Toutes les ressources Lisieux (Ville) 34 résultats (22ms)

Requête adressée par les trésoriers de la fabrique à l'évêque de Lisieux à l'effet d'être autorisés à employer, pour subvenir aux frais de réparation du clocher de l'église, une somme de 600 livres « provenante des revenus de la confrairie de la Charité de cette paroisse, interdite depuis nombre d'années » ; – ordonnance du vicaire général prescrivant la production préalable des comptes de la fabrique, pour en vérifier les reliquats ; – délibérations des trésoriers et des habitants au sujet de cette décision.

G1000 , 1763 , Lisieux (Ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Pont-Audemer > Notre-Dame-du-Pré

Sentence de l'Official de Lisieux, rendue dans la cause pendante entre René Le Bel-homme, curé de Saint-Germain, demandeur, d'une part, Guillaume Le Vage, prêtre, chapelain de l'hôpital de Pont-Audemer, Jean Vallée, Pierre Talion et Jacques Potier, prêtre, de la paroisse Saint-Ouen, défendeurs, d'autre part. La sentence interdit aux défendeurs d'administrer à l'avenir les sacrements dans l'étendue de la paroisse Saint-Germain, au préjudice des droits du curé ; elle autorise seulement le chapelain de l'hôpital à administrer ou à faire administrer par un prêtre approuvé de l'Ordinaire les sacrements de Pénitence, d'Eucharistie, et d'Extrême-Onction aux pauvres de l'hôpital (1646) ; – transaction passée entre les Ursulines de Pont-Audemer et Richard Delamare, curé de Saint-Germain (1732) : « les dites parties sont convenues de ce qui ensuit, sçavoir que ledit sieur Delamare, curé, renonce à inquietter lesdites dames sous prétexte d'indemnité pour les maisons, fonds et jardins qui composent actuellement leur clôture ou maison régulière et même pour les droits qu'il a prétendu lors des inhumations des pensionnaires, faites dans la maison ou chapelle des dites dames, parce que lesdites dames payeront au curé de Saint-Germain et à ses successeurs, à titre d'indemnité, une rente supplémentaire de 10 livres en plus des 18 livres dues par elles en vertu de la transaction du 29 juillet 1706. ».

G1018 , 1646-1744 , Lisieux (Ville) ; Pont-Audemer (Saint-Germain) ; Pont-Audemer (Ursulines, paroisse Saint-Germain)  
Contexte :
Églises paroissiales > Pont-Audemer > Saint-Germain

Sentence de l'Official de Lisieux, rendue dans la cause pendante entre René Le Bel-homme, curé de Saint-Germain, demandeur, d'une part, Guillaume Le Vage, prêtre, chapelain de l'hôpital de Pont-Audemer, Jean Vallée, Pierre Talion et Jacques Potier, prêtre, de la paroisse Saint-Ouen, défendeurs, d'autre part. La sentence interdit aux défendeurs d'administrer à l'avenir les sacrements dans l'étendue de la paroisse Saint-Germain, au préjudice des droits du curé ; elle autorise seulement le chapelain de l'hôpital à administrer ou à faire administrer par un prêtre approuvé de l'Ordinaire les sacrements de Pénitence, d'Eucharistie, et d'Extrême-Onction aux pauvres de l'hôpital (1646) ; – transaction passée entre les Ursulines de Pont-Audemer et Richard Delamare, curé de Saint-Germain (1732) : « les dites parties sont convenues de ce qui ensuit, sçavoir que ledit sieur Delamare, curé, renonce à inquietter lesdites dames sous prétexte d'indemnité pour les maisons, fonds et jardins qui composent actuellement leur clôture ou maison régulière et même pour les droits qu'il a prétendu lors des inhumations des pensionnaires, faites dans la maison ou chapelle des dites dames, parce que lesdites dames payeront au curé de Saint-Germain et à ses successeurs, à titre d'indemnité, une rente supplémentaire de 10 livres en plus des 18 livres dues par elles en vertu de la transaction du 29 juillet 1706. ».

G1018 , 1646-1744 , Lisieux (Ville) ; Pont-Audemer (Saint-Germain) ; Pont-Audemer (Ursulines, paroisse Saint-Germain)  
Contexte :
Églises paroissiales > Pont-Audemer > Saint-Germain

Approbation par Philippe de Nocy, vicaire général de l'évêque de Lisieux, d'un concordat délibéré en assemblée des principaux habitants de la paroisse Saint-Ouen, qui fixait à douze, au lieu de six, le nombre des chapelains de Saint-Ouen et déterminait leurs fonctions et leurs émoluments (1545) ; – pièces de procédure produites dans l'instance pendante devant l'official de Lisieux et, par appel comme d'abus, devant le parlement de Rouen, entre le curé et les prêtres de Saint-Ouen d'une part, les curés de Saint-Germain et de Notre-Dame-du-Pré, d'autre part, relativement à la prétention élevée par le curé de Saint-Ouen « de prendre la qualité de doyen de l'église collégiale de Saint-Ouen et de faire qualifier ses douze premiers prêtres, ou ceux qu'il voudra choisir, chanoines de la mesme église ».

G1042 , 1545-1688 , Lisieux (Ville) ; Pont-Audemer (Notre-Dame du Pré, Eglise) ; Pont-Audemer (Saint-Germain) ; Pont-Audemer (Saint-Ouen, paroisse)  
Contexte :
Églises paroissiales > Pont-Audemer > Communauté des chapelains de Saint-Ouen

Approbation par Philippe de Nocy, vicaire général de l'évêque de Lisieux, d'un concordat délibéré en assemblée des principaux habitants de la paroisse Saint-Ouen, qui fixait à douze, au lieu de six, le nombre des chapelains de Saint-Ouen et déterminait leurs fonctions et leurs émoluments (1545) ; – pièces de procédure produites dans l'instance pendante devant l'official de Lisieux et, par appel comme d'abus, devant le parlement de Rouen, entre le curé et les prêtres de Saint-Ouen d'une part, les curés de Saint-Germain et de Notre-Dame-du-Pré, d'autre part, relativement à la prétention élevée par le curé de Saint-Ouen « de prendre la qualité de doyen de l'église collégiale de Saint-Ouen et de faire qualifier ses douze premiers prêtres, ou ceux qu'il voudra choisir, chanoines de la mesme église ».

G1042 , 1545-1688 , Lisieux (Ville) ; Pont-Audemer (Notre-Dame du Pré, Eglise) ; Pont-Audemer (Saint-Germain) ; Pont-Audemer (Saint-Ouen, paroisse)  
Contexte :
Églises paroissiales > Pont-Audemer > Communauté des chapelains de Saint-Ouen

Aveux rendus par Pierre-Alexandre Bérengues, curé de Puchay, au grand séminaire de Lisieux, « auquel sont unis les biens et revenus de la mense conventuelle de l'abbaye de Cormeilles en Auge », et à l'abbaye de Saint-Amand de Rouen, pour les terres de son bénéfice-cure relevant de la baronnie de Nojeon-le-Sec et de la seigneurie de Puchay.

G1064 , 1785-1787 , Corneille-en-Auge (abbaye de) ; Lisieux (Ville) ; Nojeon-le-Sec ; Puchay ; Rouen (Abbayes, monastères : Saint-Amand, abbaye de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Puchay

Aveux rendus par Pierre-Alexandre Bérengues, curé de Puchay, au grand séminaire de Lisieux, « auquel sont unis les biens et revenus de la mense conventuelle de l'abbaye de Cormeilles en Auge », et à l'abbaye de Saint-Amand de Rouen, pour les terres de son bénéfice-cure relevant de la baronnie de Nojeon-le-Sec et de la seigneurie de Puchay.

G1064 , 1785-1787 , Corneille-en-Auge (abbaye de) ; Lisieux (Ville) ; Nojeon-le-Sec ; Puchay ; Rouen (Abbayes, monastères : Saint-Amand, abbaye de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Puchay

Jugement du bailliage de Pont-Audemer, condamnant les héritiers de feu Jacques Le Prévost, prêtre, de Saint-Benoît-des-Ombres, à payer au trésor une somme de 22 livres, « provenant des questes de la Vierge, prises et diverties par ledit feu sieur Le Prévost, dans le dessein touttes fois de les rendre, ainsy qu'il en estoit convenu en présence de plusieurs personnes » ; – arrêt du parlement de Rouen, frappant d'abus plusieurs ordonnances rendues par le sieur Gérard, archidiacre de l'évêché de Lisieux, au cours de ses visites. L'archidiacre avait ordonné que la somme de 572 livres 4 sols composant le reliquat de compte de Nicolas Leconte, trésorier de l'église de Saint-Victor-d'Épine pendant l'année 1734, serait gardée « pour faire faire une contretable à ladite église ».

G1266 , 1689-1741 , Lisieux (Ville) ; Pont-Audemer ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Benoît-des-Ombres ; Saint-Victor-d'Epine  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Victor-d'Épine

Jugement du bailliage de Pont-Audemer, condamnant les héritiers de feu Jacques Le Prévost, prêtre, de Saint-Benoît-des-Ombres, à payer au trésor une somme de 22 livres, « provenant des questes de la Vierge, prises et diverties par ledit feu sieur Le Prévost, dans le dessein touttes fois de les rendre, ainsy qu'il en estoit convenu en présence de plusieurs personnes » ; – arrêt du parlement de Rouen, frappant d'abus plusieurs ordonnances rendues par le sieur Gérard, archidiacre de l'évêché de Lisieux, au cours de ses visites. L'archidiacre avait ordonné que la somme de 572 livres 4 sols composant le reliquat de compte de Nicolas Leconte, trésorier de l'église de Saint-Victor-d'Épine pendant l'année 1734, serait gardée « pour faire faire une contretable à ladite église ».

G1266 , 1689-1741 , Lisieux (Ville) ; Pont-Audemer ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Benoît-des-Ombres ; Saint-Victor-d'Epine  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Victor-d'Épine

Comptes des trésoriers et inventaires des titres de la fabrique. –« Reçeu pour la vente du fil de la quenouille de la Sainte-Vierge... 35 sols. Payé au couvreur qui a couvert la tour de l'esglize... 285 livres » (1683) ; – procès-verbal de visite de l'église par Christofle Le Nepveu, prêtre, docteur de Sorbonne, chanoine de la cathédrale de Lisieux et grand archidiacre du Lieuvin, le 12 juillet 1684 : « Nous avons enjoint au sieur Rogeron, prêtre, vicaire de ladite paroisse, de continuer à tenir les petites écoles et de s'en acquitter fidellement, à laquelle charge nous l'avons receu et authorisé et deffences faictes à toutes personnes de le troubler ni de s'entremettre à ladite charge sans nouvelle commission de Monseigneur de Lisieux ou de nous sur la peine au cas appartenant ; et d'autant que nous avons remarqué par l'inspection du lieu que l'image de saint Victor, qui est au grand autel, est indécente, estant une figure à cheval à pied levé sur le tabernacle, à laquelle figure nous avons remarqué quelque chose de honteux aux yeux et peu convenable à une place si saincte, de la réquisition du sieur promoteur, nous avons ordonné que ladite figure sera ostée et qu'au surplus il sera mis un tableau du mesme saint, et parce que ladite figure est une pièce d'antiquité assez bien taillée, nous ordonnons, pour éviter à profanation, qu'elle sera placée contre la muraille du côté du septentrion. ».

G1269 , 1673-1705 , Lieuvin (Le) ; Lisieux (Ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Victor-d'Épine

Comptes des trésoriers et inventaires des titres de la fabrique. –« Reçeu pour la vente du fil de la quenouille de la Sainte-Vierge... 35 sols. Payé au couvreur qui a couvert la tour de l'esglize... 285 livres » (1683) ; – procès-verbal de visite de l'église par Christofle Le Nepveu, prêtre, docteur de Sorbonne, chanoine de la cathédrale de Lisieux et grand archidiacre du Lieuvin, le 12 juillet 1684 : « Nous avons enjoint au sieur Rogeron, prêtre, vicaire de ladite paroisse, de continuer à tenir les petites écoles et de s'en acquitter fidellement, à laquelle charge nous l'avons receu et authorisé et deffences faictes à toutes personnes de le troubler ni de s'entremettre à ladite charge sans nouvelle commission de Monseigneur de Lisieux ou de nous sur la peine au cas appartenant ; et d'autant que nous avons remarqué par l'inspection du lieu que l'image de saint Victor, qui est au grand autel, est indécente, estant une figure à cheval à pied levé sur le tabernacle, à laquelle figure nous avons remarqué quelque chose de honteux aux yeux et peu convenable à une place si saincte, de la réquisition du sieur promoteur, nous avons ordonné que ladite figure sera ostée et qu'au surplus il sera mis un tableau du mesme saint, et parce que ladite figure est une pièce d'antiquité assez bien taillée, nous ordonnons, pour éviter à profanation, qu'elle sera placée contre la muraille du côté du septentrion. ».

G1269 , 1673-1705 , Lieuvin (Le) ; Lisieux (Ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Victor-d'Épine

Aveu d'une pièce de terre sise au Thuit-Signol et relevant du fief d'Harcourt, rendu par Robert Des Mares, Nicolas et Robert Aillet et Léonor Ausoult à Nicolas-François Du Resnel, chevalier, conseiller au parlement de Rouen : « à cause de laquelle pièce nous sommes subjets et obligez par indivis d'entretenir la lampe de l'église dudit lieu du Thuit-Signol d'huille à tousjours, avec un cierge d'une livre brullant les jours de dimanche et festes sollennelles de l'an accoutumés, durant le service divin, ainsy que une torche le jour et feste du Saint-Sacrement » (1713) ; – engagement en qualité de maître d'école de la paroisse, pris envers le curé par Louis Guérard, natif de Gacé, demeurant ci-devant à Lieurey, diocèse de Lisieux, « moyennant le prix de 50 livres par an et la jouissance de la masure et maison destinée à ladite condition, seize près le presbitaire, au moyen de quoy je m'oblige à assister aux offices de l'église les dimanches et fêtes, chanter l'office aussi les jours ouvriers, chanter les messes de fondation, lorsceque j'en seray requis, tenir les petites écolles assidûment aux enfants de la paroisse, qui payront cinq sols chaque mois pour apprendre à lire et huit sols pour lire et écrire et dix sols pour la rhitmétique » (1741).

G1332 , 1713-1741 , Gacé ; Harcourt ; Lieurey ; Lisieux (Ville) ; Rouen (Parlement de) ; Thuit-Signol (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Thuit-Signol (Le)

Aveu d'une pièce de terre sise au Thuit-Signol et relevant du fief d'Harcourt, rendu par Robert Des Mares, Nicolas et Robert Aillet et Léonor Ausoult à Nicolas-François Du Resnel, chevalier, conseiller au parlement de Rouen : « à cause de laquelle pièce nous sommes subjets et obligez par indivis d'entretenir la lampe de l'église dudit lieu du Thuit-Signol d'huille à tousjours, avec un cierge d'une livre brullant les jours de dimanche et festes sollennelles de l'an accoutumés, durant le service divin, ainsy que une torche le jour et feste du Saint-Sacrement » (1713) ; – engagement en qualité de maître d'école de la paroisse, pris envers le curé par Louis Guérard, natif de Gacé, demeurant ci-devant à Lieurey, diocèse de Lisieux, « moyennant le prix de 50 livres par an et la jouissance de la masure et maison destinée à ladite condition, seize près le presbitaire, au moyen de quoy je m'oblige à assister aux offices de l'église les dimanches et fêtes, chanter l'office aussi les jours ouvriers, chanter les messes de fondation, lorsceque j'en seray requis, tenir les petites écolles assidûment aux enfants de la paroisse, qui payront cinq sols chaque mois pour apprendre à lire et huit sols pour lire et écrire et dix sols pour la rhitmétique » (1741).

G1332 , 1713-1741 , Gacé ; Harcourt ; Lieurey ; Lisieux (Ville) ; Rouen (Parlement de) ; Thuit-Signol (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Thuit-Signol (Le)