Déclaration des nouveaux acquêts du prieuré depuis l'année 1641 (1673) ; –« déclaration du revenu temporel de la manse conventuelle des prieur, chanoines réguliers et chapitre du prieuré de Sainte Magdelaine des Deux Amans, ordre de Saint-Augustin, de la congrégation de France, ensemble du fond de la somme de huit cens livres pris sur le tiers des charges et qui leur a été délaissé par les révérends pères jésuites du collège de Rouen, auquel est uni le revenu de la manse prieuralle, pour acquitter les charges de l'église et faire les réparations de leur monastère et des fermes de leur lot... » (1720) ; –« éclaircissements ou notes sur les différents biens de la maison des Deux-Amans » (vers 1720) ; –« état et revenu du prieuré des Deux-Amans, situé sur le sommet de la côte, entre le Pont-de-l'Arche et le Pont-Saint-Pierre » (vers 1750) : « Le prieuré des Deux Amants est de très ancienne fondation. L'on ne peut en établir l'époque, le premier titre et beaucoup d'autres qui prouveraient son antiquité et ses privilèges et biens en dépendants ayant péris parles incendies et incursions de gens de guerre, comme il paroit et est établi par les Chartres du roy très chrétien Henri deux ; il paroit avoir eu pour fondateur un M. de Malmains dont il porte les armes, trois mains gauches. Ce prieuré est uni au collège des R.R. P.P. Jésuites de Rouen, qui jouissent par conséquent des biens et revenus attachez à la manse prioralle. La communauté, qui est composée de neuf chanoines réguliers, n'a pour tous biens et revenus que ceux cy après., etc. » ; d'après cet état, les revenus de la mense conventuelle sont évalués à 4.919 livres et les charges ordinaires à 1.263 livres ; –« tableau des biens et revenus, en argent et en nature, de la maison et prieuré de la Magdelène, mont des Deux Amants, dressé sur les titres et sommier de la ditte maison par Antoine Louis de Moncrif, prieur, le trois avril 1784. ».
H847
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1673-1790
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Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Pont-de-l'Arche, ville ; Pont-Saint-Pierre ; Sainte-Madeleine-les-Deux-Amants (Prieuré de)
Contexte :