Toutes les ressources Bec-Héllouin (Abbaye du) 108 résultats (12ms)
Registre des déclarations d'abattages de bois taillis et de haute futaie, faites par les tenanciers de l'abbaye et reçues par le verdier du Bec.
Theil-Nolent (Le), Bailleul-la-Vallée et Boissy-Lamberville (baronnie du Theil-Nolent).
Plaids et gages-pleiges de la baronnie du Theil-Nolent, appartenant à l'abbaye du Bec (fin du XVIe siècle-XVIIe siècle).
Neuville (sur-Authou).
Aveux rendus à l'abbaye par la fabrique de Neuville pour cinq pièces de terre situées à Neuville et relevant de la seigneurie dudit lieu.
Pont-Authou, etc. (Fief de Caumont).
Journal des rentes dues à l'abbaye par les tenanciers du fief de Caumont.
Labosse.
Jugement de l'Officialité, condamnant le curé de Labosse (ecclesie de la Boce) à laisser jouir paisiblement l'abbaye du Bec du tiers des grosses dîmes et des dîmes du lin et du chanvre de la paroisse de Labosse, ainsi que du trait (tractus) tous les trois ans, suivant l'usage du pays.
Lettres patentes de Charles VI, adressées au bailli de Rouen, lui prescrivant de ne pas tenir compte d'un précédent mandement qui ordonnait à l'abbé du Bec d'envoyer « à Paris, au premier jour de ce présent mois de may (1412), une charrette » pour le service de l'armée, et accordant à l'abbaye la main-levée de ses biens mis en la main du Roi pour n'avoir pas obéi à cette injonction. Les lettres exposent que, d'après leurs privilèges, les religieux du Bec ne sont pas tenus « d'envoyer ne baillier aucunes charrettes, charioz, somiers, chevaulx ne gens » pour les armées du Roi, et qu'ils « ont grans fraiz et charges à supporter tant pour leurs alimens et nécessitez comme pour la fortification et garde de leur abbaye, laquelle est l'une des plus notables forteresses du pais de Normandie, assise près de mer et en frontière de noz ennemis et qu'ils ne pevent joir d'une grant quantité de leurs revenues assises en la conté d'Alençon et auprès, pour Tempes-chemént de nosdiz ennemis... ».
Neuve-Grange (La) et Puchay.
Plan terrier de la seigneurie de la Neuve-Grange et du hameau des Landes de Puchay.
Liève des rentes dues par les fermiers de l'abbaye. « Bail passé devant Prud'homme, notaire à Beaumont, le 20 février 1761, au sieur Tragin, notaire à Brionne, du greffe et tabellionnage de la haute justice, verderie et sénéchaussée du Bec, par 25 livres de fermage » (fol 268) ; – baux de la terre de Surcy, passés à M. de Gonfreville pour le prix de 10,000 livres en 1762 et de 13,000 livres en 1771 (fol. 226 et 286).
Sap (Lé).
Plaids et gages-pleiges du fief de l'abbaye sis en la paroisse du Sap.
Meulan.
Fragment d'un mémoire relatif à la nomination du prieur du prieuré de Meulan, membre dépendant de l'abbaye du Bec.
Angleterre.
Donation à l'abbaye par Robert de Candos, avec le consentement d'Isabelle, sa femme, de l'église Sainte-Marie-Madeleine « de Gold-chjvia », avec les terres et dîmes en dépendant, et de la chapelle « de Fraxino », avec ses dépendances, afin que les religieux du Bec y établissent un prieuré, « ut ibi constituant conventum ad serviendum Deo et gloriose famule Christi Marie Magdalene et orandum imperpetuum pro benefactoribus suis... Et volo ut habeant curiam suarn apud Goldclyviam vel ubicumqne sibi viderint melius ex-pedire de omnibus placitis et querelis supradictis, de rébus aliis et molestiis, cum judicio et justicia mortis et mem-brorum, etc.. (s. d.) ; confirmation par Hoël de Carlton ? (de Karln.) des donations faites au prieuré de Sainte-Marie-Madeleine par Robert de Candos (s. d.).
Gouchaupré.
Charte de Louis IX, roi de France, concédant à ferme perpétuelle au prieuré d'Envermeu trente une acres et une vergée de bois à Gouchaupré (apud Goceanpre), moyennant une rente annuelle de 15 livres 12 sous et 6 deniers tournois.
Villettes.
Reconnaissance par Augustin-Jacques Hébert, curé de Villettes, d'une rente de 3 livres 10 sous par lui due à l'abbé du Bec à cause de son bénéfice-cure.
Nassandres.
Jugement de la Chambre des Requêtes du parlement de Rouen, rendu, du consentement des parties, entre l'abbé du Bec, d'une part, et Etienne Yon, curé de Nassandres, d'autre part, au sujet de la perception des dîmes de la paroisse : «... Ledict curé de Nassandres, pour luy et ses successeurs, continuera la perception desdites dixmes, en tant qu'il en appartient audict sieur abbé, en payant la somme de 60 livres... » (1629) ; reconnaissance par Etienne Sauval, curé de Nassandres, de la susdite rente de 60 livres par lui due à l'abbé du Bec (1764).