Confirmation par « R. de Tinvilla » des donations faites aux frères de Saint-Gilles de Pont-Audemer (domui fratrum infirmorum Sancti Egidii de Ponte Audomari) par Robert Buisson, Guillaume, son frère, etc. (s. d. Fin du XIIe siècle) ; – ventes à l'abbaye de rentes assignées sur des terres sises à Genneville par Guillaume Boit-Cidre (bibens sciceram. Beif Cidre, 1258) et Robert Le Vavasseur (1273) ; – reconnaissance au profit de l'abbaye, dans le but de la construction de l'église (ad edificationem ecclesie), par Nicolas de Normandie, d'une rente de 6 sous et 6 deniers tournois assignée sur la terre « des Pereles » (1290) ; – procuration délivrée par l'abbaye à Guillaume Anequin et à Amaury de la Iloussaye, religieux de Grestain, à l'effet de recevoir de Pierre du Plessis, chevalier, de Philippe et de Robert du Plessis, écuyers, ses neveux, la réalisation promise de l'acte de vente, consenti par ces derniers, de leur terre du Maharu, située dans les paroisses de Genneville, du Theil et de Genneville-sur-Honfleur (1336) ; – bail à ferme passé par le receveur général de l'abbaye de Grestain à Pierre Faridde de la terre du Maharu, en toutes ses circonstances et dépendances, avec les dîmes appartenant à l'abbaye dans la paroisse de Genneville, moyennant un fermage annuel de 440 livres, outre les charges (1623).
H342
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1759
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Genneville-sur-Honfleur ; Maharu (terre de), située à Genneville-sur-Honfleur ; Pereles (terre des) ; Pont-Audemer (Hôpital Saint-Gilles de)
Contexte :