Bail à fieffe passé par Robinet Larchevêque et Jeanne, sa femme, à Vincenot Langlois et à Raullecte, sa femme, bourgeois d'Andely, d'une maison et d'un jardin sis à Andely, rue de la Foullerie, bornés d'un côté la rue qui conduit à la fontaine Saint-Jean, d'un bout le chemin du Roi, moyennant une rente annuelle de 28 sous parisis (1357) ; – reconnaissance par la sous-prieure des Ursulines d'Andely au profit de Claude Le Roux, sieur de Cambremont, conseiller au parlement de Rouen, d'une rente annuelle de 20 sous « pour fieffe d'un jardin contenant demi-acre ou environ », sis au Grand-Andely, rue Sainte-Clotide, borné d'un bout la rivière de Gambon et d'autre bout la fontaine Sainte-Clotide » (1645) ; – mémoires et pièces de procédures pour les Ursulines d'Andely contre MM. De la Blandinière, conseiller à la cour, Puchot, trésorier de France, Richomme, auditeur des Comptes, et Le Roy, avocat, adjudicataires par décret des héritages ayant appartenu à Vincent, François et Robert Dieupart, desquels lesdites religieuses avaient précédemment acquis une maison et des terres sises à Andely et comprises audit décret (1657-1679).
H1729
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1357-1695
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Andelys (Les) ; Andelys (Les), Fontaine Saint-Jean (sise aux Andelys) ; Andelys (Les), Les Ursulines ; Bellemare (fief de) sis à Plaiville ; Cambremont (fief de) ; Rouen (Parlement de)
Contexte :