Sainte-Colombe-la-Campagne.
« Devis des ouvrages de maçonnerie, charpente et couverture pour la réparation d'un bâtiment de la commanderie de Saint-Étienne, nommé le Vieux-Harcourt. ».
« Devis des ouvrages de maçonnerie, charpente et couverture pour la réparation d'un bâtiment de la commanderie de Saint-Étienne, nommé le Vieux-Harcourt. ».
Baux à ferme de diverses pièces de terre appartenant à la commanderie de Saint-Étienne-de-Renneville, sises au Tilleul-Lambert et à Saint-Léger-la-Campagne (ferme de Dieu-l'Accroisse, etc.).
Fragments de baux à ferme de plusieurs pièces de terre labourable sises à Saint-Aubin-d'Écrosville et appartenant à la commanderie de Renneville.
Enquête par témoins faite à Brosville, « au cabaret dudit lieu », devant Antoine Gueroult, écuyer, conseiller du Roi, lieutenant général aux Eaux-et-Forêts de Normandie au siège de la Table-de-marbre du Palais à Rouen, à la requête du commandeur de Saint-Étienne-de-Renneville et à rencontre de Jean Dyosne, bourgeois d'Évreux, accusé d'avoir induement abattu du gros bois dans les ventes de la commanderie, dont il avait été fermier (1678).
Mémoire pour le commandeur de Renneville en réponse aux réclamations présentées par Noël Le Roy, laboureur, ancien fermier des terres et des rentes seigneuriales d'Épréville et du Thuit-Signol (1717) ; état des tenanciers et journaux de recette des rentes du fief d'Épréville (XVIIIe siècle).
Bail à ferme de la terre de la seigneurie de la Tour-de-Chérence (relevant de la seigneurie de la Rocheguyon) passé par Antoine de Mornay, commandeur de Saint-Étienne-de-Renneville, à Michel Nicolle, laboureur, moyennant un prix de fermage annuel de deux cents livres tournois, outre les charges (1607).
Aveu et dénombrement du fief du Petit-Menilles, à Sainte-Colombe-la-Campagne ; rendu par Toussaint Chefderue, bourgeois de Rouen, à François de Lorraine, comte d'Harcourt.
Baux à ferme, passés par les commandeurs de Renneville ou leurs fondés de procuration, de plusieurs pièces de terre situées à Émanville, à Saint-Léger-la-Campagne et « entre Émanville, Folleville et. Dieu-L'Accroisse ».
Aveu et dénombrement du fief du Petit-Menilles, à Sainte-Colombe-la-Campagne ; rendu par Toussaint Chefderue, bourgeois de Rouen, à François de Lorraine, comte d'Harcourt.
Bail à ferme de la terre de la seigneurie de la Tour-de-Chérence (relevant de la seigneurie de la Rocheguyon) passé par Antoine de Mornay, commandeur de Saint-Étienne-de-Renneville, à Michel Nicolle, laboureur, moyennant un prix de fermage annuel de deux cents livres tournois, outre les charges (1607).
Mémoire pour le commandeur de Renneville en réponse aux réclamations présentées par Noël Le Roy, laboureur, ancien fermier des terres et des rentes seigneuriales d'Épréville et du Thuit-Signol (1717) ; état des tenanciers et journaux de recette des rentes du fief d'Épréville (XVIIIe siècle).
Baux à ferme, passés par les commandeurs de Renneville ou leurs fondés de procuration, de plusieurs pièces de terre situées à Émanville, à Saint-Léger-la-Campagne et « entre Émanville, Folleville et. Dieu-L'Accroisse ».
Bail à fieffe passé par Richard, abbé, et par le couvent de Saint-Taurin aux templiers de Saint-Étienne-de-Renneville et à Robert Payart, précepteur de l'ordre du Temple en Normandie, de toutes les dîmes que l'abbaye possédait dans la paroisse de Sacquenville, moyennant une rente annuelle de 6 setiers de pur froment, 6 setiers de méteil et 6 setiers d'avoine (1265) ; aveu rendu par Charles Le Clerc, demeurant à Gauville, à Claude de Saint-Simon, chevalier, commandeur de Saint-Étienne-de-Renneville, pour 35 perches de terre sises à Sacquenville et relevant de la seigneurie dudit lieu.
« C'est la déclaracion des héritages du fief de Malassis appartenant à noble et religieuse personne messire Claude de la Sengle, chevallier de l'ordre Sainct-Jehan de Hiérusalem et commandeur de Sainct-Estienne-de-Renneville, lequel fief et terre de Malassis ledit sieur commandeur tient en la seigneurie et paroisse de Feuguerolles et ès d'environ. Premièrement, il y a l'enclos du manoir, la chappelle, jardins et pourpris d'icellui fief de Malassis. » etc. (1538) ; bail à fieffe des terres dépendant du fief de Malassis, à Feuguerolles, passé par frère Gédéon de Joigny-Bellebrune, commandeur de Saint-Etienne-de-Renneville, à Constance de Lytholphy, seigneur de Gauville, au prix de 200 livres par an (1617).
Bail à fieffe passé par Richard, abbé, et par le couvent de Saint-Taurin aux templiers de Saint-Étienne-de-Renneville et à Robert Payart, précepteur de l'ordre du Temple en Normandie, de toutes les dîmes que l'abbaye possédait dans la paroisse de Sacquenville, moyennant une rente annuelle de 6 setiers de pur froment, 6 setiers de méteil et 6 setiers d'avoine (1265) ; aveu rendu par Charles Le Clerc, demeurant à Gauville, à Claude de Saint-Simon, chevalier, commandeur de Saint-Étienne-de-Renneville, pour 35 perches de terre sises à Sacquenville et relevant de la seigneurie dudit lieu.