Donations et cessions faites à l'abbaye : par Bernard Le Forestier, d'une vigne située entre les vignes de Thomas de la Rocque et d'Hugues Largi (confirmée par Roger de la Place, seigneur du fief, 1221), – par Etienne des Vignes, d'une vigne et d'une masure à Pressagny-Ie-Val (1227), – par Aubrée, de tous les droits qu'elle pouvait prétendre sur les vignes de la Rocque (1229), – par Jean de la Rocque et Richard de Bodin, avec le consentement de Pierre de Hummez, leur seigneur, d'une pièce de terre située in l'Agou super Sequanam, juxta terram Sancti Martini (1230), – par Guillaume de la Rocque, d'un pré situé dans l'Ile-Mienne (in Insula Media, 1230), – par Jean de la Rocque, d'une partie de sa vigne d'Ailebert située près de celle de l'abbaye (1230), – par Jean, fils de Hugues de la Rocque, d'un pré situé dans l'Ile-Mienne (1230), – par Vincent et Vauquelin (Wafcelinus), fils de Burgèle, d'un pré et d'une vergée de terre située in Agou supra Secanam (1230), – par Gautier Rose, Hugues et Durand, ses frères, de toutes leurs tenures mouvantes du fief de l'abbaye à Courcelles (1231), – par Jean de la Rocque, de son clos aux noyers (noeria), situé au pied du Mont-Saint-Martin (desub pede montis Sancti Martini) et d'une rente annuelle de 8 deniers tournois (1233), – par Thierry Arraz, d'une pièce de terre située dans son domaine de Mousseaux (in planta sua apud Monceaus, 1234), – par Pierre, curé de Portmort, de ses droits de dîme sur les vignes de l'abbaye situées dans la paroisse de Portmort (1246), – par Martin des Vignes, fils d'Etienne des Vignes, avec le consentement de Jean Philippe, de Pressagny, d'une pièce de terre sise à Pressagny, entre le clos de l'abbaye appelé le Glos-de-Courcelles et la masure dudit Jean Philippe (1248), – par Philippe Tabari, d'un baril de vin à prendre sur sa vigne d'Ail-lenbert (1248) ; – confirmations : par Robert de Mauquenchy, de la donation d'une rente annuelle de 7 sous faite à l'abbaye par Mathilde, sa mère (1222), – par Jean, fils de Guillaume, chevalier, de la donation d'un demi-muid de vin assigné sur sa vigne située près du Moutier, sur la Rocque (1229) ; – reconnaissance par Mathieu de Crèvecœur, chevalier, d'un muid de vin blanc, mesure de Vernon, par lui dû à l'abbaye (1243).