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Pièces de procédure entre François-Lubin Godinier, curé du Gros-Theil, d'une part, et François-Louis Duchemin, représentant Guillaume Duchemin, fondateur et bienfaiteur de l'église, d'autre part, opposant à la demande de suppression des autels Sainte-Barbe et Saint-Lubin de l'église du Gros-Theil, introduite par ledit curé devant l'official de Rouen ; – id., entre les trésoriers et les habitants du Gros-Theil, d'une part, et noble dame Marie-Françoise Pain, veuve de Mrg Joseph de Saint-Ouen, d'autre part, au sujet du droit honorifique de recevoir l'offrande du pain bénit à l'église, prétendu par cette dernière : « dans le droit général et summo jure, après tout ce qui forme le clergé, le pain béni doit être offert au patron, sa femme et enfants, au haut justicier et aux siens et après à tous les fidèles indistinctement, le porteur du pain béni n'étant point obligé de chercher de place en place les personnes qui prétendroient cette préférence ».

• Cote :

  G715

• Date :

  1754-1787

• Description physique :

  Description physique : (Liasse.) — 43 pièces, papier

• Mots-clés
  • Géolocalisation
    • Gros-Theil (Le)
  • Personne (physique ou morale)
    • Duchemin, François-Louis
    • Duchemin, Guillaume
    • Godinier, François-Lubin
    • Pain, Marie-Françoise
    • Saint Lubin
    • Sainte Barbe
    • Saint-Ouen, Joseph de
• Plan de classement
  Archives ecclésiastiques : clergé séculier (série G)

  Églises paroissiales

  Gros-Theil

  Pièces de procédure entre François-Lubin Godinier, curé du Gros-Theil, d'une part, et François-Louis Duchemin, représentant Guillaume Duchemin, fondateur et bienfaiteur de l'église, d'autre part, opposant à la demande de suppression des autels Sainte-Barbe et Saint-Lubin de l'église du Gros-Theil, introduite par ledit curé devant l'official de Rouen ; – id., entre les trésoriers et les habitants du Gros-Theil, d'une part, et noble dame Marie-Françoise Pain, veuve de Mrg Joseph de Saint-Ouen, d'autre part, au sujet du droit honorifique de recevoir l'offrande du pain bénit à l'église, prétendu par cette dernière : « dans le droit général et summo jure, après tout ce qui forme le clergé, le pain béni doit être offert au patron, sa femme et enfants, au haut justicier et aux siens et après à tous les fidèles indistinctement, le porteur du pain béni n'étant point obligé de chercher de place en place les personnes qui prétendroient cette préférence ».