Copie collationnée (1792) de la « déclaration que fournissent au Roy et à Nosseigneurs de la Cour des Comptes, aides et finances de Rouen, noble dame Suzanne de Rome de Vernouillet, prieure du couvent de Saint-Charles établi en la ville de Lyons, ordre de Saint-Benoist, sœur Magdelaine de la Grandière, sœur Françoise Quesnel de Saune et sœur Marie Gobé, religieuses professes audit couvent, tant pour elles que pour les autres dames religieuses dudit couvent, des maisons, église, terres labourables, bois taillis et jardinages et prairies à eux appartenantes. Premièrement une maison, salles, chambres, cuisine, réfectoire, grenier couverts de tuilles, un pavillon couvert d'ardoise bâti sur une des portes de ladite ville de Lyon, du côté de l'église paroissiale dudit Lyon, et autres bâtiments détachés, parloir servant de couvent auxdites dames religieuses où ils ont fait bâtir depuis quelques années leur église, cour et jardin, le tout scitué audit Lyon et ayant vue sur les prairies du moulin dudit Lyon, borné d'un costé lesdites religieuses au droit des représentans du feu sieur Lapostre, d'autre côté et d'un bout la rivière du Lieure et attenant à la porte de la ville et d'autre bout la rue, le tout enclos et fermé de murs et de bâtimens avec une portion de terre régnant le long du dit couvent et de la rivière... ».
H1477
,
1717
,
Andelys (Les), Les Bénédictines ; Lieure (La), rivière de Lyons-la-Forêt ; Lyons-la-Forêt (Couvent de Bénédictins de Saint-Charles de) ; Rouen (ville)
Contexte :