Pressagny-l'Orgueilleux (prieuré de).
Sentence de la vicomte du bourgage de Vernon, rendue dans la cause pendante entre Jean de La Vigne, prieur de Pressagny-l'Orgueilleux, d'une part, et Mahieu Andriéu, maître-ès-arts, curé de Saint-Marcel, d'autre part (1425. Écriture en partie effacée) ; bail à ferme passé par le prieur de Pressagny-l'Orgueilleux à Jacques-Pierre Chauvet, laboureur, du « manoir seigneurial dudit prieuré, édifié en maison, cour, pressoir, grange, écuries, étables », de l'enclos joint à la maison, planté d'arbres « et le jardin avec une petite pièce nommée la Gloriette, ci-devant en vigne, actuellement en terre labourable », avec divers droits et revenus dépendants dudit prieuré, moyennant un fermage annuel de 2,000 livres (1788).