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Procès-verbal d'inventaire des « titres et contrats concernant les fondations, rentes et revenus de l'ancien chapitre collégial de Gaillon et chapelle de Saint-Gilles », dressé à la requête et aux frais des supérieur et économe du séminaire d'Évreux en présence des habitants de Gaillon dûment appelés, le 19 juillet 1740. –« Item, un acte en parchemin, écrite en latin, qu'on ne distingue que difficilement, qu'on a dit être le titre primitif de la fondation de l'église de Gaillon par monsieur Cadot, chastelain de Gaillon, qui paroit, sans datte, de Philippe-Auguste, roy de France, lequel acte paraphé par le notaire » ; –« et après qu'il ne s'est plus rien trouvé à inventorié, a été représenté par lesdits sieurs du séminaire que veu le mauvais état où se sont trouvés les archives et que beaucoup de pièces de conséquence ne sont trouvés dans lesdites archives en faisant l'inventaire, leur intention est de se faire authorisée à en faire la recherche par touttes voyes dues et raisonnable, même par voye de monitoire, s'il est nécessaire. ».

G195 , 1740  
Contexte :
Grand séminaire d'Évreux > Ancien chapitre de Gaillon, uni au Grand séminaire d'Évreux en 1737

Procès-verbal d'inventaire des « titres et contrats concernant les fondations, rentes et revenus de l'ancien chapitre collégial de Gaillon et chapelle de Saint-Gilles », dressé à la requête et aux frais des supérieur et économe du séminaire d'Évreux en présence des habitants de Gaillon dûment appelés, le 19 juillet 1740. –« Item, un acte en parchemin, écrite en latin, qu'on ne distingue que difficilement, qu'on a dit être le titre primitif de la fondation de l'église de Gaillon par monsieur Cadot, chastelain de Gaillon, qui paroit, sans datte, de Philippe-Auguste, roy de France, lequel acte paraphé par le notaire » ; –« et après qu'il ne s'est plus rien trouvé à inventorié, a été représenté par lesdits sieurs du séminaire que veu le mauvais état où se sont trouvés les archives et que beaucoup de pièces de conséquence ne sont trouvés dans lesdites archives en faisant l'inventaire, leur intention est de se faire authorisée à en faire la recherche par touttes voyes dues et raisonnable, même par voye de monitoire, s'il est nécessaire. ».

G195 , 1740  
Contexte :
Grand séminaire d'Évreux > Ancien chapitre de Gaillon, uni au Grand séminaire d'Évreux en 1737

Confrérie de Saint-Gilles et de Saint-Leu.

G1653 , 1538-1554  

Statuts de la confrérie, approuvés parle vicaire général de Georges d'Amboise, archevêque de Rouen (1538) ; – nomination par les confrères de cinq procureurs chargés de gérer les intérêts de la confrérie (1554).

Contexte :
Confréries > Guitry

Délibérations des trésoriers de la fabrique et des principaux habitants de la paroisse, concernant notamment : une double demande de déclaration du cimetière de la paroisse, adressée à la fabrique par M. Dedouit, acquéreur du fief Saint-Gilles, et par les religieux de l'abbaye de Préaux, – l'apurement des comptes des trésoriers en charge, – la réparation du beffroi et de la tourelle de l'église, « qui menacent une ruine évidente ».

G1016 , 1769-1785 , Préaux (Abbaye) ; Saint-Gilles (fief de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Pont-Audemer > Saint-Germain

Délibérations des trésoriers de la fabrique et des principaux habitants de la paroisse, concernant notamment : une double demande de déclaration du cimetière de la paroisse, adressée à la fabrique par M. Dedouit, acquéreur du fief Saint-Gilles, et par les religieux de l'abbaye de Préaux, – l'apurement des comptes des trésoriers en charge, – la réparation du beffroi et de la tourelle de l'église, « qui menacent une ruine évidente ».

G1016 , 1769-1785 , Préaux (Abbaye) ; Saint-Gilles (fief de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Pont-Audemer > Saint-Germain

Confrérie de Saint-Gilles et de Saint-Leu.

G1653 , 1538-1554  

Statuts de la confrérie, approuvés parle vicaire général de Georges d'Amboise, archevêque de Rouen (1538) ; – nomination par les confrères de cinq procureurs chargés de gérer les intérêts de la confrérie (1554).

Contexte :
Confréries > Guitry

« Le livre et chartrier du fief, terre et seigneurie à messeigneurs les chantre, chanoynnes et chapittre de l'église collégiale de Monseigneur Sainct Anthoynne de Gaillon appartenant, nommé et appelé le fief de Gaillon, situé et assis dedens la ville dudict Gaillon et ès parties d'envyron, les appartenances et appendences à icelluy, pour mesdictz seigneurs, sur les adveulx que en ont baillé les personnes, hommes et subjectz tenans d'icelluy, ensembles des rentes et redebvances deubz à mesdits seigneurs, tant en rentes de dons, omosnes, fondations foncières, que ypothecques ; et lequel livre a esté faict au vray sur lesdits adveux en l'an de grâce mil cinq cens soixante et quatorze. » –« Iceulx chantre et chanoynnes tiennent leur dit fief et seigneurie de monseigneur le révérendissime et illustrissime cardinal de Bourbon, à cause de sa chastellenie et haulte justice de Gaillon, membre deppendant de son archevesché de Rouen, lequel rellève neuement du Roy nostre sire à cause de sa duché de Normendie, au bailliage de Gisors et diocèze d'Évreux, auquel fieront messeigneurs rentes et deniers, oiseaulx, chappons, poulies, hommes, hommaiges, amendes, court, usaige, justice et jurisdiction en basse justice et toutes aultres dignittez comme à fief noble appartient ; – item, à cause de ladicte seigneurie, lesditcz seigneurs ont droit de patronnaige et présentation à la cure et bénéfice de la parroisse de Grouilé (Grosley), oudict diocèse d'Évreux, et aux chappelles fondées en l'honneur de Dieu et révérence de monseigneur sainct Gille en leur église dudict lieu de Gaillon, et en la chappelle Sainct-Nycollas des Noes, située en la paroisse Saint-Aulbin-sur-Gaillon, et en sont messeigneurs en bonne et pacifique possession de temps immémorial. ».

G189 , 1574 , Grosley ; Noës (Les), Chapelle à Saint-Aubin-sur-Gaillon  
Contexte :
Grand séminaire d'Évreux > Ancien chapitre de Gaillon, uni au Grand séminaire d'Évreux en 1737

Copie collationnée d'un vidimus par l'Official de Rouen de la charte de Guillaume II de Flavacourt, archevêque de Rouen, concédant à Jean, seigneur d'Harcourt et à ses successeurs le droit d'administrer à leur gré l'Hôtel-Dieu de Brionne détruit par un incendie et que ledit Jean d'Harcourt avait fait reconstruire et se proposait de doter de nouveau (1295) : « Considerato quod domus Dei de Brionia, quae modici valoris erat et in magna paupertate fundata, fortuito incendio ad nihilum est redacta ; considerato insuper quod per nobilem virum dominum Johannem, dominum de Haricuria, nobiliter est reedificata et per ipsum de novo, prout nobis constat, amplissimis possessionibus, libertatibus et juribus erit dotata, dum tamen ipsi domino Johanni et hœredibus ac successoribus suis dominis de Hercuria et ab ipsis causam habituris dispositionem, ordinationem et correctionem ipsius domus et personarum laicarum ibidem existentium, cujuscumque status, sexus aut conditionis existant, penitus concedamus ac etiam dimittamus... Etc. » ; – lettres d'Henri de Lorraine, comte d'Harcourt et de Brionne, réglementant le fonctionnement de l'Hôtel-Dieu de Brionne et l'attribution des revenus affectés audit hôpital et à la chapelle Saint-Gilles. Ces lettres imposent aux religieuses l'obligation « de tenir petites escolles audit monastère pour l'instruction des filles dudit Briosne, d'entretenir deux chambres basses audit hôpital pour y héberger les pauvres et de payer par chacun an ès mains de nostre procureur fiscal vingt livres pour aider à leurs nécessitez... » (1643).

H1695 , 1295-1677 , Brionne ; Brionne (Hôtel-Dieu de) ; Saint-Gilles (Chapelle), sise à l'Hospice de Brionne  
Contexte :
Hospices et maladreries > Hôtel-Dieu de Brionne

Copie collationnée d'un vidimus par l'Official de Rouen de la charte de Guillaume II de Flavacourt, archevêque de Rouen, concédant à Jean, seigneur d'Harcourt et à ses successeurs le droit d'administrer à leur gré l'Hôtel-Dieu de Brionne détruit par un incendie et que ledit Jean d'Harcourt avait fait reconstruire et se proposait de doter de nouveau (1295) : « Considerato quod domus Dei de Brionia, quae modici valoris erat et in magna paupertate fundata, fortuito incendio ad nihilum est redacta ; considerato insuper quod per nobilem virum dominum Johannem, dominum de Haricuria, nobiliter est reedificata et per ipsum de novo, prout nobis constat, amplissimis possessionibus, libertatibus et juribus erit dotata, dum tamen ipsi domino Johanni et hœredibus ac successoribus suis dominis de Hercuria et ab ipsis causam habituris dispositionem, ordinationem et correctionem ipsius domus et personarum laicarum ibidem existentium, cujuscumque status, sexus aut conditionis existant, penitus concedamus ac etiam dimittamus... Etc. » ; – lettres d'Henri de Lorraine, comte d'Harcourt et de Brionne, réglementant le fonctionnement de l'Hôtel-Dieu de Brionne et l'attribution des revenus affectés audit hôpital et à la chapelle Saint-Gilles. Ces lettres imposent aux religieuses l'obligation « de tenir petites escolles audit monastère pour l'instruction des filles dudit Briosne, d'entretenir deux chambres basses audit hôpital pour y héberger les pauvres et de payer par chacun an ès mains de nostre procureur fiscal vingt livres pour aider à leurs nécessitez... » (1643).

H1695 , 1295-1677 , Brionne ; Brionne (Hôtel-Dieu de) ; Saint-Gilles (Chapelle), sise à l'Hospice de Brionne  
Contexte :
Hospices et maladreries > Hôtel-Dieu de Brionne

« Le livre et chartrier du fief, terre et seigneurie à messeigneurs les chantre, chanoynnes et chapittre de l'église collégiale de Monseigneur Sainct Anthoynne de Gaillon appartenant, nommé et appelé le fief de Gaillon, situé et assis dedens la ville dudict Gaillon et ès parties d'envyron, les appartenances et appendences à icelluy, pour mesdictz seigneurs, sur les adveulx que en ont baillé les personnes, hommes et subjectz tenans d'icelluy, ensembles des rentes et redebvances deubz à mesdits seigneurs, tant en rentes de dons, omosnes, fondations foncières, que ypothecques ; et lequel livre a esté faict au vray sur lesdits adveux en l'an de grâce mil cinq cens soixante et quatorze. » –« Iceulx chantre et chanoynnes tiennent leur dit fief et seigneurie de monseigneur le révérendissime et illustrissime cardinal de Bourbon, à cause de sa chastellenie et haulte justice de Gaillon, membre deppendant de son archevesché de Rouen, lequel rellève neuement du Roy nostre sire à cause de sa duché de Normendie, au bailliage de Gisors et diocèze d'Évreux, auquel fieront messeigneurs rentes et deniers, oiseaulx, chappons, poulies, hommes, hommaiges, amendes, court, usaige, justice et jurisdiction en basse justice et toutes aultres dignittez comme à fief noble appartient ; – item, à cause de ladicte seigneurie, lesditcz seigneurs ont droit de patronnaige et présentation à la cure et bénéfice de la parroisse de Grouilé (Grosley), oudict diocèse d'Évreux, et aux chappelles fondées en l'honneur de Dieu et révérence de monseigneur sainct Gille en leur église dudict lieu de Gaillon, et en la chappelle Sainct-Nycollas des Noes, située en la paroisse Saint-Aulbin-sur-Gaillon, et en sont messeigneurs en bonne et pacifique possession de temps immémorial. ».

G189 , 1574 , Grosley ; Noës (Les), Chapelle à Saint-Aubin-sur-Gaillon  
Contexte :
Grand séminaire d'Évreux > Ancien chapitre de Gaillon, uni au Grand séminaire d'Évreux en 1737

Comptes des trésoriers de la fabrique. « Pour avoir achepté deux calices d'estain... 6 sous. Pour quatre pots de vin, tant pour la Cène que pour la communion de Pasques... 17 sous. » Dépenses pour la refonte de la petite cloche de l'église (1621). État des acquisitions de meubles, d'ornements et de vases sacrés, ainsi que des réparations de l'église, depuis 1712 jusqu'à 1736. – On a transcrit à la fin du registre : 1° les noms des frères et sœurs des confréries de Notre-Dame, de Saint-Gilles, de Sainte-Anne, de Saint-Michel et de l'Adoration perpétuelle. « Le 19 de septembre 1742 sont arrivez du Mont-Saint-Michel Mathurin Linot, qui est le roy, Jacques Nasard, Claude Mouton, Michel Le Simple et Nicolas Prévotel, lesquels ont présenté leur certificat de pèlerinage » ; 2° l'inventaire des ornements, linges et autres meubles de l'église paroissiale du Sacq, dressé en 1672.

G1123 , 1613-1784  
Contexte :
Églises paroissiales > Sacq (Le)

Comptes des trésoriers de la fabrique. « Pour avoir achepté deux calices d'estain... 6 sous. Pour quatre pots de vin, tant pour la Cène que pour la communion de Pasques... 17 sous. » Dépenses pour la refonte de la petite cloche de l'église (1621). État des acquisitions de meubles, d'ornements et de vases sacrés, ainsi que des réparations de l'église, depuis 1712 jusqu'à 1736. – On a transcrit à la fin du registre : 1° les noms des frères et sœurs des confréries de Notre-Dame, de Saint-Gilles, de Sainte-Anne, de Saint-Michel et de l'Adoration perpétuelle. « Le 19 de septembre 1742 sont arrivez du Mont-Saint-Michel Mathurin Linot, qui est le roy, Jacques Nasard, Claude Mouton, Michel Le Simple et Nicolas Prévotel, lesquels ont présenté leur certificat de pèlerinage » ; 2° l'inventaire des ornements, linges et autres meubles de l'église paroissiale du Sacq, dressé en 1672.

G1123 , 1613-1784  
Contexte :
Églises paroissiales > Sacq (Le)

« Inventaire des titres, pièces, lettres et écritures concernant l'établissement du séminaire, la pension de 3,000 livres à lui adjugée sur tous les bénéfices du diocèse d'Évreux, celle de 2, 000 livres donnée par Monseigneur de Maupas, évêque dudit Évreux, sur les deniers de ses déports, la donation qui lui a été faite par M. de Melleville du prieuré du Désert et des maisons qu'il avait acquises sur les paroisses Saint-Gilles et Saint-Denis, qui font aujourd'hui l'enclos dudit séminaire, et les héritages et rentes que ledit séminaire a en la paroisse d'Aulnay, dont la plus grande partie a été donnée par Richard Lequeu, bourgeois de Rouen ; » –« copie d'un mémoire ou état des revenus et charges du séminaire, donné à Monseigneur l'évêque d'Évreux le 8 avril 1758 » ; les recettes sont évaluées à 3, 841 livres 15 sous et les charges à 1, 790 livres ; « reste 2,051 livres 15 sous pour la nourriture et l'entretien de 6 ecclésiastiques et 5 frères, sur quoy le séminaire est encore obligé d'exercer l'hospitalité envers nombre d'ecclésiastiques du diocèse » (f°. 2) ; –« extrait de l'histoire du séminaire d'Évreux (f°. 3 à 5) : Monsieur de Maupas, evesque dudit lieu, obtint du Roy des lettres-patentes, au mois de juin 1666, pour ériger un séminaire dans ladite ville d'Évreux, comme on le voit par la r° pièce de la liasse cotée A. Le père Eudes ayant fait une mission dans ladite ville sur la fin de cette mesme année, qui ne finit qu'après la feste des Roys de la suivante, ledit sieur Évêque résolut de confier son séminaire au père Eudes ; – voici les sujets qu'on marque nécessaires dans le séminaire pour en avoir le soin : un supérieur, un directeur, des ordinants, un professeur de théologie, un directeur du chœur, un assistant qui aura soin des curés et des retraites, un économe et un sacristain et quatre frères laïques, sçavoir un portier, un réfectorier, un cuisinier et un proviseur ; – le jeudi neuvième jour de juillet 1682, la première pierre de l'église fut posée par Monseigneur Jacques de Novion, évêque d'Évreux, et la dédicace en fut faite le 10 juin 1714 par Monseigneur Le Normand, évêque du même lieu ; elle est consacrée sous le titre du Très Saint Cœur de Marie ; » –« la 21e pièce de la 5° liasse, cotée E, dattée du 15 octobre 1690, est un contract par lequel Charlotte Cheron, veuve de Christophe Marage, a vendu aux sieurs du séminaire une maison en ruine et décadence, assise et située sur la paroisse de Saint-Gilles, proche ledit séminaire, nommée le Château-Gaillard, par le prix et somme de 250 livres. » – (Les analyses de cet inventaire, qui a été fait avec soin, sont suffisamment développées et peuvent remplacer dans une certaine mesure les titres originaux des Archives du grand séminaire, dont beaucoup ont disparu postérieurement à sa rédaction.).

G163 , XVIIIe siècle , Désert (prieuré du) ; Evreux ("Château-Gaillard", maison dite Le, paroisse Saint-Gilles)  
Contexte :
Grand séminaire d'Évreux