Toutes les ressources Frémont d'Auneil, Nicolas de (comte Damomenil) 4 résultats (6ms)
Aveux rendus par la fabrique à Michel de Roncherolles (1705-1763) pour 4 acres de terre sises à Écouis, triège de la Pierre-Saint-Julien et relevant de la baronnie dudit lieu ; – déclaration des revenus de la fabrique en 1702 ; – bail à fieffé passé par la fabrique à Nicolas de Fremont d'Auneuil, président en la première chambre des Enquêtes du parlement de Paris et seigneur de Mussegros, de deux pièces de terres sises à Écouis, triège de la Poterie, et à Mussegros, triège de la Crouleuze, moyennant une rente annuelle de 19 livres 15 sous (1748).
Aveux rendus par la fabrique à François-Henri de Montmorency, duc de Luxembourg, seigneur de Verclives et du Mesnil, baron de Dangu, etc. (1668), à Jean-Jacques de Vielsmaison, seigneur et patron de Verclives (1690), à Marie de Vielsmaison, veuve du précédent 1771), à Marguerite Halle d'Orgeville, veuve d'Alexandre de la Vache, ayant la garde noble d'Alexandre-Jean-Gilles de la Vache, seigneur de Saussay (1714), à Charles-Hyacinthe Paviot, seigneur de Verclives (1719), à Jean-Jacques de Vielsmaison (1747), à Nicolas de Frémont d'Auneuil, président honoraire en la première chambre des enquêtes du parlement de Paris, seigneur du Mesnil-sous-Verclives (1753), à Jean-Jacques-Philippe de Vielsmaison (1766), à Marie-Madeleine Pavyot de la Hauteville, femme séparée de biens de Nicolas de Frémont d'Auneuif, (1768), et à Robert-Alexandre de la Vache (1769), pour des terres relevant des fiefs de Verclives, de Flumesnil et de Saussay- ; – aveu rendu par Pierre Coquelin aux « nobles enfans mineurs d'ans de feu haut et puissant seigneur messire Henry de Luxembourg, prince de Tingry, seigneurs et patrons de Dangu, du Mesnil et de Verquelive en partye », pour une demi-acre de terre au triège du Buissonnet, relevant de la seigneurie de Verclives (1619).
Biens du chapitre situés à Écouis.
Vente par Pierre Le Charpentier et Maheut, sa femme, de la paroisse de Rosny, au chapitre d'Écouis, d'une rente annuelle de 9 sous et 10 deniers tournois assignée sur une maison située dans la paroisse d'Écouis, pour le prix de 4 livres parisis (1333) ; – copie d'un bail à rente d'une masure et de ses dépendances situées a Écouis, passé par Mahyet Le Corayet et Maheut, sa femme, à Guillaume Bardicon et à Jeanne, sa femme, à la charge pour les preneurs de payer chaque année au chapitre d'Écouis une rente de 16 sous parisis (1357) ; – copie de l'acte de fondation par « hault et puissant signeur Mre Alebert de Rousselet, chevallier, gentilhomme ordinaire de la chanbre du Roy, cappitaine de cinquante hommes d'armes de ses ordonnances, sieur de La Part Dieu, Risly, Les Abatiz et Villerets en partye, et dame Magalonne Le Mareschal, son espouze », de treize obits solennels et. De 52 messes basses dans l'église collégiale d'Écouis, « moyennant la somme de 117 livres tournois réduits à 39 escus sol de rente » assignés sur des terres situées dans « les dîmages d'Écouis, Touffreville et ès environs », « laquelle fondation sera appelée et nommée la fondation de messire Charles de Gondy, marquis de Belle-Isle » (17 décembre 1598) ; – bail à ferme passé par le chapitre d'Écouis à Michel Lefebvre, de 14 acres de terres labourables « assises au dixmage d'Escouis et Touffreville », pour le prix annuel de 125 livres (1661) ; – aveux rendus par le chapitre à « haulte et puissante dame Marie-Catherine-Madeleine Paviot de La Hautteville, épouse civilement séparée d'avec messire Nicolas de Frémont, chevalier, seigneur d'Aumesnil, conseiller du Roy, président honoraire en la première chambre des enquêtes du Parlement de Paris, de 18 pièces de terre sises en la paroisse d'Écouis et relevant des fiefs du Fay, de Villers et d'Oricher » (1762) ; – transaction passée entre le chapitre d'Ëcouis et Nicolas de La Grange, relativement au payement de la somme de 400 livres due par ce dernier pour huit années d'arrérages d'une rente annuelle de 50 livres sur la maison du Dauphin à Écouis (17 avril 1626) ; – contrat de révalidation consenti au profit du chapitre et fabrique de l'église collégiale d Écouis, par Pierre Antoine d'Hostel, écuyer, sieur du Perron, seigneur du Fay, par Izambart et Michel d'Hostel du Perron, ses frères, d'une rente foncière de 50 livres et d'une rente seigneuriale et foncière de 66 sols pour fieffe d'héritage consistant en une maison assise à Écouis, nommée Le Dauphin, au carrefour devant l'église (23 décembre 1739).