Toutes les ressources Montenay, Antoine de 8 résultats (10ms)

Échange de terres entre Antoine de Montenay, seigneur de Grossœuvre, et Quentin Boissel, curé dudit lieu, pour la construction d'un nouveau manoir presbytéral (1625) ; – donation à la fabrique par Adrien du Bosc, seigneur de Grossœuvre, de trois acres vingt-six perches de terre labourable, en trois pièces, situées sur le territoire de ladite paroisse, à charge de services religieux (1721) ; – id., par Françoise Langlois, sœur de feu Bertrand Langlois, ancien curé de Grossœuvre, de quatre acres de terre labourable en douze pièces, « au profit des pauvres qui peuvent se trouver en ladite paroisse de Grossœuvre, pour aider à les assister dans leurs pressans besoins » (1738) ; – baux à ferme des terres de la fabrique.

G713 , 1625-1784 , Grossoeuvre  
Contexte :
Églises paroissiales > Grossœuvre

« Déclaration que baille et présente Adrien Haquest, trésorier de l'église du Bus, à haut et puissant seigneur messire Antoine de Montenay, chevalier et gentilhomme ordinaire de la chambre du Roy, baron de Baudemont et haut justicier des baronnie, chastellenie et haulte justice de Garencière, Grosseœuvre et Baudemont et seigneur du Bus », d'une vergée de terre relevant de la baronnie de Baudemont et située au Bosc-Roger, triège de la Fontaine-Gautier.

G464 , 1623 , Baudemont ; Fontaine-Gautier (La), triège du Bosc-Roger ; Garencières ; Grossoeuvre  
Contexte :
Églises paroissiales > Bus-Saint-Rémy

Échange de terres entre Antoine de Montenay, seigneur de Grossœuvre, et Quentin Boissel, curé dudit lieu, pour la construction d'un nouveau manoir presbytéral (1625) ; – donation à la fabrique par Adrien du Bosc, seigneur de Grossœuvre, de trois acres vingt-six perches de terre labourable, en trois pièces, situées sur le territoire de ladite paroisse, à charge de services religieux (1721) ; – id., par Françoise Langlois, sœur de feu Bertrand Langlois, ancien curé de Grossœuvre, de quatre acres de terre labourable en douze pièces, « au profit des pauvres qui peuvent se trouver en ladite paroisse de Grossœuvre, pour aider à les assister dans leurs pressans besoins » (1738) ; – baux à ferme des terres de la fabrique.

G713 , 1625-1784 , Grossoeuvre  
Contexte :
Églises paroissiales > Grossœuvre

« Déclaration que baille et présente Adrien Haquest, trésorier de l'église du Bus, à haut et puissant seigneur messire Antoine de Montenay, chevalier et gentilhomme ordinaire de la chambre du Roy, baron de Baudemont et haut justicier des baronnie, chastellenie et haulte justice de Garencière, Grosseœuvre et Baudemont et seigneur du Bus », d'une vergée de terre relevant de la baronnie de Baudemont et située au Bosc-Roger, triège de la Fontaine-Gautier.

G464 , 1623 , Baudemont ; Fontaine-Gautier (La), triège du Bosc-Roger ; Garencières ; Grossoeuvre  
Contexte :
Églises paroissiales > Bus-Saint-Rémy

Requête adressée par les bénédictines de Pont-de-l'Arche au marquis de Beuzeville pour lui demander le payement d'une somme de 6.000 livres constituée à leur profit par le contrat de leur fondation et qui ne leur avaient pas été payées : « mondit sieur est supplié d'observer que par le contrat de fondation dudit couvent, du sixième décembre 1634, passé devant les tabellions de Grossœuvre, messire Anthoine de Montenay, baron de Guarentières, etc., et dame Marguerite du Gué, son épouse, promettent et s'obligent de donner la somme de six mil livres en deniers, pour estre emploiez en achaps de maisons et héritages dans la ville de Pont-de-l'Arche, pour servir à l'establissement dudit monastère et construction d'une église ou chapelle, avec droit d'y apposer leurs armes, aux charges d'y estre célébré des messes et des services pour le repos de leurs âmes, aux jours portez par ledit contrat ; et pour aider à subvenir à l'entretien et nourriture des religieuses, donnent aussi la ferme et terre de Monceaux, au bailliage de Gisors, contenant soixante et deux acres de terre... » (1667) ; – accord passé entre Marie-Césarine de Montenay, veuve de Paul-Tanneguy de la Luzerne, chevalier, seigneur de Beuzeville, Anne Le Doux, veuve et légataire d'Antoine de Montenay, conseiller en la Grand'chambre du parlement de Normandie, d'une part, et les bénédictines de Pont-de-1'Arche, d'autre part, pour le payement des 6.000 livres promises par les fondateurs, Antoine de Montenay et Marguerite du Gué, sa femme (1669) ; – vente aux bénédictines de Pont-de-l'Arche par Nicolas Le Cordier, bourgeois de Pont-de-l'Arche, « recepveur au bureau des quarante-cinq sols pour muy de vin audict lieu », de plusieurs maisons, bâtiments et jardins situés a Pont-de-1'Arche, « moyennant le prix et somme de huict mil livres tournois, pour le paiement de laquelle somme ledict sieur Le Cordier a dès à présent donné et omosné ausdictes dames et couvent la somme de trois mil livres tournois pour estre à toujours à perpétuité, luy et ses prédécesseurs et représentants, accueillis aux prières qui se feront dans ladicte maison et couvent comme bienfaicteur d'icelle » (1670).

H1728 , 1667-1671 , Beuzeville ; Garencières ; Grossoeuvre ; Monceaux (terre de), sise au baillage de Gisors ; Pont-de-l'Arche (Prieuré de Bénédictins de)  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Bénédictines de Pont-de-l'Arche

Fondation du prieuré de Bénédictines de Saint-Antoine de Pont-de-1'Arche par Antoine de Montenay, chevalier, baron de Garencières, Grossœuvre et Baudemont, et Marguerite Du Gué, sa femme. Les fondateurs « ont promis et promettent donner par ces présentes en pure et perpétuelle aumosne la somme de six mil livres pour estre emploiée en achapt de maisons et héritages dans ladite ville du Pont-de-1'Arche pour l'establissement dudict monastère ; et pour subvenir à l'entretenement dudict prieuré et à la nouriture desdictes filles religieuses lesdits sieur et dame ont promis et promettent, ont donné et donnent par ces présentes en pure et perpétuelle aumosne une ferme assize en la parroisse de Mousseaux, bailliage de Gisors, concistant au nombre de soixante et deux accres de terre labourable en plusieurs pièces... » (1634) ; – autorisation donnée par François de Péricard, évêque d'Évreux, à la fondation du prieuré de Saint-Antoine de Pont-de-l'Arche (1635) ; – consentement donné à ladite fondation par l'assemblée générale des officiers royaux, bourgeois, manants et habitants de la ville de Pont-de-l'Arche, « aux conditions et restrinctions que les dames religieuses ne pourront prétendre ny acquérir dans ladite ville en plus grande quantitté que de demye acre de terre comme aussy il ne leur sera loisible d'acquérir ès champs et dîmage de ladite ville en plus oultre que troys acres de terre sur lesquelles ilz pourront faire bastir telz bastimentz qu'ilz adviseront bien estre et que lesdites dames relligieuses ne pourront estre en plus grand nombre que douze filles de cœur oultre la prieure et converse, mesmes que lesdites dames relligieuses ne pourront prendre ny s'aidder d'aucun pourvoy de Sa Majesté ny arrest au contraire desdites res-trinctions, ains suivre le contenu en icelles sans pouvoir aller au contraire et faire les acquisitions du contenu ausdites restrinctions de gré à gré et non auttrement... » (1635) ; – mémoire des hardes et meubles envoies par Madame de Montenay au Pont-de-1'Arche (s. d.) ; – copie de l'entérinement par le parlement de Rouen des lettres patentes du Roi (1636) autorisant l'établissement du prieuré de Pont-de-1'Arche (1640) ; – protestations des héritiers des fondateurs contre la nomination de Madame de la Faye comme coadjutrice du prieuré et contre la prise de possession de Madame de Bellegarde en qualité de prieure (1648-1649) ; – copie de l'acte de profession de Marguerite de Montenay, fille de Louis de Montenay, chevalier, seigneur de Baudemont, et de Marguerite de Manneville, comme religieuse de l'abbaye de Notre-Dame-du-Val de Gif (1653) ; – lettres adressées à M. de Montenay, conseiller au Parlement de Rouen, au sujet de la nomination d'Anne-Antoinette de Moy comme prieure de Pont-de-l'Arche (1662).

H1504 , 1634-1669 , Baudemont ; Garencières ; Gif (abbaye de N.-D. du Val de) ; Gisors ; Pont-de-l'Arche (Prieuré de Bénédictins de) ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Bénédictines de Pont-de-l'Arche

Fondation du prieuré de Bénédictines de Saint-Antoine de Pont-de-1'Arche par Antoine de Montenay, chevalier, baron de Garencières, Grossœuvre et Baudemont, et Marguerite Du Gué, sa femme. Les fondateurs « ont promis et promettent donner par ces présentes en pure et perpétuelle aumosne la somme de six mil livres pour estre emploiée en achapt de maisons et héritages dans ladite ville du Pont-de-1'Arche pour l'establissement dudict monastère ; et pour subvenir à l'entretenement dudict prieuré et à la nouriture desdictes filles religieuses lesdits sieur et dame ont promis et promettent, ont donné et donnent par ces présentes en pure et perpétuelle aumosne une ferme assize en la parroisse de Mousseaux, bailliage de Gisors, concistant au nombre de soixante et deux accres de terre labourable en plusieurs pièces... » (1634) ; – autorisation donnée par François de Péricard, évêque d'Évreux, à la fondation du prieuré de Saint-Antoine de Pont-de-l'Arche (1635) ; – consentement donné à ladite fondation par l'assemblée générale des officiers royaux, bourgeois, manants et habitants de la ville de Pont-de-l'Arche, « aux conditions et restrinctions que les dames religieuses ne pourront prétendre ny acquérir dans ladite ville en plus grande quantitté que de demye acre de terre comme aussy il ne leur sera loisible d'acquérir ès champs et dîmage de ladite ville en plus oultre que troys acres de terre sur lesquelles ilz pourront faire bastir telz bastimentz qu'ilz adviseront bien estre et que lesdites dames relligieuses ne pourront estre en plus grand nombre que douze filles de cœur oultre la prieure et converse, mesmes que lesdites dames relligieuses ne pourront prendre ny s'aidder d'aucun pourvoy de Sa Majesté ny arrest au contraire desdites res-trinctions, ains suivre le contenu en icelles sans pouvoir aller au contraire et faire les acquisitions du contenu ausdites restrinctions de gré à gré et non auttrement... » (1635) ; – mémoire des hardes et meubles envoies par Madame de Montenay au Pont-de-1'Arche (s. d.) ; – copie de l'entérinement par le parlement de Rouen des lettres patentes du Roi (1636) autorisant l'établissement du prieuré de Pont-de-1'Arche (1640) ; – protestations des héritiers des fondateurs contre la nomination de Madame de la Faye comme coadjutrice du prieuré et contre la prise de possession de Madame de Bellegarde en qualité de prieure (1648-1649) ; – copie de l'acte de profession de Marguerite de Montenay, fille de Louis de Montenay, chevalier, seigneur de Baudemont, et de Marguerite de Manneville, comme religieuse de l'abbaye de Notre-Dame-du-Val de Gif (1653) ; – lettres adressées à M. de Montenay, conseiller au Parlement de Rouen, au sujet de la nomination d'Anne-Antoinette de Moy comme prieure de Pont-de-l'Arche (1662).

H1504 , 1634-1669 , Baudemont ; Garencières ; Gif (abbaye de N.-D. du Val de) ; Gisors ; Pont-de-l'Arche (Prieuré de Bénédictins de) ; Rouen (Parlement de)  
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Couvents et communautés de femmes > Bénédictines de Pont-de-l'Arche

Requête adressée par les bénédictines de Pont-de-l'Arche au marquis de Beuzeville pour lui demander le payement d'une somme de 6.000 livres constituée à leur profit par le contrat de leur fondation et qui ne leur avaient pas été payées : « mondit sieur est supplié d'observer que par le contrat de fondation dudit couvent, du sixième décembre 1634, passé devant les tabellions de Grossœuvre, messire Anthoine de Montenay, baron de Guarentières, etc., et dame Marguerite du Gué, son épouse, promettent et s'obligent de donner la somme de six mil livres en deniers, pour estre emploiez en achaps de maisons et héritages dans la ville de Pont-de-l'Arche, pour servir à l'establissement dudit monastère et construction d'une église ou chapelle, avec droit d'y apposer leurs armes, aux charges d'y estre célébré des messes et des services pour le repos de leurs âmes, aux jours portez par ledit contrat ; et pour aider à subvenir à l'entretien et nourriture des religieuses, donnent aussi la ferme et terre de Monceaux, au bailliage de Gisors, contenant soixante et deux acres de terre... » (1667) ; – accord passé entre Marie-Césarine de Montenay, veuve de Paul-Tanneguy de la Luzerne, chevalier, seigneur de Beuzeville, Anne Le Doux, veuve et légataire d'Antoine de Montenay, conseiller en la Grand'chambre du parlement de Normandie, d'une part, et les bénédictines de Pont-de-1'Arche, d'autre part, pour le payement des 6.000 livres promises par les fondateurs, Antoine de Montenay et Marguerite du Gué, sa femme (1669) ; – vente aux bénédictines de Pont-de-l'Arche par Nicolas Le Cordier, bourgeois de Pont-de-l'Arche, « recepveur au bureau des quarante-cinq sols pour muy de vin audict lieu », de plusieurs maisons, bâtiments et jardins situés a Pont-de-1'Arche, « moyennant le prix et somme de huict mil livres tournois, pour le paiement de laquelle somme ledict sieur Le Cordier a dès à présent donné et omosné ausdictes dames et couvent la somme de trois mil livres tournois pour estre à toujours à perpétuité, luy et ses prédécesseurs et représentants, accueillis aux prières qui se feront dans ladicte maison et couvent comme bienfaicteur d'icelle » (1670).

H1728 , 1667-1671 , Beuzeville ; Garencières ; Grossoeuvre ; Monceaux (terre de), sise au baillage de Gisors ; Pont-de-l'Arche (Prieuré de Bénédictins de)  
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Couvents et communautés de femmes > Bénédictines de Pont-de-l'Arche
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