Forêt de Longboël.
Sentence arbitrale prononcée par maître Richard de Tabulis, professeur de droit canonique à Paris, dans la cause pendante entre l'abbaye de Lyre et celle de Royaumont, au sujet des dîmes de la forêt de Longboël (1250) ; abandon par Jean Le Caron, curé de Franquevillette, au profit de l'abbaye de Lyre et du curé de Champ-d'Oisel, de ses droits prétendus sur les dîmes desessarts de la forêt de Longboël sises dans l'étendue de la paroisse de Champ-d'Oisel (1319) ; requêtes adressées par les abbés commendataires de Lyre au Roi, aux trésoriers généraux à Rouen et au grand-maître des Eaux et forêts de France au département de Normandie, pour obtenir la délivrance des droits de dîmes appartenant à l'abbaye dans la forêt de Longboël et du bois nécessaire aux réparations des bâtiments de l'abbaye et du prieuré de Saint-Crépin de Romilly dans les forêts de Breteuil et de Longboël. (Sixième chapitre, article 5, de l'inventaire de 1738.).