Donations et cessions faites à l'abbaye : par Gilbert Le Moine, de deux pièces de vignes aux Côtes de la Rocque (confirmée par Guillaume Bardol, 1200), – par Eude, curé de Courcelles, d'une vigne située près des terres de l'abbaye (confirmée par Guillaume Muies, 1202), – par Pierre de Mauquenchy, d'un clos de vigne aux Monts de la Falaise (in montibus Falesie), et du droit de pressurage sur les vignes que possédait l'abbaye dans l'étendue de son fief (1203), – par Guillaume Blandin et ses frères, du clos d'Emmeline (clausum Ermeline ; confirmée par Amaury de Corny, 1203), – par Pierre de Portmort, sa femme, ses filles Ghellent et Alice, et Guillaume, chevalier, de leur droit de pressurage sur les vignes de la Rocque, depuis le chemin de la Rocque jusqu'au manoir de l'abbaye, sur celles d'Allebert et sur le clos de Pierre de Mauquenchy (donation semblable faite par Osbert Lovel, Garin et Emmeline, 1205), – par Amaury de Corny, de tous ses droits sur la vigne du clos de Pressagny, – par Pierre de Cleri, d'une masure et de ses dépendances, dont Hugues Pelet avait été tenancier, – par Pierre de la Motte (de Mota), écuyer, de tous ses droits sur la vigne de Martin Crosicosse (1207), – par Hédouin Strabon (Heuduinus Strabo) et Nicolas de Vemon, clerc, son fils, d'un demi-muid de vin assigné sur les maisons des donateurs situées à Vernon, « extra portant Madunte, supra fosseium » (1208), – par Denis de Reuilly, de ses droits de pressurage et autres sur les vignes du clos de Mauquenchy et d'Alleubert, et sur les possessions de l'abbaye situées dans l'étendue de son fief (1216), – par Guillaume Pinel, de son droit de pressurage prétendu sur le tiers du fief de Denis de Reuilly, – par Robert Mercenaire (Mercennarius), de toute sa vigne d'Alleubert, avec ses dépendances, – par Gilbert Fromont, de sa vigne située près de Vaucelle (juxta Valcellam, 1217) ; – confirmation par Robert de Mauquenchy de la donation de 7 sous de rente faite à l'abbaye par Mathilde, sa mère (1219) ; – donation à l'abbaye par Robert II, archevêque de Rouen, sur la résignation de Raoul de Oistrekan, de l'église de Courcelles avec ses dépendances et le droit de patronage (1211) ; – sentence arbitrale rendue par Baudouin d'Ourscamp et Jocelin du Pré, abbés, pour régler les contestations survenues entre l'abbaye de Beaubec et l'abbaye de Mortemer au sujet du droit de pressurage des raisins et des autres biens et possessions des deux abbayes à Portmort et à Courcelles (1210).
H2
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1200-1220
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Aillenbert (La Vigne d') sise à Port-Mort ; Courcelles ; Courcelles ; Emmeline (le Clos d') ; Monts-de-la-Falaise (Vignes) près de Pressagny ; Mortemer (Abbaye de), sise à Lisors ; Port-Mort ; Port-Mort ; Port-Mort ; Pressagny-l'Orgueilleux ; Vaucelle ; Vaucelle
Contexte :