Serquigny.
Aveu rendu au prieuré par Denise, veuve de Perrin Dorbet, pour une vergée de terre sise à Serquigny (1467) ; bail à fieffe passé par le procureur du prieuré à Jean Pignart de la pièce de terre ci-dessus moyennant une rente de cinq sous tournois (1483) ; description par tenants et aboutissants d'une masure et de sept pièces de terre sises à Serquigny dans la mouvance du prieuré (1626) ; requête adressée par les religieux du prieuré au bailli vicomtal de la haute justice de Grammont-lès-Bau-mont aux fins de poursuivre ceux qui avaient arraché une croix de fer placée sur un bâtiment sis à Serquigny dans la mouvance du prieuré : « de temps immémorial, les maisons et bastiments despendant de la haulte justice et seigneurie dudit Grandmont, scis en diverses parroisses, estoient marquez de croix de fer ou de bois pour les distinguer des autres maisons non despendant de ladite seigneurie... » (1682).