hache, M. d'Ermenoville, d'un bout le chemin de Gisors et d'autre bout ladite rue de la Maladrerie, etc. ».

Contexte :
Chapelles

Chauvincourt.

H1107 , 1669-1781 , Bonnemare (hameau de), situé à Radepont ; Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Chauvincourt ; Gamaches ; Le Rof (fief) sis à Chauvincourt ; Poutrincourt (fief)  

Copie d'un aveu rendu à Émery Jubert, chevalier, seigneur de Bonnemare, etc., par Antoine de Biencourt, seigneur de Poutrincourt et de Chauvincourt, pour « un fief de plaines armes assis à Chauvaincourt et aux environs, nommé le fief Le Roy », mouvant de la seigneurie de Bonnemare (1669) ; — « mémoire de la continence des terres du fief Le Roy, ainsy qu'elle est désignée dans les deffenses du sieur Georges Le Cuisinier dans l'instance commencée contre Michel-Nicolas Vinot, fermier de la dixme de Chauvincourt appartenant aux Chartreux de Gaillon, le 6 octobre 1730 » ; — plan des masures et des pièces de terre situées entre la rue de Chauvincourt à Vesly, la ruelle de Chauvincourt à Gamaches et le chemin de Gisors à Gamaches (1781).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Contrat de revalidation d'une rente de mille livres constituée en 1736 au profit du couvent de Sainte-Marie de Bizy et due en 1779 aux religieuses de la congrégation de Vernon par Claude-Daniel, marquis de Boisdennemets, chevalier, et par Simon-Robert Le Febvre, laboureur à Gamaches, « au nom et comme étant aux droits et représentant messire Louis Le Febvre, seigneur et patron d'Amécourt et à ce titre possédant le fief, terre et seigneurie de Chailly » (1779) ; — échange entre les religieuses de la congrégation de Vernon, d'une part, et Louis-Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, d'autre part, du sol de l'église et des lieux réguliers du couvent supprimé des Bénédictines de Bizy, contenant trois arpents quarante cinq perches, contre une rente de 300 livres constituée sur les aides et gabelles (1676).

H1590 , 1649-1787 , Amécourt ; Bisy (Couvent de Bénédictines de) ; Camfleur ; Chailly (fief du) sis à Amécourt ; Gamaches ; Vernon (Couvent de Sainte-Marie, sis à Bizy)  

Contrat de revalidation d'une rente de mille livres constituée en 1736 au profit du couvent de Sainte-Marie de Bizy et due en 1779 aux religieuses de la congrégation de Vernon par Claude-Daniel, marquis de Boisdennemets, chevalier, et par Simon-Robert Le Febvre, laboureur à Gamaches, « au nom et comme étant aux droits et représentant messire Louis Le Febvre, seigneur et patron d'Amécourt et à ce titre possédant le fief, terre et seigneurie de Chailly » (1779) ; — échange entre les religieuses de la congrégation de Vernon, d'une part, et Louis-Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, d'autre part, du sol de l'église et des lieux réguliers du couvent supprimé des Bénédictines de Bizy, contenant trois arpents quarante cinq perches, contre une rente de 300 livres constituée sur les aides et gabelles (1676).

Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Congrégation de Notre-Dame de Vernon

Chapelle du Fayel, paroisse de Perriers-sur-Andelle.

G1532 , 1736-1795 , Gamaches ; Mouflaines ; Provemont (chapelle de Saint-Michel de Vatimesnil) ; Provemont-Fissencourt (fief) ; Rouen (Parlement de) ; Sablonnière (triège de La, à Mouflaines)  

Aveu rendu par l'homme vivant et mourant de ladite chapelle à Robert Fauvel, chevalier, conseiller au parlement de Normandie, seigneur de Mouflaines, etc., pour une vergée de terre sise à Mouflaines, triège de la Sablonnière (1736) ; – contrainte pour le payement d'une somme de 88 livres due, pour le droit d'amortissement, par la chapelle de Vatimesnil « à cause de 20 livres de rente annuelle et perpétuelle, affectée spécialement sur une maison sise à Gamaches, et d'une vergée de terre sise à Sainte-Marie-des-Champs, de valeur de 4 livres de revenu, à elle donnée par le sieur Robert Le Felvre, laboureur, demeurant à Gamaches, par contract passé devant Duthil, notaire à Étrépagny, du 14 septembre 1749 ».

Contexte :
Chapelles

« S'est présenté le frère François, capucin du couvent de Gournay, pour prescher le carême dans cette église et autres dépendantes, en vertu du mandement de Monseigneur l'Archevêque en datte du 3E jour de février 1755 ; » – copie d'une lettre adressée par l'archevêque de Rouen (Nicolas II de Saulx-Tavannes) au doyen du chapitre pour le prier de faire célébrer un service solennel et des messes basses pour la maréchale de Delle-Isle, décédée (datée de Gaillon, le 9 mars 1755) ; – procès-verbal de la séance du chapitre général tenu le 21 mars 1755 ; – règlement pour la garde des archives du chapitre (27 août 1755) ; – le chapitre décide de chanter un Te Deum à l'occasion de la naissance du comte de Provence (5 décembre 1755) ; –« en vertu du mandement de Son Éminence le cardinal de Tavannes, archevesque de Rouen, à nous adressé pour faire chanter dans cette église et ses dépendances le Te Deum en actions de grâces de la prise du fort Saint-Philippe et l'île de Minorke, ont été députez messieurs Duval, chanoine, et Philippe, diacre, pour inviter messieurs du Présidial d'y assister dimanche prochain vingt-deux du présent, ce qu'ils ont accepté » (21 août 1756) ; – fixation du service pour « feu Son Éminence Monseigneur le cardinal de Saulx-Tavannes, archevêque Rouen », décédé le 10 mars (2 avril 1759) ; – copie de la requête et du mémoire présentés par les chanoines bénéficiaires du chapitre d'Andely à l'archevêque de Rouen, en son château de Gaillon, à l'effet d'être maintenus dans leur droit d'être appelés séparément dans les visites pastorales et dans les calendes et non point en même temps que le clergé du doyenné de Gamaches, comme cela avait eu lieu récemment (15 septembre 1760) ; – projet de rédaction d'un obituaire du chapitre (18 juin 1762) ; –« au chapitre tenu le 22 octobre 1764 se sont présentés MM. Le Rat, Marguerie et Philippes, lesquels pour rendre compte à la compagnie de la commission dont ils avaient été chargez dans l'acte du chapitre tenu le 13 juillet 1763 au sujet de l'examen des papiers, ont déclaré avoir trouvé les liasses et écritures en tel désordre qu'ils ne pouvoient par eux-mesmes les remettre en règle sans le secours d'un feudiste. » Le chapitre vote pour cet objet une somme de 150 livres ; – nomination par le chapitre d'un député « à l'assemblée du clergé du diocèse qui se tiendra au palais archiépiscopal le 13 de février prochain pour nommer et députer à l'assemblée de la province qui se tiendra au château de Gaillon le 25 du même mois » (1er février 1765) ; – fixation au 10 février 1766 du service solennel pour le repos de l'âme du Dauphin, « prince si digne d'estre regretté » ; – visite de l'archevêque de Rouen annoncée pour le 29 octobre 1766 ; – copie d'une lettre de M. de Lépine, curé du Petit-Andely, adressée au chapitre pour lui exposer les motifs de sa non-comparution au chapitre général et protester contre les prétentions du doyen (21 mars 1768) ; – service solennel pour le repos de l'âme de la Reine « si digne de nos regrets et de nos larmes » (3 août 1768) ; –« au chapitre tenu le 26 février 1771 se sont présentés MM. Le Roux, échevin, et Laîné, conseiller de ville, nommés et députés à l'effet de demander le consentement du chapitre pour élever dans le choeur, du côté gauche, un gradin pour placer MM. Les officiers municipaux les jours de cérémonie où il est d'usage qu'ils assistent, aux conditions de le faire placer la veille de la cérémonie et relever le lendemain ; » le chapitre consent ; – bénédiction de deux cloches « nommées, la première, Aimée-Louis, la seconde, Clotilde, par M. Louis Martin Mangin, ancien trésorier, receveur des tailles, seigneur de Travailles, Villers, La Rivière, etc., et par demoiselle Aimée-Marguerite Boulloche » (7 janvier 1773) ; – prières des quarante heures à l'occasion de la maladie du Roi (5 mars 1774) ; –« sur le rapport fait que Son Altesse sérénissime M. le duc de Penthièvre devait venir lundy prochain 26 du présent mois pour faire son entrée solennelle tant au grand qu'au petit Andely et ensuite assister à la bénédiction de la nouvelle chapelle de l'Hôtel-Dieu de Saint-Jacques qu'il a fait reconstruire, il a esté arresté à la pluralité des voix que conformément aux ordres de son éminence Mgr le cardinal de la Rochefoucault, archevêque de Rouen, le chapitre rendrait à Son Altesse sérénissime tous les honneurs qui pourraient lui appartenir en sa qualité de prince du sang et comme seigneur temporel des Andelys » (23 septembre 1785).

G204 , 1754-1790 , Andelys (villes des) ; Gamaches ; Gournay ; Travailles ; Villers (fief de), à Ecouis  
Contexte :
Chapitre collégial d'Andely > Délibérations capitulaires

Donations à la fabrique par Guillaume du Buisson, prêtre, de plusieurs pièces de terre situées à Gamaches (1499-1518), – par Robert Mourieult, prêtre, de quatre pièces de terre situées à Étrépagny, « au triège de Lescaubert, au bout du pavement, aux Buissonnetz, et à l'Ormetel de la Maladerie » (1524), – par Robert de la Mare, prêtre, curé de Saint-Martin (1517), – par « Guillemyne, veuve de Jean Duboys, avocat en cour laye, demeurant à Étrépagny », d'une rente de 10 sous tournois et de deux acres et demie de terre situées à Saint-Martin « en la lande de Genestay » (1526) ; – par Jean Prevel, prêtre, de plusieurs pièces de terre situées à Saint-Martin, à Heudicourt et à Bézu-le-Long (1576) ; – vente à la fabrique par Louise Le Boullanger, veuve de Nicolas Le Mercier, d'une acre de terre située à Étrépagny, triège d'entre la Garenne et la Chapelle Saint-Maur, pour le prix de 300 livres tournois (1665).

G597 , 1482-1726 , Bézu-le-Long ; Buissonnetz (Les), lieu dit à Etrepagny ; Etrépagny ; Gamaches ; Heudicourt ; Lescaubert (triège de), à Etrépagny ; Ormetel (triège de l'), à Etrépagny  
Contexte :
Églises paroissiales > Étrépagny

Biens du chapitre situés à Touffreville.

G236 , 1351-1789 , Bec (fief du), à Touffreville ; Champdoisel ; Cisay (seigneurie de) ; Dampierre ; Douville ; Ferté-Saint-Riquier (La) ; Gamaches ; Mare-Guilbert (La), triège à Touffreville ; Marigny ; Neuville-du-Bosc (La) ; Pitres ; Plessis (fief du) ; Romilly-sur-Andelle ; Rouen (Parlement de) ; Touffreville  

Vente par Robin Caillot, de la paroisse de Touffreville, au chapitre d'Écouis, d'une rente annuelle de 10 sous parisis assignée sur deux masures situées à Touffreville, pour le prix de 8 écus d'or (21 mars 1351) ; – bail à rente passé par le chapitre d'Écouis à Simon « Le Pelestier », dit « Le Fevre », d'une pièce de terre contenant une acre ou environ, située dans la paroisse de Touffreville, triège de La Mare-Guillebert, pour le prix annuel de 10 sous tournois (14 juillet 1395) ; – bail passé par le chapitre à Jean de Saint-Pol, de la paroisse de Touffreville, d'une acre et 35 perches et demie de terre, dans la paroisse de Touffreville, pour le prix annuel de 8 sous 5 deniers parisis (1er août 1406) ; – vente par Jeanneton Chefdeville, veuve de Robert Le Normand, à Robert Paisant, laboureur, d'une maison et masure situées à Touffreville, pour le prix de 52 livres tournois, à charge de la tenir du sieur de Rambures par 4 sous tournois de rente seigneuriale (24 février 1573) ; – bail passé par le chapitre à messire Claude-Charles Jobard, docteur en théologie, curé de Touffreville, de « la dîme verte et mixte du fief du Bec, appartenante auxdits sieurs du chapitre, située dans ladite paroisse de Touffreville, consistant en foins de prairies, lins, chanvres, pommes, poires et autres verdages, comme osiers, sainfoins, bourgogne, dragés et livernaches », pour le prix annuel de 110 livres (1760) ; – bail passé par le chapitre à Madeleine Fortier, veuve de Louis Lemoine, journalière, demeurant à Touffreville, « d'une maison masure plantée d'arbres fruitiers assise audit Touffreville, avec un petit jardin, le tout contenant une acre ou environ », moyennant 55 livres de fermage par an (1739) ; – bail de la même maison passé en 1743 « pardevant Adrien Verdure, tabellion et garde-scel aux contrats et obligations de la haute justice et baronnie d'Écouis et dépendances, pour haut et puissant seigneur messire Michel de Roncherolles, chevalier, seigneur marquis de Pont-Saint-Pierre, comte de Cisay, baron d'Écouis, Le Plessis, seul seigneur, patron, collateur et nominateur à la collégiale et hôpital dudit lieu, Gamaches, Dampierre, Marigny, Touffreville, Douville, Calville, Pitres, Romilly, La Neufville, Champdoisel et La Ferté Saint-Riquier, viconte dudit lieu, haut justicier en Artois, grand voyeur de Picardie, premier baron de Normandie et conseiller d'honneur né au Parlement de Rouen, propriétaire du tabellionnage ».

Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

Aveux rendus par la fabrique à Claude Daniel, marquis de Bois-d'Ennemets (1689-1756), à François-Henri de Montmorency, comte de Ligny (1670-1682), à Louis-Guillaume Jubert de Bouville, baron de Dangu (1715-1735), à André-François Gabriel Jubert de Bouville (1764), à Jeanne de Mauviel, veuve de Louis-Charles de Biencourt (1751), à Joseph Sublet, baron de Nainville et de Dangu (1678), à Michel Sublet (1683-1702), Louis Sublet (1737), Balthazard-Joseph-Michel-Nicolas Sublet d'Heudicourt (1756), et à Anne-Constance Groulard « de Bogefroy », femme de ce dernier (1757-1764), pour des terres relevant des seigneuries de Chaumont à Authevernes, du Bois-d'Ennemets, de Dangu, de Gamaches, de Nainville et de Noyers.

G549 , 1670-1764 , Authevernes ; Chaumont (fief du, à Authevernes) ; Dangu ; Gamaches ; Heudicourt ; Ligny ; Nainville ; Noyers (Les), hameaux Andelys  
Contexte :
Églises paroissiales > Dangu > Saint-Aubin
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