Chéronvilliers.
Titres d'une rente de 15 sous et un chapon assignée au profit du prieuré sur deux pièces de terre sises à Chéronvilliers, fieffées en 1603.
Titres d'une rente de 15 sous et un chapon assignée au profit du prieuré sur deux pièces de terre sises à Chéronvilliers, fieffées en 1603.
Certificats des officiers des eaux et forêts constatant le prix d'estimation de la corde de bois, lors de l'adjudication des ventes de la forêt de Breteuil, pendant les années 1643 et 1645 à 1647.
Titres d'une rente foncière de 20 sous assignée au profit du prieuré sur un pré sis à Francheville.
Titres d'une rente de 45 sous assignée sur une masure fieffée par le prieuré et située dans la paroisse de Fouqueville.
Reconnaissance au profit du prieuré d'une rente de 6 sous 8 deniers assignée sur le village de la Galtière, paroisse de Gauville, relevant des religieuses de Chaise-Dieu en pure et franche aumône.
Procès-verbal d'arpentage de 236 pièces de terre dépendant du fief et prieuré de Saint-Just situé sur les paroisses de Bois-Normand et des Bottereaux et appartenant au prieuré de Chaise-Dieu.
Titres d'une rente de 40 sous donnée au prieuré par Thomas de Beaufai, chevalier, et assignée sur la vavassorie de la Fosse, dépendant de la seigneurie de Beaufai.
Titres d'une rente de 18 sous tournois assignée au profit du prieuré sur la terre de a la Huennière » fieffée en 1455 par Guillaume Le Tourneur, prêtre, prieur de Chaise-Dieu et procureur des religieuses dudit lieu, à Alain de Barville, de la paroisse de Blandey.
Pièces de procédures et arrêt du Grand Conseil pour les religieuses de Chaise-Dieu contre Jean-Baptiste de Villereau de Saint-Hilaire, au sujet d'une rente d'un setier de seigle assignée au profit du prieuré sur le domaine de la métairie de Trun, située paroisse de Mandres et appartenant audit de Villereau (1741-1746) ; plans de la terre de Trun et des terres environnantes (1744-1745) ; « déclaration que donnent les dames de Chaise-Dieu des biens et héritages appartenant ou ayant appartenu à Jean-Baptiste de Villereau, escuyer, sieur de Saint-Hilaire, demeurant paroisse de Saint-Hilaire-la-Gérard, près la ville de Séez, que lesdites dames religieuses entendent faire saisir réellement, vendre et adjuger par décret » (1749).
Titres d'une rente de 20 sous tournois assignée au profit du prieuré sur une pièce de terre appelée l'Aumône-de-la-Chapelle-de-Saint-Ouen-de-Bourse, paroisse de Ferrières, fieffée par le prieuré en 1562.
Reconnaissance au profit du prieuré par Jean Maloysel, épinglier, demeurant au village de Beaufour, paroisse de Chaise-Dieu, d'une rente foncière de cinq livres due pour fieffe d'héritages.
Titres d'une rente de 50 sous et un chapon et d'une autre rente de sept livres et deux chapons dues aux religieuses de Chaise-Dieu à cause d'héritages fieffés par elles au Theil et à Chaise-Dieu ; reconnaissances au profit du prieuré d'une rente foncière de 12 sous due par Guillaume Gâtines, laboureur à Boisnormand (1744), et d'une autre rente de 16 sous due par Catherine Laurens et par Louise Laurens, sa sœur, demeurant en la paroisse du Theil (1745).
Requêtes et mémoires pour les religieuses de Chaise-Dieu contre Jacques-Louis des Acres, comte de Laigle, représentant les droits de Louis des Acres, chevalier, marquis de Laigle, son père, au sujet d'une pièce de terre contenant quinze acres, sise paroisse Saint-Sulpice, relevant du marquisat de Laigle, à propos de laquelle les religieuses invoquaient la prescription pour ne pas payer le droit d'indemnité : «... Quant à ce que dit le seigneur de Laigle pour montrer que laditte prescription alléguée est odieuse, ce sont verba et voces praetereaque nihil qui ne méritent pas de réponse ; car enfin, puisque la prescription est permise par les lois civiles et canoniques, les suppliantes peuvent bien s'en servir sans faire rien contre leur devoir ; elle est en effect très judicieusement establie, puisqu'elle asseure le bien dans les familles dont elle procure le repos, ne res in incerto dominio sint, comme dit la loi première au Digeste, de Usucapione, et c'est à bon droit qu'elle est appelée par les autheurs la patronne du genre humain et la mère de la paix... » (1713) ; reconnaissance au profit du prieuré d'une rente de 4 livres assignée sur une pièce de terre contenant 40 acres, située paroisse Saint-Martin de Laigle (1751).
Reconnaissance d'une rente de 40 sous due au prieuré par Marie Léger, veuve de Germain Nicolle, à cause d'une pièce de terre située paroisse des Barils, village de la Forêt-Domelle.